Louis Ancel
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| Louis Ancel | |
| Naissance | Deneuvre, (Meurthe-et-Moselle) |
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| Décès | (à 66 ans) Baccarat, (Meurthe-et-Moselle) |
| Origine | Français |
| Allégeance |  Royaume de France.svg){kind=small} République française
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| Arme | Cavalerie |
| Grade | Général de brigade |
| Années de service | 1757 – 1795 |
| Conflits | Guerres de la Révolution française |
| Distinctions | Chevalier de Saint-Louis |
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Louis Ancel, né le à Deneuvre, près de Baccarat (Meurthe-et-Moselle) et mort le à Baccarat, est un général de la Révolution française.
État de service
Il s'enrôle à 21 ans, le , comme hussard au Régiment Polleresky, qui est intégré dans le régiment de Turpin en 1758. Il sert en Hanovre jusqu'en 1762, puis devient fourrier le 1er mai de cette année, et est incorporé, le 5, avec son régiment dans celui d'Esterhazy, qui devient plus tard le 3e hussards. Il passe quartier-maître le , obtient une gratification extraordinaire de 300 livres le , puis une commission de lieutenant le . Lieutenant le , premier lieutenant le , il obtient une gratification extraordinaire de 300 livres le , puis une seconde le , une commission de capitaine le , et une autre gratification extraordinaire de 300 livres le .
Il est nommé capitaine de compagnie le , et chevalier de Saint-Louis le . Il fait une chute à la prise de Courtrai en et en reste estropié. Il est nommé le chef d'escadrons, et général de brigade le à près de 57 ans. Il tient alors les fonctions d'inspecteur du dépôt général des hussards et chasseurs à Lunéville du jusqu'au . Il est admis à la retraite du grade de capitaine, soit 2062 livres le , mais reste employé à la 3e division militaire jusqu'en .
Titres, décorations, honneurs
Références
- Georges SIX, Dictionnaire Biographique des généraux et amiraux français de la Révolution et de l'Empire, 2 volumes, Paris, Libr. Saffroy, 1934
- Docteur Robinet, Jean-François Eugène et J. Le Chapelain, Dictionnaire historique et biographique de la révolution et de l'empire, 1789-1815, volume 1, Librairie Historique de la révolution et de l’empire, 900 p. (lire en ligne), p. 32.
