Projet:Wikiconcours lycéen 2013/Académie Aix-Marseille/Lycée Paul Langevin Martigues/seconde 01

Données clés
Naissance	8 juillet 1947 (76 ans) ; Marseille, France
Activité principale	Ecrivain
Langue d’écriture	Française

	Tu tomberas avec la nuit
Auteur	René Frégni
Pays	France
Genre	roman policier
Éditeur	Denoël
Collection	Folio
Date de parution	2008
Nombre de pages	172
ISBN	978-2-07-039821-8
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Page de travail de la seconde 01.

Participants[modifier | modifier le code]

Elèves travaillant sur l'article René Frégni :

emmar

Sébastien

Luca

Marie

Jean - François

Laury

Monique

Oscar

Cassandre

Claire

Elèves travaillant sur l'article Tu tomberas avec la nuit :

Juliette

Emma

alan

Bastien

Thomas

Julien

Brouillon Tu tomberas avec la nuit[modifier | modifier le code]

Tu tomberas avec la nuit est un roman écrit par René Frégni, publié pour la première fois en 2008 et édité par Gallimard.

Livre - Version originale en français

Résumé[modifier | modifier le code]

Chapitre 1[modifier | modifier le code]

Tout au long de l'histoire René Frégni, le personnage principal de ce roman, nous explique pourquoi il a voulu tuer un juge. René a pour habitude de se rendre à la prison de Saint-Anne à Avignon pour y faire des ateliers d'écriture avec des détenus. Ces rencontres se déroulent dans une agréable atmosphère, ce qui le pousse à renouveler l'expérience à chaque fois. Sa voisine Karine connait les habitudes de René, et sait qu'il s'y rend tous les jeudis. Elle lui demande donc avec insistance de l'emmener avec lui pour y voir son compagnon. Seulement Karine emprunte sans son accord et sans permis la voiture de René. Lorsque ce dernier s'en aperçoit, il décide de ne plus emmener sa voisine à ses visites hebdomadaires. Face à la réaction de René, Karine décide de faire appel à ses frères qui vont commencer par s'en prendre à lui de manière verbale. L'indifférence de ce dernier va les pousser à s'en prendre à Marilou, sa fille . Inquiet pour sa petite fille, René décide d'en parler à Max, un ancien boxeur professionnel rencontré lors des ateliers d'écriture en prison. L'amitié qui les lie va permettre d'éloigner la famille de Karine, et n'aura plus d'ennuis avec ces derniers.

Chapitres 2 et 3[modifier | modifier le code]

Max propose a Frégni d'ouvrir un restaurant en bas de chez lui, sur le coup Frégni est contre du fait qu'il n'ait pas le temps et ne souhaite pas élever sa fille dans un restaurant, mais il finit par accepter cette proposition. Aprés avoir ouvert le restaurant avec Max, l'appartement de René Fégni a été perquisitionné du fait que Max est un ancien détenu de prison, ce qui vas intriguer les policiers, ils vont alors soupçonner René Frégni de blanchissement d'argent. René Frégni est alors placé en garde à vue durant 96 heures au commissariat, il en restera traumatisé même si par la suite les policiers en ont concluent qu'il n'était pas coupable. Lorsque René Frégni commencait tout juste l'interrogatoire, l'article d'un journal parlant de l'affaire du blanchissement d'argent a était publié, ce qui étonna les policiers et René Frégni. La rencontre entre le juge et René Frégni se passe mal car le juge ne l'aime pas, ce qui entraina la mise en détention de René Frégni sous contrôle judiciaire. Frégni devra donc se présenter chaque vendredi au commissariat de sa ville.

Chapitre 4, 5 et 6[modifier | modifier le code]

Dans ces chapitres, René Frégni est accusé par le juge d'avoir volé des bouteilles de vins dans son propre restaurant. Le juge fait preuve d'acharnement : il fait fouiller une deuxième fois son appartement devant sa fille, interdit ses ateliers, ses interventions et l'ouverture de son restaurant. Cet acharnement provoque des problèmes d'ordres financiers et l'empêche d'écrire. René Frégni écrit alors dans les journaux qu'il ne compte plus se faire humilier par ce juge, qu'il arrêterait de signer pour ce contrôle judiciaire et qu'il ne respecterait plus un juge si ce n'est réciproque. Quelques jours plus tard, il se fit arrêter par trois policiers à cause d'une lettre qu'il avait envoyé à la presse. Le secret d'instruction n'a pas été respecté par le juge.

Personnages[modifier | modifier le code]

René Frégni : à la fois auteur et narrateur de l'histoire.
Marilou : fille de René Frégni.
Max : ancien detenu ami de l'auteur. ils se rencontrent en prison lors d'une intervention de René Frégni aux ateliers d'écriture.
Carine : voisine de René Frégni qui l'utilise pour aller à la prison voir son petit ami. Elle emprunte sa voiture sans lui demander.
Les frères de Carine : apppelés par Carine pour faire pression sur René en menaçant sa fille.
Le juge : René souhaite le tuer car il le persécute.
Son avocat : soutient de René, il le défend lors de son jugement.
L'institutrice : elle aide financièrement René Frégni à la fin du livre.

Réception par la presse[modifier | modifier le code]

Le livre fut reçu par la presse avec un fort intérêt du fait que le roman contait une histoire réelle: ledauphine.com^[1], Le Parisien^[2] et Libération^[3] s'empressèrent ainsi d'en faire des articles, des interviews. De manière générale, le livre a reçu de très bonnes critiques. L’Avis du Comité de Lecture^[4] résume bien l’ensemble de ces critiques : «Une histoire originale, courte, bien construite, bouleversante. On est pris par l’attente du dénouement. Très intéressant, du suspens, facile et agréable à lire». Un peu moins connu mais tout autant partagé, le Paper Blog^[5] écrit : « J’ai beaucoup aimé ce livre que j’ai trouvé très prenant ! Difficile de ne pas le lire d’une traite tant les faits s’enchaînent de façon implacable et déraisonnable ! J’en frémis encore en pensant que de telles erreurs judiciaires peuvent se reproduire et détruire à nouveau si facilement tant de vies innocentes !

Prix[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Page consacrée à Tu tomberas avec la nuit sur le site de Gallimard

Résumé du livre sur le blog de Jean-Louis Kuffer

http://www.rtl.fr/actualites/livres/article/c-est-a-lire-et-tu-tomberas-avec-la-nuit-119327

Brouillon René Frégni[modifier | modifier le code]

Biographie[modifier | modifier le code]

Enfance et études[modifier | modifier le code]

Enfant, il vivait à Marseille et n'était pas destiné à être écrivain. C'est en classe de troisième qu'il quitta les cours parce qu'il avait peur de l'école, il y était persécute. C’était un enfant fugueur qui passait ses journées dans les rues de sa ville. A l'age de 15 ans il commence à travailler avec son père, il repeignait les bâtiments, cela dura environ 2 ou 3 ans. Comme il n'aimait pas ça, il partit en voyage en Istanbul en stop ou il travaillait dans des restaurants. Il dut rentrer en France pour son service militaire mais il arriva en retard de 2 mois car faute de moyens, il dut rentrer en stop. Considéré comme déserteur il fut condamné à 6 mois de prison ferme. Là-bas, il y rencontra un professeur de philosophie qu'il considéra comme son premier vrai professeur qui lui enseigna la philosophie. C'est en prison à l'age de 19 ans qu'il lut sont premier livre "Colline" de Jean Giono. C'est pour lui le début d'une passion. Il se rend compte que lire est un voyage et commence à écrire ses premiers poèmes et quelques nouvelles. Sorti de prison, il va travailler en tant qu'aide soignant dans un hôpital psychiatrique et toujours passionné d'écriture, il rédigea le journal de bord de l’hôpital. Suite à ça il écrit son premier roman Les chemins noirs.

Parcours professionnel[modifier | modifier le code]

René Frégni a arrêté l'école après le collège, et a commencé à travailler avec son père. Il est ensuite allé en Turquie jusqu'à Istanbul en stop et il a effectué des petits métiers.

Rapport avec la justice et la prison[modifier | modifier le code]

Son séjour en prison[modifier | modifier le code]

Il part en stop à Istanbul et revient en France avec 2 mois de retard après le début de son service militaire, René Frégni est condamné à 6 mois de prison par le tribunal militaire à Luyne.

La prison est un lieu d’inspiration pour lui, il commence à lire et à écrire en prison. Le détenu de la cellule à côté de la sienne est professeur de philosophie et c'est grâce à lui qu'il a aimé la lecture. Le professeur de philosophie lui a proposé pour sa première lecture, à l'âge de 19 ans, une oeuvre de Jean Giono: "Colline".Grâce à cette oeuvre cela est un début d'une passion pour René Frégni.

Malgrè qu'il est enfermé ces lectures lui ont permis de voyager et de s'évader. Pour lui une porte s'ouvre en prison donc c'est une nouvelle vie. Ces premières écritures sont des poèmes.

Ces ateliers de lectures[modifier | modifier le code]

René Fregni va fréquemment rendre visite à des prisonniers pour leurs faire découvrir l'écriture. Lors de ces visites il demande des conseils à ses détenues pour les romans policiers qu'il écrit.