Discussion:École polytechnique fédérale de Zurich

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Il a été introduit un lien la traceclaraz.org. Il y est fait référence a un Docteur Balthasar claraz qui n'a aucun lien avec l'EPFZ et a un antoine Claraz qui a un lien avec le techicum à Fribourg et enfin a un autre claraz (Georges) qui aurait étudié a l'université de zurich. Bref aucun lien avec l'EPFZ. Je supprime ce lien. De même je supprime la référence de M. Georges Clara comme étudiant à l'EPFZ, qui n'est pas l'Université de Zurich.

Révision complète[modifier le code]

Il me paraît souhaitable que quelqu'un qui connaisse bien l'EPFZ, mais capable de prendre un peu de recul, revoie complètement cet article. Le sujet est important, donc je ne veux pas juste supprimer ce qui ne me plait pas sans pouvoir reconstruire derrière. Quelques critiques en vrac:

  • Traductions en français des noms successifs très approximatives.
  • « complètement affranchie de la tutelle de l'université de Zurich»: il faudrait préciser en quoi elle était sous la tutelle de l'université alors que contrairement à ce qui est devenu l'EPFL, elle avait été créée dès le départ par la Confédération.
  • Les deux points d'histoire après 1950 sont pour le moins anecdotiques.
  • « gratuits pour les élèves et les professeurs»: et le reste du personnel, j'imagine.
  • « Elle cherche depuis toujours le dialogue avec les meilleurs professeurs et étudiants du monde entier»: WP:NPOV, à supprimer.
  • « séduites par ses conditions d'étude et de recherche»: à supprimer.
  • « Le savoir de ses quelque 350 professeurs – dont 60 % viennent de l'étranger – profite à plus de 12 500 étudiants»: à supprimer. Tout ça a l'air d'être repris directement de la plaquette publicitaire de l'office de la promotion économique de Zurich. Une université comme l'EPFZ ne fonctionne pas comme ça. On n'a pas 350 professeurs qui transmettent leur savoir, mais des interactions un peu plus complexes, de la recherche, du dialogue, de l'émulation... Et aussi des ratages, des échecs, etc.
  • « Ses vingt-trois filières de bachelor, celles plus nombreuses encore de master et ses doctorats leur permettent d'acquérir les qualifications nécessaires à un parcours professionnel fructueux»: ça continue. À supprimer.
  • « D'innombrables scientifiques, ingénieurs, enseignants et entrepreneurs ont entamé leur carrière à l'EPFZ»: à supprimer.
  • « Elle est un partenaire digne de confiance pour l'économie, la politique et la société»: à supprimer.
  • « Les étudiants de l'École polytechnique ont l'occasion de partir en échange universitaire pendant leur troisième année de licence ou pendant leur maîtrise»: ça n'a rien de propre à l'EPFZ.
  • Rankings: faut-il vraiment tous les citer, ou une référence suffirait-elle?

--Foubare (discuter) 29 juillet 2016 à 22:35 (CEST)[répondre]

Tout ce qui a un ton promotionnel devrait effectivement être supprimé. Je pense que vous ne devriez pas hésiter à le faire vous-même. Je ne suis pas un spécialiste de l'EPFZ, mais concernant la "tutelle" de l'université de Zürich je sais qu'elle existait principalement par le fait que, jusqu'en 1909, l'EPFZ n'était pas habilitée à délivrer des doctorats (ceci est d'ailleurs mentionné dans l'article): tout naturellement les étudiants qui poursuivaient leurs études jusque-là trouvaient un directeur de thèse à l'Université de Zürich. Ça a été le cas d'Einstein, par exemple, dont la thèse de 1904 est une thèse de l'Université de Zürich, et pas de l'EPFZ comme on le dit parfois. Sapphorain (discuter) 30 juillet 2016 à 14:50 (CEST)[répondre]
Merci pour ces explications. Je n'appellerais pas ça une tutelle, pas plus que pour l'EPFL par rapport aux HES romandes par exemple (ce qui ferait sûrement grincer quelques dents...) Foubare (discuter) 30 juillet 2016 à 23:57 (CEST)[répondre]

Ancien alumnus[modifier le code]

J’ai remplacé « Ancien alumni » par «  Anciens élèves  » pour un titre de sous-section. « Alumnus», au pluriel « alumni », a le défaut d’être un anglicisme qui n’existe pas dans les dictionnaires français. «  Ancien alumnus » a d’autre part le défaut supplémentaire d’être un pléonasme: en effet, « alumnus » signifie « ancien élève ». J’ai également remplacé «  Membre professoral », expression qui me paraît bancale et qui semble très peu utilisée, par plus simplement « Enseignants ». Sapphorain (discuter) 5 mai 2018 à 20:53 (CEST)[répondre]

Sources ?[modifier le code]

Bonjour bonjour,

Yapa comme un problème ? 12 références à l'heure d'aujourd'hui, dont 9 rien que sur le rankage ? Il y a quelque chose qui boffe quelque part, non ?

Cordialement, et Hop ! Kikuyu3 Sous l'Arbre à palabres 4 août 2018 à 16:57 (CEST)[répondre]

Année de fondation[modifier le code]

@Sapphorain Bonjour,

Dans l'article, on a la phrase "L'EPFZ est fondée en 1854, par la Confédération suisse. Elle ouvre ses portes en 1855, sous le nom d'Institut Polytechnique".

L'infobox résume l'article et ne doit pas le contredire. Il semble que 1854 soit l'année de fondation/institution par la Conf. et 1855 l'année d'ouverture. --Sherwood6 (discuter) 16 avril 2022 à 13:06 (CEST)[répondre]

Oui, mais cette phrase de l'article n'est pas sourcée, alors que la phrase "Fondée en 1855, l'Eidgenössische Polytechnische Schule (en français Ecole polytechnique fédérale, EPF) porta dès 1911 le nom d'Eidgenössische Technische Hochschule (ETH)" se trouve bel et bien dans le DHS. 1854 se réfère sans doute à une décision du Conseil fédéral (mais à vérifier), à ne pas confondre, justement, avec la fondation proprement dite, qui est bien 1855. --Sapphorain (discuter) 16 avril 2022 à 13:32 (CEST)[répondre]
Je ne suis pas contre la modification, mais en le faisant d'abord dans l'article. L'idéal serait d'approfondir. Je suis tombé sur ça : https://www.letemps.ch/opinions/letendard-suisse-ambitieuse
De quand date la naissance de l'EPFZ? Le 15 octobre 1855 a été retenu, mais David Gugerli, qui détient la chaire d'histoire de l'Ecole, préfère la date du 7 février 1854. Sherwood6 (discuter) 16 avril 2022 à 13:37 (CEST)[répondre]
À titre de comparaison, je viens de lire ceci dans le RI de l'Institut suisse de droit comparé :
L’Institut suisse de droit comparé (ISDC) est un établissement autonome de la Confédération suisse créé en 1978 par un acte de l'Assemblée fédérale. Il ouvre ses portes au public en 1982.
Dans l'infobox, sous fondation, on a 1978... Sherwood6 (discuter) 16 avril 2022 à 17:12 (CEST)[répondre]
J'ai modifié selon les sources (loi du 7 février 1854 et DHS).--Sapphorain (discuter) 16 avril 2022 à 18:02 (CEST)[répondre]