Louis Yinda
| Naissance |
Ngompen |
|---|---|
| Nationalité | Cameroun |
| Pays de résidence | Cameroun |
| Diplôme |
Licence |
| Profession | |
| Activité principale |
Ancien Président Directeur Général de Sosucam |
| Formation |
Collège Libermann, licence en droit et sciences politiques |
Louis Yinda, né vers à Ngompen au Cameroun, est un ancien fonctionnaire et ex-directeur de société camerounais.
Biographie[modifier | modifier le code]
Naissance et débuts[modifier | modifier le code]
Louis Yinda est né vers [1] à Ngompen[2] dans la Sanaga-Maritime au Cameroun.
Il fréquente l'école catholique de Pouma, puis à la seule école publique de la région, située à Kelle Ndongong et le Collège Libermann de Douala où il obtient le Baccalauréat. Après une formation en gestion à Aix-en-Provence en France, il fait des études en droit et sciences politiques à Paris[2]. Il débutera sa carrière professionnelle en France en tant qu'archiviste[2].
Carrière[modifier | modifier le code]
En 1969, il retourne au Cameroun comme cadres qualifiés. Il intègre la fonction publique l'année suivante par le biais du ministère du Développement industriel et commercial. En 1972, le Groupe industriel Pechiney demande au gouvernement camerounais l'autorisation de le nommer secrétaire général de son groupe pour l'Afrique centrale[2]. Il est nommé secrétaire général d'Electricité du Cameroun et participera à la fusion en Edc de Powercam et d'Enelcam pour créer la Société nationale d'électricité, Sonel[2].
En novembre 1975, il va intégrer Sosucam au poste de cadre commercial à la suite d'une pénurie de sucre dans le pays[2]. Il y est directeur général adjoint ensuite directeur général et enfin en 2000, Président directeur général[2].
Industriel et chef d'entreprise[modifier | modifier le code]
Il est à la tête de la Sosucam en tant que Président Directeur Général jusqu'en 2018[3],[4],[5],[6],[7].
Il est promoteur de l'Institut Universitaire Louis Yinda (IULY) créé en 2014 par l'arrêté ministériel N°14/0035/MINESUP/SG/DDES du 11 mars 2014 [8].
Parcours politique[modifier | modifier le code]
Il est membre du comité central du RDPC[5],[9].
Distinctions[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Franck Foute, « Cameroun : Louis Yinda et André Siaka, deux magnats à l’assaut des régions », sur jeuneafrique.com, .
- Jean François Channon, « Distinction: Louis Yinda, PDG de la SOSUCAM, chevalier de la légion d’honneur française », sur cameroon-info.net/, .
- « SOSUCAM (Société Sucrière du Cameroun) », sur legicam.cm.
- « Tag: Louis Yinda - Investir au Cameroun », sur investiraucameroun.com.
- Jean Francis, « Les opérateurs économiques : de l’expérience à revendre », sur cameroon-tribune.cm, .
- « Cameroun : Louis Yinda, ancien Dg Sosucam, tente d’imposer son fils à la tête de la chefferie de Ngompem< », sur journalducameroun.com
- « Sosucam : les dessous du limogeage de Louis Yinda », sur ecomatin.net, .
- « Institut Universitaire Louis Yinda (IULY) », sur minesup.gov.cm.
- « Sanaga-Maritime : 30 millions de F pour le démarrage », sur cameroon-tribune.cm.
- « Un couple de laïcs camerounais reçoit une distinction honorifique du Pape François », sur africa.la-croix.com, .
- « Cameroun: ces laïcs qui offrent des églises à leurs paroisses », sur africa.la-croix.com, .
