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Le '''Network Working Group''' est un groupe informel de quelques chercheurs qui s'est mis en place en [[Californie]] autour de [[Steve Crocker]] pour travailler aux tout premiers protocoles d'[[Arpanet]], en particulier pour le [[courrier électronique]], et qui a débouché sur le protocole TCP/IP de [[Vinton Cerf]]. Sa première réunion date de février 1969.
Le '''Network Working Group''' est un groupe informel d'universitaires créé en février 1969 à l'[[Université de Californie à Los Angeles|Université de Los Angeles]] autour de [[Steve Crocker]] pour définir les protocoles d'[[Arpanet]], en particulier le [[courrier électronique]], qui a débouché sur le protocole TCP/IP.


Fondé sur les "valeurs d’ouverture d’esprit et de pensée critique"<ref>"L’INNOVATION COMME COMMUNAUTE DE COMMUNAUTES : UNE ETUDE DE CAS HISTORIQUE", par Pierre Barbaroux Ecoles d’Officiers de l’Armée de l’air (EOAA) Centre de Recherche de l’Armée de l’air (CReA), page 17 [http://www.strategie-aims.com/events/conferences/2-xixeme-conference-de-l-aims/communications/24-linnovation-comme-communaute-de-communautes-une-etude-de-cas-historique/download]</ref>, le groupe encouragea ainsi la participation des utilisateurs et des développeurs aux tâches de formulation et de résolution des problèmes. Puis au partage des bonnes pratiques. Au sein du groupe, les débats de [[1969]] portent sur les questions de "client-serveur" et de [[temps partage]]<ref>"Internet, Telematics, and Health" par Marcelo C. Sosa-Iudicissa,Pan American Health Organization, page 125 [http://books.google.fr/books?id=4BSBUSEEtwAC&pg=PA125&dq=%22g%C3%A9rard+deloche%22+++NCP&hl=fr&sa=X&ei=pwr1UoSyDImihgeXmIDYCQ&ved=0CDAQ6AEwAA#v=onepage&q=deloche&f=false]</ref>.
== Histoire ==
A l’été 1968, Elmer B. Shapiro, du [[SRI International|Stanford Research Institute]], est mandaté par l’[[Bureau des techniques de traitement de l'information|IPTO]] pour explorer les solutions techniques aux problèmes de communication host-to-host. Quelques mois plus tard, en février 1969<ref>"L’INNOVATION COMME COMMUNAUTE DE COMMUNAUTES : UNE ETUDE DE CAS HISTORIQUE", par Pierre Barbaroux Ecoles d’Officiers de l’Armée de l’air (EOAA) Centre de Recherche de l’Armée de l’air (CReA), page 17 [http://www.strategie-aims.com/events/conferences/2-xixeme-conference-de-l-aims/communications/24-linnovation-comme-communaute-de-communautes-une-etude-de-cas-historique/download]</ref>, "la première rencontre entre les représentants des sites hôtes et ceux du NMC et de NAC a lieu chez le fournisseur de matériel, la firme [[Bolt, Beranek and Newman]], en présence du fournisseur des IMP.


== Histoire ==
Le NWG a rapidement pour mission de réfléchir aux premières spécifications d'[[ARPANET]], autour de [[Steve Crocker]]. Ce dernier définit les [[Request for comments]], qui sont diffusées selon un mode collaboratif, ouvert et transparent<ref>"Les télécommunications, entre bien public et marchandise", page 72, par Djilali Benamrane - 2005 - [http://books.google.fr/books?id=K6SAgQiBnywC&pg=PA72&dq=%22Network+Working+Group%22&hl=fr&sa=X&ei=YkP1UqjXNOnJ0QXB7oCoCA&ved=0CFUQ6AEwBg#v=onepage&q=%22Network%20Working%20Group%22&f=false]</ref>.
A l’été 1968, Elmer B. Shapiro, du [[SRI International|Stanford Research Institute]], est mandaté par l’[[Bureau des techniques de traitement de l'information|IPTO]] pour explorer les solutions techniques aux problèmes de communication host-to-host.


Le tout premier "Network Working Group" semble composé de [[Steve Carr]], de l'Utah, Jeff Rulifson et Bill Duvall du [[SRI International|Stanford Research Institute]], [[Steve Crocker]] et le français [[Gérard Deloche]], jeune ingénieur de la [[Compagnie internationale pour l'informatique]] et étudiant sur le campus.
En février 1969<ref>"L’INNOVATION COMME COMMUNAUTE DE COMMUNAUTES : UNE ETUDE DE CAS HISTORIQUE", par Pierre Barbaroux Ecoles d’Officiers de l’Armée de l’air (EOAA) Centre de Recherche de l’Armée de l’air (CReA), page 17 [http://www.strategie-aims.com/events/conferences/2-xixeme-conference-de-l-aims/communications/24-linnovation-comme-communaute-de-communautes-une-etude-de-cas-historique/download]</ref>, la première rencontre a lieu chez le fournisseur de matériel, la firme [[Bolt, Beranek and Newman]]. Le NWG a pour mission de réfléchir aux premières spécifications d'[[ARPANET]]. Le tout premier "Network Working Group" semble composé de [[Steve Carr]], de l'Utah, Jeff Rulifson et Bill Duvall du [[SRI International|Stanford Research Institute]], [[Steve Crocker]] et le français [[Gérard Deloche]], ingénieur de la [[Compagnie internationale pour l'informatique|CII]] pourvu d'une bourse d'étude.


Le {{date|7|avril|1969|en informatique}}, [[Steve Crocker]] et le NWG inventent les [[Request for comments]], en mode collaboratif, ouvert et transparent<ref>"Les télécommunications, entre bien public et marchandise", page 72, par Djilali Benamrane - 2005 - [http://books.google.fr/books?id=K6SAgQiBnywC&pg=PA72&dq=%22Network+Working+Group%22&hl=fr&sa=X&ei=YkP1UqjXNOnJ0QXB7oCoCA&ved=0CFUQ6AEwBg#v=onepage&q=%22Network%20Working%20Group%22&f=false]</ref>. La 1ère est titrée « Logiciel hôte ».
La première liaison a lieu le 29 octobre 1969, dans la salle de calcul du département informatique de l'UCLA. Entouré d'étudiants-chercheurs parmi lesquels [[Michel Elie]], le seul européen présent, et d'un ingénieur de la société BBN, le professeur [[Leonard Kleinrock]] tape sur un simple terminal un premier caractère de l’ordinateur [[CII 10070|Sima 7]]<ref>"Quarante ans après : mais qui donc créa l’internet ?" par [[Michel Elie]], sur le site de l'association VCAM [http://vecam.org/article1123.html]</ref>, au [[système d'exploitation]] duquel avait contribué [[Jean Ichbiah]].


Le {{date|9|mai|1969|en informatique}}, un mois après, la [[Requests for comments]] numéro 9 signée de Gérard Deloche<ref>LE RÉSEAU CYCLADES ET INTERNET : QUELLES OPPORTUNITÉS POUR LA FRANCE DES ANNÉES 1970 ?" , par VALÉRIE SCHAFER. Professeur agrégée, doctorante à l'Université de Paris IV-Sorbonne, Comité d'histoire du Ministère des Finances, Séminaire Haute Technologie du 14 mars 2007, page 6 [http://www.comite-histoire.minefi.gouv.fr/industrie/haute_techno/documents6946/downloadFile/attachedFile_5/schafer-reseau-cyclades.pdf?nocache=1199972008.03] </ref>, lance une discussion qui aboutira à la création du protocole [[Network Control Program (Arpanet)|NCP]].
Le Network Working Group a ensuite défini le protocole de communication poste-à-poste [[Network Control Program (Arpanet)|NCP]], en décembre [[1970]], immédiatement adopté entre [[1971]] et [[1972]] par les sites branchés à [[ARPANET]].


Le {{date|29|octobre|1969|en informatique}} a lieu la première liaison [[Arpanet]], dans la salle de calcul du département informatique de l'UCLA. Entouré d'étudiants-chercheurs, parmi lesquels [[Michel Elie]], qui a repris la bourse de [[Gérard Deloche]], et d'un ingénieur de [[Bolt, Beranek and Newman]], le professeur [[Leonard Kleinrock]] tape sur un simple terminal un premier caractère de l’ordinateur [[CII 10070|Sima 7]]<ref>"Quarante ans après : mais qui donc créa l’internet ?" par [[Michel Elie]], sur le site de l'association VCAM [http://vecam.org/article1123.html]</ref>, au [[système d'exploitation]] duquel avait contribué [[Jean Ichbiah]].
Enthousiaste, [[Michel Elie]] revient à Paris et fait en janvier 1971<ref>"La France en réseaux (1960-1980)", par Valérie Schafer (tome 1, page 71), extraits repris sur le site de Laurent Bloch [http://www.laurentbloch.org/MySpip3/spip.php?article246]</ref> un exposé du projet Arpanet lors d’une réunion organisée par la [[Délégation à l'informatique]]. Son responsable [[Maurice Allègre]] décide<ref>"La France en réseaux (1960-1980)", par Valérie Schafer (tome 1, page 72), extraits repris sur le site de Laurent Bloch [http://www.laurentbloch.org/MySpip3/spip.php?article246]</ref> de lancer un projet de réseau similaire, le [[Cyclades (réseau)|réseau Cyclades]], hébergé par l’[[IRIA]] et dirigé par [[Louis Pouzin]].


En {{date|décembre|1970|en informatique}}, le NWG invente le [[Network Control Program (Arpanet)|NCP]], protocole de communication poste-à-poste immédiatement adopté entre [[1971]] et [[1972]] par les sites reliés à [[ARPANET]].
Fondé sur les "valeurs d’ouverture d’esprit et de pensée critique"<ref>"L’INNOVATION COMME COMMUNAUTE DE COMMUNAUTES : UNE ETUDE DE CAS HISTORIQUE", par Pierre Barbaroux Ecoles d’Officiers de l’Armée de l’air (EOAA) Centre de Recherche de l’Armée de l’air (CReA), page 17 [http://www.strategie-aims.com/events/conferences/2-xixeme-conference-de-l-aims/communications/24-linnovation-comme-communaute-de-communautes-une-etude-de-cas-historique/download]</ref>, le groupe encouragea ainsi la participation des utilisateurs et des développeurs aux tâches de formulation et de résolution des problèmes, et de partage des bonnes pratiques. Le NWG émergea de la répétition de rencontres informelles entre membres de la communautés des informaticiens engagés dans une activité de recensement des questions de recherche. Au sein du groupe, les débats de [[1969]] portent aussi largement sur les questions de "client-serveur" et de [[temps partage]]<ref>"Internet, Telematics, and Health" par Marcelo C. Sosa-Iudicissa,Pan American Health Organization, page 125 [http://books.google.fr/books?id=4BSBUSEEtwAC&pg=PA125&dq=%22g%C3%A9rard+deloche%22+++NCP&hl=fr&sa=X&ei=pwr1UoSyDImihgeXmIDYCQ&ved=0CDAQ6AEwAA#v=onepage&q=deloche&f=false]</ref>.


En {{date|janvier|1971|en informatique}}<ref>"La France en réseaux (1960-1980)", par Valérie Schafer (tome 1, page 71), extraits repris sur le site de Laurent Bloch [http://www.laurentbloch.org/MySpip3/spip.php?article246]</ref>, [[Michel Elie]], revenu à Paris, décrit le projet Arpanet lors d’une réunion organisée par la [[Délégation à l'informatique]]. Son responsable [[Maurice Allègre]] décide<ref>"La France en réseaux (1960-1980)", par Valérie Schafer (tome 1, page 72), extraits repris sur le site de Laurent Bloch [http://www.laurentbloch.org/MySpip3/spip.php?article246]</ref> de lancer un projet de réseau similaire, le [[Cyclades (réseau)|réseau Cyclades]], hébergé par l’[[IRIA]] et dirigé par [[Louis Pouzin]]. [[Michel Elie]] est chargé de la [[Distributed System Architecture]] au sein de la [[Compagnie internationale pour l'informatique|CII]].
Et octobre 1972, le NWG prend une dimension internationale, sous la direction de [[Vinton Cerf]], et devient INWG ([[International Network Working Group]]) lors de la première conférence internationale sur les communications informatiques<ref>"Les télécommunications, entre bien public et marchandise", page 72, par Djilali Benamrane - 2005 - [http://books.google.fr/books?id=K6SAgQiBnywC&pg=PA72&dq=%22Network+Working+Group%22&hl=fr&sa=X&ei=YkP1UqjXNOnJ0QXB7oCoCA&ved=0CFUQ6AEwBg#v=onepage&q=%22Network%20Working%20Group%22&f=false]</ref>. La [[France]] y est représentée par [[Louis Pouzin]], chercheur à l'[[IRIA]] et patron du tout nouveau [[Cyclades (réseau)]], qui a adopté une démarche identique de celle de l'[[ARPANET]].


En octobre 1972, devient international. Il est rebaptisé INWG ([[International Network Working Group]]) lors de la première conférence internationale sur les communications informatiques<ref>"Les télécommunications, entre bien public et marchandise", page 72, par Djilali Benamrane - 2005 - [http://books.google.fr/books?id=K6SAgQiBnywC&pg=PA72&dq=%22Network+Working+Group%22&hl=fr&sa=X&ei=YkP1UqjXNOnJ0QXB7oCoCA&ved=0CFUQ6AEwBg#v=onepage&q=%22Network%20Working%20Group%22&f=false]</ref>. La [[France]] y est représentée par [[Louis Pouzin]], patron du tout nouveau [[Cyclades (réseau)]], qui a adopté une démarche identique de celle de l'[[ARPANET]]. L'INWG est placé sous la direction de [[Vinton Cerf]].
En [[1972]] aussi, [[Ray Tomlinson]] mit au point la première application importante : le [[courrier électronique]]. En octobre [[1972]], Kahn organisa la première démonstration à grande échelle d'[[ARPANET]] à l'[[International Computer Communication Conference]] (ICCC). C'était la première démonstration publique.
En [[1972]] aussi, [[Ray Tomlinson]] mit au point la première application importante : le [[courrier électronique]]. En octobre [[1972]], Kahn organisa la première démonstration à grande échelle d'[[ARPANET]] à l'[[International Computer Communication Conference]] (ICCC). C'était la première démonstration publique.



Version du 7 mars 2014 à 16:59

Le Network Working Group est un groupe informel d'universitaires créé en février 1969 à l'Université de Los Angeles autour de Steve Crocker pour définir les protocoles d'Arpanet, en particulier le courrier électronique, qui a débouché sur le protocole TCP/IP.

Fondé sur les "valeurs d’ouverture d’esprit et de pensée critique"[1], le groupe encouragea ainsi la participation des utilisateurs et des développeurs aux tâches de formulation et de résolution des problèmes. Puis au partage des bonnes pratiques. Au sein du groupe, les débats de 1969 portent sur les questions de "client-serveur" et de temps partage[2].

Histoire

A l’été 1968, Elmer B. Shapiro, du Stanford Research Institute, est mandaté par l’IPTO pour explorer les solutions techniques aux problèmes de communication host-to-host.

En février 1969[3], la première rencontre a lieu chez le fournisseur de matériel, la firme Bolt, Beranek and Newman. Le NWG a pour mission de réfléchir aux premières spécifications d'ARPANET. Le tout premier "Network Working Group" semble composé de Steve Carr, de l'Utah, Jeff Rulifson et Bill Duvall du Stanford Research Institute, Steve Crocker et le français Gérard Deloche, ingénieur de la CII pourvu d'une bourse d'étude.

Le , Steve Crocker et le NWG inventent les Request for comments, en mode collaboratif, ouvert et transparent[4]. La 1ère est titrée « Logiciel hôte ».

Le , un mois après, la Requests for comments numéro 9 signée de Gérard Deloche[5], lance une discussion qui aboutira à la création du protocole NCP.

Le a lieu la première liaison Arpanet, dans la salle de calcul du département informatique de l'UCLA. Entouré d'étudiants-chercheurs, parmi lesquels Michel Elie, qui a repris la bourse de Gérard Deloche, et d'un ingénieur de Bolt, Beranek and Newman, le professeur Leonard Kleinrock tape sur un simple terminal un premier caractère de l’ordinateur Sima 7[6], au système d'exploitation duquel avait contribué Jean Ichbiah.

En décembre, le NWG invente le NCP, protocole de communication poste-à-poste immédiatement adopté entre 1971 et 1972 par les sites reliés à ARPANET.

En janvier[7], Michel Elie, revenu à Paris, décrit le projet Arpanet lors d’une réunion organisée par la Délégation à l'informatique. Son responsable Maurice Allègre décide[8] de lancer un projet de réseau similaire, le réseau Cyclades, hébergé par l’IRIA et dirigé par Louis Pouzin. Michel Elie est chargé de la Distributed System Architecture au sein de la CII.

En octobre 1972, devient international. Il est rebaptisé INWG (International Network Working Group) lors de la première conférence internationale sur les communications informatiques[9]. La France y est représentée par Louis Pouzin, patron du tout nouveau Cyclades (réseau), qui a adopté une démarche identique de celle de l'ARPANET. L'INWG est placé sous la direction de Vinton Cerf. En 1972 aussi, Ray Tomlinson mit au point la première application importante : le courrier électronique. En octobre 1972, Kahn organisa la première démonstration à grande échelle d'ARPANET à l'International Computer Communication Conference (ICCC). C'était la première démonstration publique.

L'infrastructure a suivi, avec un léger temps de retard. Le 20 septembre 1969, BBN installa le premier équipement à l'UCLA où travaillait Kleinrock. Le second nœud du réseau fut installé au Stanford Research Institute (SRI) où travaillait Douglas Engelbart sur un projet d'hypertexte. Deux nœuds supplémentaires furent ajoutés avec l'université de Santa Barbara et l'université d'Utah. Fin 1969, ARPANET comptait donc quatre nœuds.

Notes et références

  1. "L’INNOVATION COMME COMMUNAUTE DE COMMUNAUTES : UNE ETUDE DE CAS HISTORIQUE", par Pierre Barbaroux Ecoles d’Officiers de l’Armée de l’air (EOAA) Centre de Recherche de l’Armée de l’air (CReA), page 17 [1]
  2. "Internet, Telematics, and Health" par Marcelo C. Sosa-Iudicissa,Pan American Health Organization, page 125 [2]
  3. "L’INNOVATION COMME COMMUNAUTE DE COMMUNAUTES : UNE ETUDE DE CAS HISTORIQUE", par Pierre Barbaroux Ecoles d’Officiers de l’Armée de l’air (EOAA) Centre de Recherche de l’Armée de l’air (CReA), page 17 [3]
  4. "Les télécommunications, entre bien public et marchandise", page 72, par Djilali Benamrane - 2005 - [4]
  5. LE RÉSEAU CYCLADES ET INTERNET : QUELLES OPPORTUNITÉS POUR LA FRANCE DES ANNÉES 1970 ?" , par VALÉRIE SCHAFER. Professeur agrégée, doctorante à l'Université de Paris IV-Sorbonne, Comité d'histoire du Ministère des Finances, Séminaire Haute Technologie du 14 mars 2007, page 6 [5]
  6. "Quarante ans après : mais qui donc créa l’internet ?" par Michel Elie, sur le site de l'association VCAM [6]
  7. "La France en réseaux (1960-1980)", par Valérie Schafer (tome 1, page 71), extraits repris sur le site de Laurent Bloch [7]
  8. "La France en réseaux (1960-1980)", par Valérie Schafer (tome 1, page 72), extraits repris sur le site de Laurent Bloch [8]
  9. "Les télécommunications, entre bien public et marchandise", page 72, par Djilali Benamrane - 2005 - [9]