Soprema
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| SOPREMA | |
| Création | 1908
1979 création société actuelle |
|---|---|
| Fondateurs | Charles Geisen |
| Forme juridique | Société par actions simplifiée |
| Siège social | Strasbourg France
|
| Direction | Pierre-Étienne Bindschedler (Président du Groupe Soprema depuis 1992, arrière-petit-fils du fondateur Charles Geisen) |
| Activité | Fabrication d'autres produits minéraux non métalliques |
| Produits | Alsan, Efyos, Sopralene, Sopranature, Soprasolar, Univercell, Pavatex |
| Filiales | Soprema Entreprises, Soprema SAS |
| Effectif | 7000 à 7999 salariés |
| SIREN | 314527557[1] |
| TVA européenne | FR51314527557 |
| Site web | http://www.soprema.fr |
| Chiffre d'affaires | 3.08 milliards (2019) |
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Soprema est une entreprise française intervenant dans le domaine de l'étanchéité, et comme spécialiste de la couverture, des sous-couches phoniques et de l'isolation thermique.
Histoire
SOPREMA est le nom choisi par le fondateur Charles Geisen, et qui est l'acronyme de SOciété de Produits et Revêtements d'Étanchéité MAmmouth[2], la mascotte originale de la société figurant encore dans le logo actuel.
Il s'agit d'un groupe indépendant et familial créé en 1908.
Son président directeur-général est Pierre-Étienne Bindschedler, dont la fortune professionnelle et familiale est estimée à 1 800 millions d'euros[3].
L'effectif de Soprema est de 8424 personnes[4], dont 4618 en France, et son chiffre d'affaires s'élevait à 3,08 milliards d'euros en 2019[5]. Soprema dispose d'une présence industrielle et commerciale mondiale avec 73 sites de production dont 14 en France, 90 filiales[6] (parmi lesquelles Soprema Entreprises) et 4 000 distributeurs.
Soprema dispose en l'occurrence de 27 usines d'étanchéité, 26 usines d'isolation, 1 usine de géotextile, 2 usine de mastic et colles, 9 usines de désenfumage, 1 usine de recyclage et 6 ateliers de charpente métallique. Le groupe assure une présence dans 90 pays, et possède 18 centres de R&D axés sur le développement durable, ainsi que 22 centres de formation dans 8 pays[7].
Le , Pierre-Étienne Bindschedler, fait l’acquisition, pour 550 000 euros, frais compris, d'un véritable squelette de mammouth, vendu par le biais de la maison Aguttes à Lyon. Ce squelette sera placé en principe dans le hall d'entrée du siège de la société Soprema, rappelant ainsi le logotype de l'entreprise[8],[9],[10].
En 2016, Soprema rachète Pavatex, fabricant d'isolant bois, à Golbey dans les Vosges et investit 27 millions d'euros en 2021[11].
Influence
Le président directeur-général, Pierre-Étienne Bindschedler, a réclamé une piste cyclable pour améliorer son plan de déplacements d’entreprise. Il semble que l’activisme de Monsieur Bindschedler ait joué un rôle dans la décision du futur réseau de transports de l’agglomération, Vélostras, composés de pistes cyclables[12].
Références
- Sirene, (base de données)
- « Le PDG de Soprema est entrepreneur de l'année », sur YouTube (consulté le )
- Eric Tréguier, « les 500 fortunes », CHALLENGES, , p. 106
- « Chiffres clés Soprema »
- « Chiffres clés Soprema »
- « Chiffre clés Soprema »
- SOPREMA, « Chiffres-clés » (consulté le ).
- « La société alsacienne Soprema s'offre... un mammouth », L'Alsace, (lire en ligne, consulté le )
- Lyon mag, « La société SOPREMA s’adjuge le squelette de mammouth pour 430 000 euros », sur Lyonmag.com (consulté le )
- Communiqué France bleu
- Philippe Nicolle, « Pavatex investit 27 millions d’euros et crée 50 emplois », sur https://www.vosgesmatin.fr,
- « Un nouveau réseau de transports : la pédale ! », sur Rue89 Strasbourg, (consulté le ).
