Renaissance (parti politique monégasque)
Renaissance est un parti politique monégasque défendant les intérêts des employés de la Société des bains de mer de Monaco (SBM).
Historique[modifier | modifier le code]
Renaissance est créée fin septembre 2012, par des croupiers de jeux américains et européens. Fondée par des employés de la SBM, elle est « apolitique » et souhaite remporter un siège aux élections législatives monégasques de février 2013 et attirer l'attention sur les intérêts de la SBM et de ses employés[1].
Cette liste « formée uniquement de croupiers » de la SBM obtient un siège au Conseil national à l'issue des élections nationales monégasques de 2013[2],[3]. Éric Elena est élu conseiller national.
En 2017, le parti dépose une loi de dépénalisation de l'avortement[4]. La même année, en prévision des élections nationales monégasques de 2018, le parti Renaissance se joint à l'Union monégasque, menée par Jean-Louis Grinda[5].
Élections nationales[modifier | modifier le code]
Année | % | Sièges |
---|---|---|
2013 | 10,67 | 1 / 24 |
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Milena Radoman, « La liste Renaissance en arbitre ? », sur monaco-hebdo.com, (consulté le ).
- Yves Lebaratoux, « Elections parlementaires à Monaco : la principale liste d'opposition remporte 20 sièges sur 24 », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le ).
- AFP, « Elections parlementaires à Monaco: L'opposition remporte 20 sièges sur 24 », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
- « Un parti politique veut dépénaliser l'avortement à Monaco », sur Monaco Matin, (consulté le ).
- « Le parti Renaissance rejoint l'Union monégasque de Jean-Louis Grinda », sur Monaco Matin, (consulté le ).