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« Élection présidentielle malienne de 2013 » : différence entre les versions

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== Candidatures ==
== Candidatures ==
Les candidats doivent remettre auprès de la [[Cour constitutionnelle (Mali)|Cour constitutionnelle]] la déclaration de candidature qui doit recueillir la signature légalisée d’au moins dix députés ou cinq élus communaux dans chacune des régions et du District de Bamako. Un élu ne peut soutenir plus d’un candidat. Chaque candidat doit déposer une caution de dix millions de francs CFA, remboursable à 50% pour les candidats ayant obtenus 5% au moins des suffrages exprimés lors du 1er tour de l’élection présidentielle<ref>{{article|langue= |nom1= |titre= Élection présidentielle 2012 : les imprimés de déclaration de candidature sont disponibles |périodique= L'Essor |année= 23 février 2012|url texte= http://www.essor.ml/politique/article/election-presidentielle-2012-les |consulté le= }}</ref>.

Plusieurs candidats ont déclaré leur intention de se présenter et/ou ont été investi par leur parti. leurs candidatures devra être validé par le Cours constitutionnelle.
Plusieurs candidats ont déclaré leur intention de se présenter et/ou ont été investi par leur parti. leurs candidatures devra être validé par le Cours constitutionnelle.


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* [[Cheick Modibo Diarra]], astrophysicien malien ayant travaillé à la [[Nasa]] et président de [[Microsoft]] Afrique. Le {{date|6|mars|2011}}, il présente à [[Bamako]] la formation politique qu’il vient de créer en vue de l’élection présidentielle de 2012, le Rassemblement pour le développement du Mali (RPDM)<ref>{{article|langue=fr |nom1= |titre= Mali: l'astrophyscien Cheick Modibo Diarra se lance dans la politique |périodique=AFP |année=7 mars 2011 |url texte= |consulté le= }} ; {{Lien web|url= http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20110307164714/mali-education-amadou-toumani-toure-cheick-modibo-diarramali-en-creant-son-propre-parti-cheick-modibo-diarra-vise-la-presidentielle-de-2012.html|titre= Mali : en créant son propre parti, Cheick Modibo Diarra vise la présidentielle de 2012 |auteur= |année=7 mars 2011 |éditeur=jeuneafrique.com |consulté le= }} ; {{Lien web|url= 2011 http://www.journaldumali.com/article.php?aid=2843|titre= Lancement du RPDM : Cheikh Modibo Diarra, une chance pour le Mali ? |auteur= Modibo Fofana |année=7 mars 2011 |éditeur=journaldumali.com |consulté le= }}</ref>.
* [[Cheick Modibo Diarra]], astrophysicien malien ayant travaillé à la [[Nasa]] et président de [[Microsoft]] Afrique. Le {{date|6|mars|2011}}, il présente à [[Bamako]] la formation politique qu’il vient de créer en vue de l’élection présidentielle de 2012, le Rassemblement pour le développement du Mali (RPDM)<ref>{{article|langue=fr |nom1= |titre= Mali: l'astrophyscien Cheick Modibo Diarra se lance dans la politique |périodique=AFP |année=7 mars 2011 |url texte= |consulté le= }} ; {{Lien web|url= http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20110307164714/mali-education-amadou-toumani-toure-cheick-modibo-diarramali-en-creant-son-propre-parti-cheick-modibo-diarra-vise-la-presidentielle-de-2012.html|titre= Mali : en créant son propre parti, Cheick Modibo Diarra vise la présidentielle de 2012 |auteur= |année=7 mars 2011 |éditeur=jeuneafrique.com |consulté le= }} ; {{Lien web|url= 2011 http://www.journaldumali.com/article.php?aid=2843|titre= Lancement du RPDM : Cheikh Modibo Diarra, une chance pour le Mali ? |auteur= Modibo Fofana |année=7 mars 2011 |éditeur=journaldumali.com |consulté le= }}</ref>.

* Mamadou Djigué dit Jeff annonce le {{date|22|septembre|2011}} sa candidature sous les couleurs du Mouvement des jeunes pour le changement et le développement (MJCD). Cette annonce s'est faite lors d’un meeting organisé au Centre international de conférence de Bamako, en présence de son père Ibrahima N’Diaye, premier vice-président de l'[[Alliance pour la démocratie au Mali-Parti africain pour la solidarité et la justice]]<ref>{{article|langue= |nom1= |titre= Présidentielle de 2012 : Le fils de Djigué aussi s’engage dans la course|périodique= L'indicateur |année=27 septembre 2011 ||url texte= http://www.journaldumali.com/depeches.php?t=0#7737|consulté le= }}</ref>.


* [[Housseini Amion Guindo]], dit «Poulo», président de la [[Convergence pour le développement du Mali]], est désigné le {{date|14|septembre|2011}}par le groupement politique PUR (Partis unis pour la République) candidat à l'élection présidentielle<ref>{{article|langue= |nom1= |titre= Les PUR choisissent Housseini Amion Guindo dit poulo de la CODEM candidat à la présidentielle 2012 : Moussa Mara et ses amis boudent|périodique=L'Indépendant |année=14 septembre 2011||url texte= http://www.maliweb.net/category.php?NID=80703|consulté le= }}</ref>.
* [[Housseini Amion Guindo]], dit «Poulo», président de la [[Convergence pour le développement du Mali]], est désigné le {{date|14|septembre|2011}}par le groupement politique PUR (Partis unis pour la République) candidat à l'élection présidentielle<ref>{{article|langue= |nom1= |titre= Les PUR choisissent Housseini Amion Guindo dit poulo de la CODEM candidat à la présidentielle 2012 : Moussa Mara et ses amis boudent|périodique=L'Indépendant |année=14 septembre 2011||url texte= http://www.maliweb.net/category.php?NID=80703|consulté le= }}</ref>.


* Mamadou Djigué dit Jeff annonce le {{date|22|septembre|2011}} sa candidature sous les couleurs du Mouvement des jeunes pour le changement et le développement (MJCD). Cette annonce s'est faite lors d’un meeting organisé au Centre international de conférence de Bamako, en présence de son père Ibrahima N’Diaye, premier vice-président de l'[[Alliance pour la démocratie au Mali-Parti africain pour la solidarité et la justice]]<ref>{{article|langue= |nom1= |titre= Présidentielle de 2012 : Le fils de Djigué aussi s’engage dans la course|périodique= L'indicateur |année=27 septembre 2011 ||url texte= http://www.journaldumali.com/depeches.php?t=0#7737|consulté le= }}</ref>.
* Tidiane Guindo, avocat, a annoncé sa candidature au nom d'un nouveau parti politique Mali Dambé le 23 février 2012<ref>{{article|langue= |nom1= |titre= Candidat à la présidentielles: me Tidiane Guindo favorable à un report des élections|périodique= L'Indicateur du Renouveau |année= 24 Février 2012|url texte= http://www.malijet.com/actualite-politique-au-mali/39300-candidat-a-la-presidentielle-me-tidiane-guindo-favorable-a-un-re.html|consulté le= }}</ref>.


* [[Ibrahim Boubacar Keïta]], ancien Premier ministre, ancien président de l'Assemblée natioanle et président du [[Rassemblement pour le Mali]] (RPM) a été investi le {{date|14|janvier|2012}}<ref>{{article|langue= |nom1=B. Daou |titre= Présidentielle 2012 : IBK investi par le Rassemblement pour le Mali (RPM) |périodique= Le Républicain |année=16 janvier 2012 |url texte= http://www.maliweb.net/category.php?NID=85624&intr=|consulté le= }}</ref>. Candidat lors des deux précédentes élections présidentielles en [[élection présidentielle malienne de 2002|2002]] et [[élection présidentielle malienne de 2007|2007]], il bénéficie du soutien de quinze partis politiques qui ont signé le {{date|12|janvier|2012}} un protocole d’accord en vue de {{citation| constituer un pôle républicain et démocratique fort et stable}}: Mouvement pour l'indépendance, la renaissance et l'intégration africaine (Miria), de l’Union des Maliens pour le progrès (UMP), de l’[[Union malienne-rassemblement démocratique africain]], du Front africain pour la mobilisation et l'alternance (Fama), du Rassemblement des démocrates républicains (RDR), du Rassemblement pour la justice au Mali (RJD), Parti Sigikafo Oyédamouyé (PSO), de la Concertation démocratique, du Parti de la différence au Mali (PDM), du Parti socialiste et démocratique du Mali (PSDM), du Parti populaire pour le progrès (PPP), du PPM, du MPLO, du RUP, de l'Action démocratique pour le changement et l'alternance au Mali (ADCAM) et du Rassemblement pour le Mali (RPM)<ref>{{article|langue= |nom1= Assane Koné |titre= Présidentielle 2012 : Quinze formations politiques se donnent la main pour faire élire IBK|périodique= Le Républicain |année= 13 janvier 2012|url texte= http://www.maliweb.net/category.php?NID=85571&intr=|consulté le= }}</ref>.
* [[Ibrahim Boubacar Keïta]], ancien Premier ministre, ancien président de l'Assemblée natioanle et président du [[Rassemblement pour le Mali]] (RPM) a été investi le {{date|14|janvier|2012}}<ref>{{article|langue= |nom1=B. Daou |titre= Présidentielle 2012 : IBK investi par le Rassemblement pour le Mali (RPM) |périodique= Le Républicain |année=16 janvier 2012 |url texte= http://www.maliweb.net/category.php?NID=85624&intr=|consulté le= }}</ref>. Candidat lors des deux précédentes élections présidentielles en [[élection présidentielle malienne de 2002|2002]] et [[élection présidentielle malienne de 2007|2007]], il bénéficie du soutien de quinze partis politiques qui ont signé le {{date|12|janvier|2012}} un protocole d’accord en vue de {{citation| constituer un pôle républicain et démocratique fort et stable}}: Mouvement pour l'indépendance, la renaissance et l'intégration africaine (Miria), de l’Union des Maliens pour le progrès (UMP), de l’[[Union malienne-rassemblement démocratique africain]], du Front africain pour la mobilisation et l'alternance (Fama), du Rassemblement des démocrates républicains (RDR), du Rassemblement pour la justice au Mali (RJD), Parti Sigikafo Oyédamouyé (PSO), de la Concertation démocratique, du Parti de la différence au Mali (PDM), du Parti socialiste et démocratique du Mali (PSDM), du Parti populaire pour le progrès (PPP), du PPM, du MPLO, du RUP, de l'Action démocratique pour le changement et l'alternance au Mali (ADCAM) et du Rassemblement pour le Mali (RPM)<ref>{{article|langue= |nom1= Assane Koné |titre= Présidentielle 2012 : Quinze formations politiques se donnent la main pour faire élire IBK|périodique= Le Républicain |année= 13 janvier 2012|url texte= http://www.maliweb.net/category.php?NID=85571&intr=|consulté le= }}</ref>.
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* [[Niankoro Yeah Samaké]], maire de la commune rurale de [[Ouélessébougou]], a déclaré le {{date|12|novembre|2011}}sa candidature à l'élection présidentielle au nom du Parti pour l’action civique et patriotique (PACP), un nouveau parti politique<ref>{{article|langue= |nom1= Madiba Keïta |titre= Niankoro Yeah Samaké porte-parole du PACP |périodique=L'Essor |année=15 novembre 2011 ||url texte= http://www.essor.ml/politique/article/niankoro-yeah-samake-porte-drapeau |consulté le= }}</ref>.
* [[Niankoro Yeah Samaké]], maire de la commune rurale de [[Ouélessébougou]], a déclaré le {{date|12|novembre|2011}}sa candidature à l'élection présidentielle au nom du Parti pour l’action civique et patriotique (PACP), un nouveau parti politique<ref>{{article|langue= |nom1= Madiba Keïta |titre= Niankoro Yeah Samaké porte-parole du PACP |périodique=L'Essor |année=15 novembre 2011 ||url texte= http://www.essor.ml/politique/article/niankoro-yeah-samake-porte-drapeau |consulté le= }}</ref>.


*[[Modibo Sidibé]], ancien Premier ministre, a annoncé sa candidature le {{date|17|janvier|2012}} <ref>{{Lien web|url= http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20120117164839/alpha-oumar-konare-bamako-amadou-toumani-toure-modibo-sidibemali-modibo-sidibe-enfin-candidat.html |titre= Mali : Modibo Sidibé, enfin candidat|auteur= André Silver Konan |année=17 janvier 2012 |éditeur=jeuneafrique.com |consulté le= }}</ref>.
*[[Modibo Sidibé]], ancien Premier ministre, a annoncé sa candidature le {{date|17|janvier|2012}}<ref>{{Lien web|url= http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20120117164839/alpha-oumar-konare-bamako-amadou-toumani-toure-modibo-sidibemali-modibo-sidibe-enfin-candidat.html |titre= Mali : Modibo Sidibé, enfin candidat|auteur= André Silver Konan |année=17 janvier 2012 |éditeur=jeuneafrique.com |consulté le= }}</ref>. Modibo Sidibé a reçu le 6 mars 2012 le soutien de 15 partis politiques regroupés au sein de l'Alliance pour la démocratie, le progrès et la solidarité (ADPS) dont le porte-parole est Me Mamadou Gakou président de la Convention parti du peuple (Copp)<ref>{{Lien web|url= http://www.afriscoop.net/journal/spip.php?breve9397|titre= Mali : 15 partis politiques décident de soutenir la candidature de Modibo Sidibé|auteur= Xinhua |année= 7 mars 2012|éditeur= afriscoop.net |consulté le= }}</ref>.


* [[Mountaga Tall]] a été investi le {{date|15|janvier|2012}} à Bamako candidat par le [[Congrès national d'initiative démocratique]] (CNID). L'avocat a été candidat aux élections présidentielles de [[élection présidentielle malienne de 1992|1992]], [[élection présidentielle malienne de 2002|2002]] et [[élection présidentielle malienne de 2007|2007]]<ref>{{article|langue= |nom1= |titre= Mali: l'avocat Mountaga Tall investi candidat à la présidentielle |périodique= |année= 15 Janvier 2012 |url texte= http://www.lexpressiondz.com/linformation_en_continue/146371-mali-l-039-avocat-mountaga-tall-investi-candidat-a-la-presidentielle.html |consulté le= }}</ref>.
* [[Mountaga Tall]] a été investi le {{date|15|janvier|2012}} à Bamako candidat par le [[Congrès national d'initiative démocratique]] (CNID). L'avocat a été candidat aux élections présidentielles de [[élection présidentielle malienne de 1992|1992]], [[élection présidentielle malienne de 2002|2002]] et [[élection présidentielle malienne de 2007|2007]]<ref>{{article|langue= |nom1= |titre= Mali: l'avocat Mountaga Tall investi candidat à la présidentielle |périodique= |année= 15 Janvier 2012 |url texte= http://www.lexpressiondz.com/linformation_en_continue/146371-mali-l-039-avocat-mountaga-tall-investi-candidat-a-la-presidentielle.html |consulté le= }}</ref>.
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* Cheick Bougadary Traoré, président de la Convergence africaine pour le renouveau (CARE), a été investi candidat de son parti le {{date|28|janvier|2012}}. Cheick Bougadary Traoré est le fils de chef d'État [[Moussa Traoré]] <ref>{{Lien web|url= http://www.afriquejet.com/mali-cheick-bougadary-traore-candidat-a-lelection-presidentielle-2012013032431.html |titre= Mali: Cheick Bougadary Traoré candidat à l'élection présidentielle|auteur= Pana |année=30 janvier 2012 |éditeur= afriquejet.com |consulté le= }}</ref>.
* Cheick Bougadary Traoré, président de la Convergence africaine pour le renouveau (CARE), a été investi candidat de son parti le {{date|28|janvier|2012}}. Cheick Bougadary Traoré est le fils de chef d'État [[Moussa Traoré]] <ref>{{Lien web|url= http://www.afriquejet.com/mali-cheick-bougadary-traore-candidat-a-lelection-presidentielle-2012013032431.html |titre= Mali: Cheick Bougadary Traoré candidat à l'élection présidentielle|auteur= Pana |année=30 janvier 2012 |éditeur= afriquejet.com |consulté le= }}</ref>.


* [[Dioncounda Traoré]], président de l’Assemblée nationale, investi par l’[[Alliance pour la démocratie au Mali-Parti africain pour la solidarité et la justice]] (Adéma-Pasj) le {{date|30|juillet|2011}}<ref>Le{{date|20|juin|2011}}, l’[[Alliance pour la démocratie au Mali-Parti africain pour la solidarité et la justice]] annonce que huit de ses membres ont présenté leur candidature à la primaire organisée par le parti en vue de désigner son candidat à l’élection présidentielle Ibrahima N'Diaye, vice-président du parti, Dioncounda Traoré, président de l’Assemblée nationale et président du parti, Sékou Diakité, deuxième vice-président du parti, Issouf Kamaté, entrepreneur, Tiéoulé Koné, conseiller à la présidence de la république, Ousmane Traoré, directeur général de la Caisse d'épargne et de crédit Kondo Jigima, Harouna Bouaré, Secrétaire politique adjoint de la section Commune IV du parti et Marimanthia Diarra, Secrétaire général du parti, ancien ministre du Plan et de l'aménagement du territoire. - {{article|langue= |nom1= Bruno D Segbedji|titre= Primaires de l'ADEMA-PASJ pour l’élection présidentielle 2012 : Chaudes empoignades entre 8 prétendants pour un fauteuil|périodique= L'Indépendant |année=22 juin 2011 |url texte= http://www.maliweb.net/category.php?NID=77378&intr=|consulté le= }}. Finalement, une {{citation|commission de bon office}} décide de présenter une candidature unique, celle de Dioncounda Traoré. Le {{date|30|juillet|2011}}, les délégués des 53 sections de l'intérieur et ceux des 23 sections </ref>{{,}}<ref> {{article|langue= |nom1= Chahana Takiou |titre= Investi le samedi 30 juillet au Cinéma Babemba : Dioncounda Traoré sur la route de Koulouba |périodique= 22 Septembre |année=1er août 2011 |url texte= http://www.maliweb.net/category.php?NID=79163|consulté le= }}</ref>. Il est soutenu par quinze autre partis politiques qui ont décidé de s'allier à l'Adéma-Pasj. Il s'agit de l'Alliance malienne pour le travail (Amt), du Parti démocratique pour la justice (Pdj), du Mouvement pour la démocratie et le développement (Mdd), du Parti concertation démocratique (Pcd), du Parti social démocratique (Psd), du Front populaire pour la démocratie (Fpd), du Rassemblement constitutionnel démocratique (Rcd), du Psr, de l’Association politique Yêrêko, du Parti pour la justice et la démocratie directe (Pjdd), du Parti pour l’éducation, la culture et la santé (Pecs), du Parti démocratique de développement (Pdd), du Parti écologique pour l’intégration (Pei), du parti pour la démocratie et le progrès (Pdp) et de l’Ufp<ref>{{Lien web|url= http://www.journaldumali.com/article.php?aid=4158|titre= Présidentielle 2012 : Du mouvement dans la ruche|auteur= David Dembélé |année=27 janvier 2012 |éditeur= journaldumali.com |consulté le= }}</ref>.
* [[Dioncounda Traoré]], président de l’Assemblée nationale, investi par l’[[Alliance pour la démocratie au Mali-Parti africain pour la solidarité et la justice]] (Adéma-Pasj) le {{date|30|juillet|2011}}<ref>Le{{date|20|juin|2011}}, l’[[Alliance pour la démocratie au Mali-Parti africain pour la solidarité et la justice]] annonce que huit de ses membres ont présenté leur candidature à la primaire organisée par le parti en vue de désigner son candidat à l’élection présidentielle Ibrahima N'Diaye, vice-président du parti, Dioncounda Traoré, président de l’Assemblée nationale et président du parti, Sékou Diakité, deuxième vice-président du parti, Issouf Kamaté, entrepreneur, Tiéoulé Koné, conseiller à la présidence de la république, Ousmane Traoré, directeur général de la Caisse d'épargne et de crédit Kondo Jigima, Harouna Bouaré, Secrétaire politique adjoint de la section Commune IV du parti et Marimanthia Diarra, Secrétaire général du parti, ancien ministre du Plan et de l'aménagement du territoire. - {{article|langue= |nom1= Bruno D Segbedji|titre= Primaires de l'ADEMA-PASJ pour l’élection présidentielle 2012 : Chaudes empoignades entre 8 prétendants pour un fauteuil|périodique= L'Indépendant |année=22 juin 2011 |url texte= http://www.maliweb.net/category.php?NID=77378&intr=|consulté le= }}. Finalement, une {{citation|commission de bon office}} décide de présenter une candidature unique, celle de Dioncounda Traoré. Le {{date|30|juillet|2011}}, les délégués des 53 sections de l'intérieur et ceux des 23 sections </ref>{{,}}<ref> {{article|langue= |nom1= Chahana Takiou |titre= Investi le samedi 30 juillet au Cinéma Babemba : Dioncounda Traoré sur la route de Koulouba |périodique= 22 Septembre |année=1er août 2011 |url texte= http://www.maliweb.net/category.php?NID=79163|consulté le= }}</ref>. Il est soutenu par quinze autre partis politiques qui ont décidé de s'allier à l'Adéma-Pasj. Il s'agit de l'Alliance malienne pour le travail (Amt), du Parti démocratique pour la justice (Pdj), du Mouvement pour la démocratie et le développement (Mdd), du Parti concertation démocratique (Pcd), du Parti social démocratique (Psd), du Front populaire pour la démocratie (Fpd), du Rassemblement constitutionnel démocratique (Rcd), du Psr, de l’Association politique Yêrêko, du Parti pour la justice et la démocratie directe (Pjdd), du Parti pour l’éducation, la culture et la santé (Pecs), du Parti démocratique de développement (Pdd), du Parti écologique pour l’intégration (Pei), du parti pour la démocratie et le progrès (Pdp) et de l’Ufp<ref>{{Lien web|url= http://www.journaldumali.com/article.php?aid=4158|titre= Présidentielle 2012 : Du mouvement dans la ruche|auteur= David Dembélé |année=27 janvier 2012 |éditeur= journaldumali.com |consulté le= }}</ref>. Le {date|25|février|2012}}, l'[[Union pour la démocratie et le développement]] (UDD) a également annoncé à [[Koutiala]] son soutien Dioncounda Traoré<ref>{{article|langue= |nom1= Madiassa Diakité|nom2= B. Daou |titre= L’UDD votera Dioncounda Traoré|périodique =Le Républicain|année=27 février 2012 |url texte= http://www.afriquejet.com/presidentielle-2012-mali-2012022734087.html |consulté le= }}</ref>.


== Notes et références ==
== Notes et références ==

Version du 11 mars 2012 à 00:48

Erreur : le thème « politique du Mali » du modèle {{ébauche}} n’est pas défini.

Modèle:PolitiqueMali Une élection présidentielle doit se dérouler en 2012 au Mali. Le premier tour est fixé au . Le second tour, si aucun candidat n'obtient la majorité absolue des suffrages exprimés à l'issue du premier tour, est fixé au . Le premier tour est couplé avec le référendum sur la révision de la constitution[1].

Contexte

Cette élection marque la fin du second mandat du président Amadou Toumani Touré, élu le et réélu le . Conformément à la constitution qui limite le nombre de mandat à deux, le président sortant a confirmé lors d’une conférence de presse le qu’il ne se représenterait pas[2].

Organisation de l'élection

Campagne électorale

La campagne électorale à l’occasion du premier tour sera ouverte le dimanche 8 avril 2012 à zéro heure et close le vendredi 27 avril 2012 à minuit. La campagne électorale, en cas de second tour, sera ouverte le lendemain de la proclamation des résultats définitifs du premier tour et close le vendredi 11 mai 2012 à minuit[1].

Polémiques sur l'organisation du scrutin

En 2011, plusieurs polémiques se sont déclenchées concernant l'organisation du scrutin, notamment le fichier électoral et la composition de la Commission électorale nationale indépendante.

Pour constituer le fichier électoral, le gouvernement a décidé de se servir du fichier issu du Recensement administratif à caractère électoral (Race), fichier qu’il convient d’améliorer selon le ministre de l’Administration Territoriale et des Collectivités Locales, le Général Kafougouna Koné. La majorité des partis politiques est favorable à l’utilisation d’un fichier issu du Recensement administratif à vocation d’état civil (Ravec) jugé plus fiable. Or le gouvernement considère que ce second fichier pose un certain nombre de difficultés dont le non recensement des maliens vivant en Côte d’Ivoire et le nombres importants de corrections à y apporter dans un délais très court, ainsi que le coût de l’utilisation de ce fichier estimé à 41 milliards de francs CFA[3]. Lors d’une réunion de concertation entre le gouvernement et les partis politiques le , le Directeur national de l'Intérieur au ministère de l'Administration territoriale et des collectivités locales, Bassidi Coulibaly, a reconnu la faible influence des citoyens pour la révision des listes électorales[4].

La Commission électorale nationale indépendante (CENI) est une institution chargé de contrôler l’organisation et le bon déroulement des élections. Des représentants des partis politiques y siègent. Dix sièges sont prévues à répartir équitablement entre l’opposition et la majorité. Une polémique a lieu entre les partis de la majorité et les partis se revendiquant de l’opposition. Pour la majorité, il faut tenir compte de la représentativité des partis politiques et proposent neuf représentants pour la majorité, à laquelle appartient 143 députés sur 147 et un seul pour l’opposition, représentait à l’Assemblée nationale par un seul parti, Solidarité africaine pour la démocratie et l'indépendance (Sadi) et ses 4 députés. Alors que plusieurs partis de l’opposition extraparlementaire (UNPR, Bara, MPLO, ADCAM, RJP, CD, CNU - Faso-jo-ton) réclament cinq sièges pour l’opposition et cinq pour la majorité[5]. Le , le gouvernement adopte, en conseil des ministres, sur proposition du ministre de l’Administration territoriale et des Collectivités locales le général Kafougouna Koné, le décret portant nomination des membres de la Commission électorale nationale indépendante. Parmi les 10 représentants des partis politiques, un seul représente l'opposition, Moussa Konaté du Parti social démocrate, non représenté à l'Assemblée nationale[6]. L'opposition, considérant que ce décret ne respecte par l'esprit de la loi électorale de 2006 qui prévoit un partage équitable entre la majorité et l'opposition a saisi la Cour suprême[7]. Le 11 octobre, la Cour suprême a débouté les plaignants[8].

Le , Mamadou Diamoutani, docteur en mathématique et secrétaire général du Haut conseil islamique du Mali, a été élu président de la Ceni[9].

Candidatures

Les candidats doivent remettre auprès de la Cour constitutionnelle la déclaration de candidature qui doit recueillir la signature légalisée d’au moins dix députés ou cinq élus communaux dans chacune des régions et du District de Bamako. Un élu ne peut soutenir plus d’un candidat. Chaque candidat doit déposer une caution de dix millions de francs CFA, remboursable à 50% pour les candidats ayant obtenus 5% au moins des suffrages exprimés lors du 1er tour de l’élection présidentielle[10]. Plusieurs candidats ont déclaré leur intention de se présenter et/ou ont été investi par leur parti. leurs candidatures devra être validé par le Cours constitutionnelle.

  • Jamille Bittar, premier vice-président du Parti pour le développement économique et social du Mali (PDES), a annoncé le sa candidature à l'élection présidentielle. Le président de la Chambre de commerce et d’industrie et du Conseil économique et social est soutenu par l’Union des mouvements et associations du Mali, créée deux mois auparavant[11].
  • Le , Aminata Niamoto Diakité, a déclaré sa candidature à l'élection présidentielle , investie par le parti humaniste Adamaden Ya Ton[12].
  • Cheick Modibo Diarra, astrophysicien malien ayant travaillé à la Nasa et président de Microsoft Afrique. Le , il présente à Bamako la formation politique qu’il vient de créer en vue de l’élection présidentielle de 2012, le Rassemblement pour le développement du Mali (RPDM)[14].
  • Tidiane Guindo, avocat, a annoncé sa candidature au nom d'un nouveau parti politique Mali Dambé le 23 février 2012[17].
  • Ibrahim Boubacar Keïta, ancien Premier ministre, ancien président de l'Assemblée natioanle et président du Rassemblement pour le Mali (RPM) a été investi le [18]. Candidat lors des deux précédentes élections présidentielles en 2002 et 2007, il bénéficie du soutien de quinze partis politiques qui ont signé le un protocole d’accord en vue de « constituer un pôle républicain et démocratique fort et stable »: Mouvement pour l'indépendance, la renaissance et l'intégration africaine (Miria), de l’Union des Maliens pour le progrès (UMP), de l’Union malienne-rassemblement démocratique africain, du Front africain pour la mobilisation et l'alternance (Fama), du Rassemblement des démocrates républicains (RDR), du Rassemblement pour la justice au Mali (RJD), Parti Sigikafo Oyédamouyé (PSO), de la Concertation démocratique, du Parti de la différence au Mali (PDM), du Parti socialiste et démocratique du Mali (PSDM), du Parti populaire pour le progrès (PPP), du PPM, du MPLO, du RUP, de l'Action démocratique pour le changement et l'alternance au Mali (ADCAM) et du Rassemblement pour le Mali (RPM)[19].
  • Aguibou Koné, ancien leader estudiantin, annonce le qu’il se présentera à l’élection présidentielle de 2012 pour défendre les couleurs d’une organisation politique dénommée « A Yèlè » (« ouvrir » en langue nationale bambara)[20],[21].
  • Achérif Ag Mohamed, désigné le par l'Union nationale pour le travail et le développement[23].
  • Soumana Sako, ancien Premier ministre et président de la Convention nationale pour une Afrique solidaire (CNAS) a déclaré sa candidature le [24].
  • Niankoro Yeah Samaké, maire de la commune rurale de Ouélessébougou, a déclaré le sa candidature à l'élection présidentielle au nom du Parti pour l’action civique et patriotique (PACP), un nouveau parti politique[25].
  • Modibo Sidibé, ancien Premier ministre, a annoncé sa candidature le [26]. Modibo Sidibé a reçu le 6 mars 2012 le soutien de 15 partis politiques regroupés au sein de l'Alliance pour la démocratie, le progrès et la solidarité (ADPS) dont le porte-parole est Me Mamadou Gakou président de la Convention parti du peuple (Copp)[27].
  • Cheick Bougadary Traoré, président de la Convergence africaine pour le renouveau (CARE), a été investi candidat de son parti le . Cheick Bougadary Traoré est le fils de chef d'État Moussa Traoré [29].
  • Dioncounda Traoré, président de l’Assemblée nationale, investi par l’Alliance pour la démocratie au Mali-Parti africain pour la solidarité et la justice (Adéma-Pasj) le [30],[31]. Il est soutenu par quinze autre partis politiques qui ont décidé de s'allier à l'Adéma-Pasj. Il s'agit de l'Alliance malienne pour le travail (Amt), du Parti démocratique pour la justice (Pdj), du Mouvement pour la démocratie et le développement (Mdd), du Parti concertation démocratique (Pcd), du Parti social démocratique (Psd), du Front populaire pour la démocratie (Fpd), du Rassemblement constitutionnel démocratique (Rcd), du Psr, de l’Association politique Yêrêko, du Parti pour la justice et la démocratie directe (Pjdd), du Parti pour l’éducation, la culture et la santé (Pecs), du Parti démocratique de développement (Pdd), du Parti écologique pour l’intégration (Pei), du parti pour la démocratie et le progrès (Pdp) et de l’Ufp[32]. Le {date|25|février|2012}}, l'Union pour la démocratie et le développement (UDD) a également annoncé à Koutiala son soutien Dioncounda Traoré[33].

Notes et références

  1. a et b Gouvernement, « Communiqué du Conseil des Ministres du 18 janvier 2012 », journaldumali.com,
  2. « ATT face à la presse : Anniversaire d’investiture, l’heure du bilan », Zénith Balé,‎ (lire en ligne)
  3. Youssouf Diallo, « Fichier électoral - Le gouvernement opte pour le RACE - «Il faut revoir cette façon de faire», rétorque Tièbilé Dramé », 22 Septembre,‎ (lire en ligne)
  4. « Préparatifs des élections générales et référendaire d'avril-juillet prochains : Le Gouvernement fait le point à la classe politique qui reste sceptique », L'Indépendant,‎ (lire en ligne)
  5. « Composition de la CENI : le ton monte », L’Essor,‎ (lire en ligne)
  6. Cherif Ouazani, « Mali : Mariko contre vents et marées », Jeune Afrique,‎ (lire en ligne)
  7. Issa Fakaba Sissoko, « Après la promulgation du décret sur la mise en place de la Ceni : L’opposition a porté plainte ce lundi devant la Cour suprême », L'indicateur Renouveau,‎ (lire en ligne)
  8. Panapress, « CENI-Mali: La Cour suprême déboute des partis d'opposition », ;Baba Dembélé, Assane Koné et Hadama Fofana, « Ceni / l’opposition déboutée / Réaction de la classe politique », Le Républicain, {{Article}} : paramètre « date » manquant (lire en ligne)
  9. « Mamadou Diamoutani élu président de la CENI », Journaldumali.com,
  10. « Élection présidentielle 2012 : les imprimés de déclaration de candidature sont disponibles », L'Essor,‎ (lire en ligne)
  11. Pana, « Mali: Jamille Bittar candidat à l'élection présidentielle », afriquejet.com,
  12. « MALI: Présidentielle 2012 : Aminata Niamoto Diakité dans la course ! », koaci.com,
  13. Abdoulaye Diakité, « Présidentielle : La candidature de l’ancienne ministre, Mme Sidibé Aminata Diallo déjà rejetée », L'indicateur Renouveau,‎ (lire en ligne)
  14. « Mali: l'astrophyscien Cheick Modibo Diarra se lance dans la politique », AFP,‎  ; « Mali : en créant son propre parti, Cheick Modibo Diarra vise la présidentielle de 2012 », jeuneafrique.com,  ; Modibo Fofana, « Lancement du RPDM : Cheikh Modibo Diarra, une chance pour le Mali ? », journaldumali.com,
  15. « Présidentielle de 2012 : Le fils de Djigué aussi s’engage dans la course », L'indicateur,‎ (lire en ligne)
  16. « Les PUR choisissent Housseini Amion Guindo dit poulo de la CODEM candidat à la présidentielle 2012 : Moussa Mara et ses amis boudent », L'Indépendant,‎ (lire en ligne)
  17. « Candidat à la présidentielles: me Tidiane Guindo favorable à un report des élections », L'Indicateur du Renouveau,‎ (lire en ligne)
  18. B. Daou, « Présidentielle 2012 : IBK investi par le Rassemblement pour le Mali (RPM) », Le Républicain,‎ (lire en ligne)
  19. Assane Koné, « Présidentielle 2012 : Quinze formations politiques se donnent la main pour faire élire IBK », Le Républicain,‎ (lire en ligne)
  20. Madiba Keïta, « Présidentielle 2012 : Aguibou Koné se lance dans la course », L'Essor,‎ (lire en ligne)
  21. Kassoum Thera, « Présidentielle de 2012 : Aguibou Koné, un ancien leader estudiantin dans la course », Malikounda,‎ (lire en ligne)
  22. Le , les délégués de la 2e session ordinaire du Comité central du parti Solidarité africaine pour la démocratie et l'indépendance investissent à l’unanimité Oumar Mariko comme candidat à l’élection présidentielle. Issa Fakaba Sissoko, « Après son investiture par le Parti Sadi : Oumar Mariko dévoile son « engagement pour le Mali » », L'indicateur Renouveau,‎ (lire en ligne)
  23. Allaye Lam, « Présidentielles 2012 : Achérif Ag Mohamed candidat », L'Essor,‎ (lire en ligne)
  24. Malika Groga-Bada, « Mali : Soumana Sako, un candidat de plus à la présidentielle », jeuneafrique.com,
  25. Madiba Keïta, « Niankoro Yeah Samaké porte-parole du PACP », L'Essor,‎ (lire en ligne)
  26. André Silver Konan, « Mali : Modibo Sidibé, enfin candidat », jeuneafrique.com,
  27. Xinhua, « Mali : 15 partis politiques décident de soutenir la candidature de Modibo Sidibé », afriscoop.net,
  28. « Mali: l'avocat Mountaga Tall investi candidat à la présidentielle », {{Article}} : paramètre « périodique » manquant,‎ (lire en ligne)
  29. Pana, « Mali: Cheick Bougadary Traoré candidat à l'élection présidentielle », afriquejet.com,
  30. Le, l’Alliance pour la démocratie au Mali-Parti africain pour la solidarité et la justice annonce que huit de ses membres ont présenté leur candidature à la primaire organisée par le parti en vue de désigner son candidat à l’élection présidentielle Ibrahima N'Diaye, vice-président du parti, Dioncounda Traoré, président de l’Assemblée nationale et président du parti, Sékou Diakité, deuxième vice-président du parti, Issouf Kamaté, entrepreneur, Tiéoulé Koné, conseiller à la présidence de la république, Ousmane Traoré, directeur général de la Caisse d'épargne et de crédit Kondo Jigima, Harouna Bouaré, Secrétaire politique adjoint de la section Commune IV du parti et Marimanthia Diarra, Secrétaire général du parti, ancien ministre du Plan et de l'aménagement du territoire. - Bruno D Segbedji, « Primaires de l'ADEMA-PASJ pour l’élection présidentielle 2012 : Chaudes empoignades entre 8 prétendants pour un fauteuil », L'Indépendant,‎ (lire en ligne). Finalement, une « commission de bon office » décide de présenter une candidature unique, celle de Dioncounda Traoré. Le , les délégués des 53 sections de l'intérieur et ceux des 23 sections
  31. Chahana Takiou, « Investi le samedi 30 juillet au Cinéma Babemba : Dioncounda Traoré sur la route de Koulouba », 22 Septembre,‎ (lire en ligne)
  32. David Dembélé, « Présidentielle 2012 : Du mouvement dans la ruche », journaldumali.com,
  33. Madiassa Diakité et B. Daou, « L’UDD votera Dioncounda Traoré », Le Républicain,‎ (lire en ligne)