Fujisan Hongū Sengen-taisha

Localisation
Nom dans la langue d’origine	富士山本宮浅間大社
Localité	Fujinomiya, préfecture de Shizuoka
Baigné par	Kanda River (d)
Coordonnées	35° 13′ 39″ N, 138° 36′ 37″ E
Type	Sanctuaire Asama, taisha (en), Ichi-no-miya
Dédié à	Ko-no-Hana
Surface	48 000 m2
Styles	Sengen-zukuri (d), Irimoya-zukuri
Fondateur	Sakanoue no Tamuramaro
Fondation	806
Patrimonialité	Trésor national (Honden); Partie d'un site du patrimoine mondial UNESCO (d) (2013)
Sites web	(ja) www.fuji-hongu.or.jp/sengen; (en) www.fuji-hongu.or.jp/sengen/english

Le Fujisan Hongū Sengen-taisha (富士山本宮浅間大社^?) est un sanctuaire shinto situé dans la ville de Fujinomiya de la préfecture de Shizuoka au Japon. C'est l'ichi-no-miya de l'ancienne province de Suruga et le sanctuaire de tête des 1 300 sanctuaires Asama du pays. Le sanctuaire bénéficie d'un emplacement étendu dans le centre-ville de Fujinomiya. En outre, tout le sommet du mont Fuji vers le haut à partir de la 8^e étape est considéré comme faisant partie des terrains du sanctuaire.

Le principal festival du sanctuaire se déroule tous les 5 mai et comprend des représentations de yabusame^[1].

Kami vénéré

Le principal kami du Fujisan Hongū Sengen-taisha est Konohanasakuya-hime (木花咲耶姫^?), fille de Ōyamatsu no mikoto (大山祇命^?). L'association de Konohanasakuya-hime avec le mont Fuji ne semble dater que du début de l'époque d'Edo. Auparavant, le kami du mont Fuji s'appelait Asama no Okami (浅間大神^?), aussi connu sous les noms Asama Daimyōjin (浅間大明神^?), Asama Gongen (浅間権現^?) ou Sengen Daibōsatsu (浅間大菩薩^?).

Histoire

Bâtiments notables

Le honden du sanctuaire est de caractère distinctif sengen-zukuri avec une porte-tour à un étage. Il est construit en 1604 grâce à un don de Tokugawa Ieyasu, puis est reconstruit plusieurs fois, plus particulièrement après le grand séisme d'Ansei de 1854. Il est répertorié bien culturel important national.

Le grand étang Wakutama-ike (涌玉池^?) dans les jardins du sanctuaire contient une source à l'origine de la rivière Kanda, affluent mineur de la Fuji-kawa. Elle est protégée en tant que « monument naturel » national.

Notes et références

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Fujisan Hongū Sengen Taisha » (voir la liste des auteurs).

↑ Herbe Plutschow, Matsuri: The Festivals of Japan, p. 173.

Voir aussi

Bibliographie

(en) Timothy Clark, 100 Views of Mount Fuji, Trumbull, CT, Weatherhill Books, 1^er mai 2001, 160 p. (ISBN 0-8348-0492-1 et 9780834804920, présentation en ligne).
(en) Herbert Plutschow, Matsuri : The festivals of Japan, Surrey, Japan Library, 1996 (ISBN 1-873410-63-8).
(en) Richard Arthur Brabazon Ponsonby-Fane, Studies in Shinto and shrines, Kakikamo, Ponsonby Memorial Society, 1962 (OCLC 3994492, lire en ligne).
(en) Richard Arthur Brabazon Ponsonby-Fane, The Imperial House of Japan, Kyoto, Ponsonby Memorial Society, 1959 (OCLC 194887, lire en ligne).

Articles connexes

Liens externes

(en) Site officiel.
(en) « Shrines », sur www.japan-guide.com (consulté le 13 novembre 2019).
« Shizuoka : terre d'un shogun, berceau des crevettes Red Cherry et du thé vert japonais », sur www.japan.travel (consulté le 13 novembre 2019).
(en) Wada Yasunari, « Mount Fuji: A Trek to the Top », sur web-japan.org, 15 décembre 2005 (consulté le 13 novembre 2019).

[1] Herbe Plutschow, Matsuri: The Festivals of Japan, p. 173.

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