Utilisateur:Pierre73/Brouillon

http://www.capital.fr/enquetes/succes/opinel-l-humble-savoyard-qui-defie-l-amerique-1155822 http://www.lemonde.fr/disparitions/article/2016/08/17/mort-de-maurice-opinel-president-des-couteaux-opinel_4984156_3382.html

Publier : [1] Discussion:Publier/Bon article

http://haiti.upmf-grenoble.fr/?page_id=5917 : Roger Decottignies

Palmarès international

Date	Compétition	Lieu	Résultat	Épreuve	Performance
1956	Jeux olympiques	Melbourne	12e	10 000 m	30 min 18 s 0
			1er	Marathon	2 h 25 min 0 s
1958	Championnats d'Europe	Stockholm	7e	10 000 m	29 min 30 s 6
1960	Jeux olympiques	Rome	34e	Marathon	2 h 31 min 20 s

SDDSI (service départemental de défense et de secours contre l’incendie) Créé en 1941 pour mettre à disposition des centres de secours (communaux) des renforts en matériel ou en personnel. Une participation communale finance le service (en 1956, 6 à 40 F par habitant). Le CG apporte en 1947 20MF pour créer le service de protection civile (1947) puis un poste de commandant (1949). Le Conseil général apporte du financement de véhicules à partir de 1953. Le décret du 20 mai 1955 indique que « l’acquisition, l’entretien, le renouvellement du matériel seront assurés par les communes sièges des centres de secours avec l’aide de l’Etat et du département »., le SDDSI devient un établissement public (avec personnalité juridique et autonomie financière), qui reprend la propriété du matériel de lutte contre l’incendie.

https://en.wikipedia.org/wiki/Saint_Petersburg_Declaration_of_1868

A supprimer :

Arnaud Rebotini

Zend Avesta

Ivan Smagghe

Black Strobe

Gameforge GmbH

Jean de Pingon

Patrice Abeille

Savoie angels

Gelules.tv

Newgrounds

   * Bordeaux Bombers
   * Montpellier Fire Sharks
   * Paris Cockerels
   * Perpignan Tigers
   * Strasbourg Kangourous
   * Tasmania Montivilliers
   * Toulouse Crocodiles

   * 007 Tu Peux Pas Test
   * Chuck Norris Facts (Mozinor)
   * Kong Lanta
   * Mozinor
   * Social Supa Crew
   * Titanic Park
   * Total Chuck Norris

Assainissement de la Chautagne

Une partie importante de la Chautagne est constituée de marais, et à la fin des années 1940 des projets d'assainissement d'un millier d'hectares existent.

En 1949 la Compagnie nationale du Rhône annonce la construction d'un canal parallèle au Rhône, dans le cadre de la construction de barrages hydroélectriques comme ceux en amont de barrage de Génissiat|Génissiat ou barrage de Seyssel|Seyssel. Selon le côté où sera construit ce canal, ce seront les marais de Chautagne ou de Culoz qui serviront de déversoir du fleuve lors des crues.

Le Conseil général de la Savoie s'oppose d'abord à ce que le lac du Bourget (relié au Rhône par le canal de Savière) serve de bassin de compensation (pour réguler les lâchers d'eau des barrages en amont afin qu'il n'est pas de conséquences sur les villes en aval) considérant que les variations du niveau du lac seront incompatibles avec la vocation touristique qu'il veut donner au lac. Devant l'impossibilité financière pour le Département d'élargir le canal de Savières (250 millions de francs) et de refuser le raccordement du lac au Rhône (nécessaire pour renouveler les eaux du lac et donc lui permettre un usage touristique), le lac servira de bassin de compensation.

suite = canal de Savière, 1980 et barrage de Sault-Brénaz

Modèle:Histogramme_population_manuel

Pierre7322 avril 2008 - 22:37Fonctionnement de Wikipédia et hiérarchisation des problèmes par les médias Bonjour, N’oublions pas certains des préceptes fondateurs de Wikipédia : l’encyclopédie elle-même proclame qu’elle n’est pas exacte, et les contributeurs (bénévoles) seront les premiers à vous dire de (...)

Bonjour,

N’oublions pas certains des préceptes fondateurs de Wikipédia : l’encyclopédie elle-même proclame qu’elle n’est pas exacte, et les contributeurs (bénévoles) seront les premiers à vous dire de développer votre regard critique en lisant un article ; surfer sur les liens et consulter les livres donnés en source par exemple, pour approfondir le sujet. Wikipédia n’est qu’une porte d’entrée à un savoir beaucoup plus vaste, pas une fin en soi...

Un second aspect de Wikipédia est négligé : tout le monde peut participer, en fonctionnement collaboratif, sans modérateur ou vérificateur (qui sur un projet encyclopédique deviendraient des censeurs). Ainsi, des anonymes rédigent sur leur village, leur spécialité ou leur personnage historique des articles d’une qualité et d’un contenu supérieur à tout autre encyclopédie. D’autres sont des collégiens en goguette, des imbéciles en vadrouille, voir des mystificateurs ou des polémistes par passion, bien plus néfastes - par exemple en réécrivant l’article sur le 11.9 - que celui qui écrit des grossièretés sur l’article consacré à Racine.

Difficile alors de faire porter à 128 000 contributeurs le poids d’un vandale anonyme. Surtout quand l’information erronée ne reste que quelques minutes (ou heure) en ligne avant d’être rayée par un bénévole (Philippe Manœuvre). Encore davantage quand un contributeur de bonne foi inscrit une erreur avec une source fausse (décès prématuré d’Aimé Césaire accompagné d’un lien vers une dépêche d’agence, décès de Pascal Sevran avec en note l’annonce de son décès par les médias hexagonaux...). Distinguons aussi le temps médiatique ; l’article sur Pascal Sevran n’avait été modifié qu’une fois en un an avant la fièvre du lundi soir. Alors que des articles historiques ou scientifiques sont consultés plusieurs milliers de fois quotidiennement ; ce sont eux le fond de réputation de Wikipédia, alors que ceux cité par une presse avide de sensationnalisme ne s’appuie que sur les articles de surface de Wikipédia...

Wikipédia est l’outil le plus marquant du web 2.0. D’abord parce qu’il est un réceptacle du savoir universel - ce qui ne peut pas faire de mal sur terre -. Ensuite parce qu’il prouve que "ça" marche mieux en collaborant qu’en luttant les uns contre les autres (argument angélique - je le concède). Enfin parce c’est gratuit. Pour beaucoup, dont moi, Wikipédia est avec les bibliothèques publiques l’une des rares portes d’entrée généraliste à la Culture écrite. [2]

http://www.cg73.fr/index.php?id=1291

La modernisation agricole, décisive dans les années 1930, avec la mécanisation des cultures, est ici plus tardive. La cohabitation d’une industrie dans les vallées et d’un fort besoin de main d’oeuvre limite l’exode rural, mais bouleverse la répartition des populations dans les vallées et n’empêche pas l’émigration vers Genève, Paris ou ...l’Argentine. La Seconde Guerre mondiale

Elle commence en Savoie par la victoire de l’Armée des Alpes face aux attaques italiennes puis allemandes. Mais suivront les tragédies de l’Occupation avec une période d’annexion à l’Italie, très impopulaire. Le régime de Vichy évolue d’une administration impuissante à un soutien militant à la collaboration. Juifs et résistants comptent arrestations, déportations et morts par centaines. Des bombardements imprécis, comme à Chambéry et Modane, provoquent de nombreux drames. L’arrivée victorieuse des maquis haut-savoyards, très actifs depuis 1943, se heurtant à la lente retraite allemande en Maurienne, aura également son cortège de victimes. La modernisation et l’aménagement de la montagne.

L’après-guerre voit, avec la Reconstruction, l’achèvement de l’équipement hydroélectrique et l’amélioration définitive des réseaux de communication. L’évolution des territoires est marquée par un urbanisme souvent agressif et la fin d’un mode de vie rural.

Le tourisme reste le fait historique marquant. Depuis le XIXe siècle, les riches européens connaissent Aix-les-Bains et les beautés de la montagne, mais avec la création de Courchevel, en 1946, puis l’extension des grandes stations, débute l’aménagement de la montagne. La création du parc national de la Vanoise en 1963 montre, malgré cette expansion un temps débridée, la conscience que le patrimoine savoyard est une richesse fragile. La crise des années 1975-1985 amène de douloureuses remises en cause des emplois industriels.

Les années 1980 et 1990 sont celles de la recherche d’un nouvel équilibre : triomphe des hautes technologies à Ugine, Avrieux et sur les nouveaux sites comme Technolac, développement du tourisme rural, gestion rigoureuse des équipements de montagne. Les Jeux olympiques d’Albertville de 1992, reconnus pour leur remarquable organisation, se sont voulus le symbole de cet âge adulte.