Jocelyne Haller
| Jocelyne Haller | |
 En 2023. | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Députée au Grand Conseil du canton de Genève | |
| En fonction depuis (10 ans et 6 mois) |
|
| Législature | 1re et 2e |
| – (4 ans) |
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| Législature | 55e |
| Députée à l'Assemblée constituante de Genève | |
| – (3 ans, 7 mois et 12 jours) |
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| Biographie | |
| Date de naissance | |
| Nationalité | Suisse |
| Parti politique | Ensemble à gauche |
| Profession | Travailleuse sociale |
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Jocelyne Haller, née en , est une personnalité politique suisse, membre d'Ensemble à gauche.
Ancienne membre de la constituante genevoise et députée au Grand Conseil de son canton, elle est élue conseillère nationale aux élections fédérales de 2019 mais renonce à siéger.
Biographie[modifier | modifier le code]
Jocelyne Haller commence des études de philosophie et lettres, mais bifurque rapidement sur une formation en travail social à la HETS (alors appelée IES)[1].
Elle exerce ensuite comme travailleuse sociale.
Jocelyne Haller habite à Meyrin[2].
Parcours politique[modifier | modifier le code]
Sous les couleurs de l’Alliance de Gauche, Jocelyne Haller est élue en 2001 au Grand Conseil genevois. Elle n'est pas réélue en 2005 à la suite de la perte de vitesse de son parti[1]. Elle est alors choisie à la constituante genevoise, de 2008 à 2012.
Réélue au Grand Conseil en 2013, cette fois pour Ensemble à gauche, elle siège dans les commissions des affaires sociales (qu'elle préside), de l'enseignement, de la santé et de la police. Elle est à nouveau élue en 2018[3].
Candidate aux élections fédérales de 2019, elle profite du transfert d'électeurs du MCG vers l'extrême gauche pour récupérer le siège perdu par son parti en 2007 au conseil national[4]. Elle aurait été l'élue la plus âgée des nouveaux élus au début de la 51e législature[5]. Deux jours après son élection, elle annonce préférer rester au Grand Conseil, provoquant un tollé qualifié de « peu respectueux de l'électeur »[6]. Le premier des viennent-ensuite, Jean Burgermeister, refusant pour les mêmes raisons et « pour éviter qu'un homme prenne la place d'une femme », c'est finalement Stéfanie Prezioso qui siège pour Ensemble à gauche[7],[8].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « Portraits de candidats: Jocelyne Haller », sur Soliloques Engagés, (consulté le )
- « Grand Conseil de Genève - Députés », sur ge.ch (consulté le )
- « Jocelyne Haller », sur Grand Conseil de Genève - Députés (consulté le )
- Sylvia Revello, « A Genève, la valse des extrêmes au Conseil national », Le Temps, (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
- « Près d'un tiers de nouvelles têtes au Conseil national », La Liberté, (lire en ligne)
- « Elue, elle ne siégera pas. C'est l'incompréhension », 20 minutes, (lire en ligne)
- « Élue, Jocelyne Haller n'ira pas à Berne », Tribune de Genève, (ISSN 1010-2248, lire en ligne, consulté le )
- Adrien Krause, « Pourtant élue au National, Jocelyne Haller renonce à aller à Berne », RTS Info, (lire en ligne, consulté le ).
Annexes[modifier | modifier le code]
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
