Dinaw Mengestu

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Dinaw Mengestu
Description de l'image Dinaw Mengestu 3041199.JPG.
Naissance (45 ans)
Addis-Abeba
Activité principale
romancier ou romancière, journaliste
Distinctions
prix MacArthur, Ernest J. Gaines Award for Literary Excellence, Guardian First Book Award, Vilcek Prize for Creative Promise, bourse Guggenheim, Great Immigrants Award
Auteur
Langue d’écriture anglais américain, anglais

Dinaw Mengestu, né le 30 juin 1978 à Addis-Abeba (Éthiopie), est un écrivain américain.

Biographie[modifier | modifier le code]

Sa famille quitte l'Éthiopie lorsqu'il est âgé de deux ans. Il est élevé à Peoria (Illinois), puis dans les faubourgs de Chicago.

Il obtient un BA en anglais de l'université de Georgetown et un MFA en fiction de l'université Columbia.

Il publie reportages et articles dans Rolling Stones, Harper's, The Wall Street Journal, etc.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Les belles choses que porte le ciel, [« The Beautiful Things that Heaven Bears », 2007 - UK : « Children of the Revolution », 2007], trad. de Anne Wicke, Paris, Éditions Albin Michel, 2007, 3003 p. (ISBN 978-2226179760)
- Prix du Premier Roman Étranger 2007[1]
  • Ce qu’on peut lire dans l’air, [« How to Read the Air », 2010], trad. de Michèle Albaret-Maatsch, Paris, Éditions Albin Michel, coll. « Terres d'Amérique », 2011, 300 p. (ISBN 978-2226229779)[2],[3]
  • Tous nos noms, [« All Our Names  », 2014], trad. de Michèle Albaret-Maatsch, Paris, Éditions Albin Michel, coll. « Terres d'Amérique », 2015, 317 p. (ISBN 978-2-226-31812-1)

Source[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Prix du Premier Roman Étranger »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur prix-litteraires.net (consulté le ).
  2. Elisabeth Philippe, « "Ce qu'on peut lire dans l'air", un roman mélancolique et lumineux »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lesinrocks.com, (consulté le ).
  3. André Clavel, « Dinaw Mengestu raconte sa double peine d'exilé », sur lexpress.fr, (consulté le ).


Liens externes[modifier | modifier le code]