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Marc Eigeldinger

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Marc Eigeldinger
Naissance
La Chaux-de-Fonds
Décès (à 74 ans)
Neuchâtel
Distinctions
Auteur
Langue d’écriture Français

Marc Eigeldinger, né le à La Chaux-de-Fonds et mort le à Neuchâtel, est un poète suisse d'expression française et professeur de littérature française.

Biographie

Marc Eigeldinger est le fils d'André-Charles un horloger et de Lylette Mettler[1]. Il a fait des études de lettres à Neuchâtel où il a obtenu un doctorat en 1943[1].

Pour ce poete gnostique, la poesie "est... premice de la Parole et, dans sa trajectoire difficile, elle approche de l'impossible, ce porche du Surnaturel". Il a publie plusieurs recueils : Le Pelerinage du silence (1941), Le Tombeau d'Icare (1948), Premices de la parole (1953), et plusieurs essais sur la poesie : Le Dynamisme de l'image dans la poesie francaise (1943), Poesie et tendences (1945), Le Platonisme de Baudelaire (1951).

Entre 1943 et 1946 il a été professeur à l'école supérieure de commerce de La Chaux-de-Fonds puis professeur de littérature française au gymnase de 1946 à 1963[1]. Enfin il a été professeur à l'université de Neuchâtel de 1963 à 1983 (suppléance jusqu'en 1985)[1].

L’Académie française lui décerne le prix Henri-Mondor en 1975 pour l'ensemble de son œuvre.

Publications

  • Le Soleil de la poésie[2]
  • Marc Eigeldinger, « Baudelaire et la conscience de la mort », Études littéraires, vol. 1,‎ , p. 51-65 (ISSN 1708-9069, lire en ligne)

Notes et références

  1. a b c et d Article Marc Eigeldinger dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.
  2. « Marc Eigeldinger », sur persee.fr (consulté le )

Annexes

Bibliographie

Liens externes