Maria Trzcińska
Maria Trzcińska
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Maria Trzcińska en 2008
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plaque commémorant Maria Trzcińska à la place Alojzego Pawełka de Varsovie
Vue de la sépulture.
Maria (Marianna) Trzcińska (née le - morte le à Varsovie) est une historienne et juge polonaise.
Biographie[modifier | modifier le code]
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Thèse[modifier | modifier le code]
Après l'effondrement de l'empire soviétique en 1989, Trzcińska affirme que le nombre de victimes de KL Warschau est de 200 000, soit 10 fois plus que celui généralement admis par les historiens. Elle a affirmé que le camp était doté de chambres à gaz, affirmation rejetée par l'IPN pour manque de preuves[1],[2],[3].
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- (pl) Maria Trzcińska, KL Warschau. Obóz zagłady dla Polaków, Polskie Wydawnictwo Encyklopedyczne Polwen
- (pl) Maria Trzcińska, Obóz zagłady w centrum Warszawy, Polskie Wydawnictwo Encyklopedyczne, Radom 2002, (ISBN 83-88822-16-0).
Notes et références[modifier | modifier le code]
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Maria Trzcińska » (voir la liste des auteurs).
- (pl) Jerzy Kochanowski, « Śmierć w Warschau » [« Death in Warschau »], Polityka.pl – Historia, (lire en ligne [archive du ], consulté le )
- (pl) Iwona Szpala, « Postawią pomnik innemu KL Warschau » [« Would erect monument to a different camp »], Gazeta.pl, (lire en ligne [archive du ], consulté le )
- Christian Davies, Under the Railway Line, London Review of Books, 9 May 2019
