Brenda Jones (femme politique)
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| Brenda Jones | |
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| Fonctions | |
|---|---|
| Représentante des États-Unis | |
| – (1 mois et 5 jours) |
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| Circonscription | 13e district du Michigan |
| Prédécesseur | John Conyers |
| Successeur | Rashida Tlaib |
| Présidente du Conseil de la ville de Détroit | |
| – (8 ans) |
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| Prédécesseur | Saunteel Jenkins |
| Successeur | Mary Sheffield |
| Biographie | |
| Nom de naissance | Brenda Jones |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Birmingham (Alabama, États-Unis) |
| Nationalité | Américaine |
| Parti politique | Parti démocrate |
| Diplômée de | Université de Wayne State |
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Brenda Jones (née le à Birmingham en Alabama) est une femme politique américaine. Membre du Parti démocrate. Elle représente le 13e district du Michigan à la suite d'une élection spéciale durant les élections de la Chambre des représentants de 2018, mais doit laisser sa place à Rashida Tlaib le .
Biographie[modifier | modifier le code]
Élections de 2018[modifier | modifier le code]
Candidate à la primaire pour l'élection spéciale et l'élection générale pour succéder à John Conyers qui avait démissionné à la suite d'un scandale à caractère sexuel, elle remporte la primaire démocrate pour l'élection spéciale, mais perd la primaire pour la générale face à Rashida Tlaib[1]. Les lois du Michigan empêchant la personne candidate de refuser sa nomination, Jones ne peut pas retirer son nom du bulletin et laisser sa place à Tlaib[2]. Le , elle lance une campagne write-in pour la générale pour remporter le mandat complet de deux ans[3]. Dans ce comté très démocrate, sa victoire dans l'élection spéciale est pratiquement assurée, mais il plane des doutes sur si Jones peut garder son poste comme présidente du conseil de la ville de Détroit tout en entrant à la chambre. En effet, à la suite de sa défaite dans le primaire pour la générale, Jones ne pourrait siéger au Congrès que jusqu'au et donc des questions se posent sur le fait de savoir si elle abandonnerait son poste pour au plus deux mois comme représentante. La campagne de write-in ne va pas loin, remportant seulement 0,32 % des voix, mais elle remporte la spéciale avec 87 % des voix[2]. Une entente est conclue et Jones prête serment le pour un mandat d'un peu plus d'un mois[4],[2].
Références[modifier | modifier le code]
- « Michigan Primary Elections Results », New York Times.
- « Morning Digest: This Oklahoma Republican lost re-election but wins top honors in our Hall of Shame », Daily Kos.
- « Morning Digest: Steve King may finally pay the price for ignoring his district for white nationalism », Daily Kos.
- « Jones sworn into Congress after deal reached », Detroit News.
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Articles annexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives à la vie publique :
- Site officiel
