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La Loi anti-chiens de Cohen

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La Loi anti-chiens de Cohen
Publication
Auteur Steven Schrader
Titre d'origine
The Cohen Dog Exclusion Act
Langue Anglais américain
Parution
Recueil
Eco Fiction
Traduction française
Traduction Frank Straschitz
Parution
française
1984 dans Histoires de rebelles
Intrigue
Genre Science-fiction

La Loi anti-chiens de Cohen (titre original : The Cohen Dog Exclusion Act) est une nouvelle humoristique de science-fiction de Steven Schrader.

Publications

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Publication aux États-Unis

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La nouvelle a été publiée aux États-Unis en sous le titre : The Cohen Dog Exclusion Act, dans Eco Fiction, un recueil regroupant des nouvelles relatives à l'écologie vue sous l’angle de la science-fiction[1].

Ultérieurement, elle a notamment été reprise dans l'anthologie Best SF : 1971[2].

Publication en France

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La nouvelle a été publiée en langue française dans le recueil Histoires de rebelles, collection « Le Livre de poche » n°3813, en 1984, avec une traduction de Frank Straschitz.

En quelques pages, sur un ton alerte et très humoristique, Seymour Cohen explique au lecteur pourquoi il a été interné en hôpital psychiatrique.

Tout a commencé quand il a constaté que les propriétaires de chiens faisaient déféquer leurs animaux de compagnie sur la voie publique. Des crottes partout, infectant l'odorat, et ignobles à la vue.

Si les chiens ont « le droit de chier par terre », pourquoi les humains n'auraient-ils pas ce même droit ?

Rebelle à l'autorité, Cohen se met en situation de déféquer en pleine rue. Arrêté pour exhibition sexuelle et trouble à l'ordre public, il est conduit au tribunal, où il expose sa théorie.

Dans les heures, les jours qui suivent, des milliers de gens suivent son exemple ; des camps se forment. D'un côté les pro-chiens, défenseurs des traditions ancestrales ; d'un autre côté les anti-chiens, organisant des shit-in pour protester contre les crottes canines. La situation dégénère ; une « loi anti-chien » est même votée...

Mais Cohen, le rebelle initial à l'origine de cette semi guerre civile, reste en prison.

Néanmoins grâce à lui, se dit-il, enfin « la ville est débarrassée de la merde de chiens » !

Notes et références

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Articles connexes

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Liens externes

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