Lalo (baobab)
Pour les articles homonymes, voir Lalo.
Cet article est une ébauche concernant la cuisine et le Sénégal.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
Le lalo (du wolof laalo) est une poudre de feuilles de baobab (Adansonia digitata) séchées et pilées, utilisée dans la cuisine sénégalaise comme liant, notamment pour la préparation du couscous[1] : « La vie n'est pas du couscous, mais on y met du laalo, songea Mor »[2].
Galerie[modifier | modifier le code]
-
Vente de lalo sur un marché de Joal-Fadiouth -
Différentes textures et couleurs -
Utilisation de valves de Cymbium marmoratum pour verser la poudre -
Ajout de lalo au couscous thiéré
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Papa Samba Diop, « Laalo », in Glossaire du roman sénégalais, L'Harmattan, Paris, 2010, p. 323-324 (ISBN 978-2-296-11508-8)
- Ibrahima Sèye, Un trou dans le miroir, NEA, Dakar, 1983, p. 66, cité par Papa Samba Diop dans son Glossaire
Annexes[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Jacques Blondé, Pierre Dumont, Dominique Gontier, « Lalo », in Inventaire des particularités lexicales du français du Sénégal, Centre de Linguistique Appliquée de Dakar, 1979, p. 119
- Papa Samba Diop, « Laalo », in Glossaire du roman sénégalais, L'Harmattan, Paris, 2010, p. 323-324 (ISBN 978-2-296-11508-8)
- Joséphine Ndiaye Haas, Cuisine sénégalaise, L'Harmattan, 2004 (ISBN 9782747560139)
