André L'Hénoret
Apparence
André L 'Hénoret
Naissance | |
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Décès | |
Nom de naissance |
André Jean Pierre L'Hénoret |
Nationalité | |
Activité |
André L'Hénoret, né le à Paris et mort le à Plestin-les-Grèves (Côtes-d'Armor) est un prêtre ouvrier français[1],[2].
Biographie
[modifier | modifier le code]Ordonné prêtre en 1963, et Aumônier de la Jeunesse ouvrière chrétienne, il participe activement à mai 68. Membre du syndicat sacerdotal « Échanges et Dialogue », il réclame aux évêques le droit pour les prêtres de travailler et de se marier. En 1970, il part au Japon, à la demande de l'évêque de Yokohama. Il y vit vingt ans et devient un des meilleurs connaisseurs du Japon. Proche du monde ouvrier et du syndicalisme japonais, il réussit à implanter une section syndicale dans l'entreprise où il travaille [3].
Publications
[modifier | modifier le code]- Toyota, l'usine du désespoir, de Satoshi Kamata (auteur) et André L'Hénoret (traducteur), Démopolis, 2008 (1re édition : sous le pseudonyme de Jean-Louis Folgoët, Éditions ouvrières, 1976).
- Le Clou qui dépasse. récit du Japon d'en bas, La Découverte, 1993.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « André L'Hénoret : décès », sur avis-deces.letelegramme.fr, Le Télégramme (consulté le )
- Lieux de naissance et décès trouvés dans la base MatchId des fichiers de décès en ligne du Ministère de l'Intérieur avec les données INSEE (consultation 5 janvier 2020)
- « Témoin. André L’Hénoret, prêtre-ouvrier 21 ans au Japon », sur actu.fr, Le Trégor (consulté le ).