Iwiyè Kala-Lobè

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Iwiyè Kala-Lobè
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 73 ans)
DoualaVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Enfant

Iwiyè Kala-Lobè (1917-1991) est un journaliste et chroniqueur camerounais.

Biographie[modifier | modifier le code]

Enfance, éducation et débuts[modifier | modifier le code]

Iwiyè Kala-Lobè est né le 15 novembre 1917. Il refuse, dans les années 30, de devenir médecin africain, répliquant au directeur de l’université de médecine : « Ma vocation, c'est d'être journaliste ! ». Ce qui oblige son grand-père, David Mandessi-Bell, à rembourser sa bourse.

Carrière[modifier | modifier le code]

Il est considéré comme le père du journalisme au Cameroun. Chroniqueur, il a notamment travaillé au ministère de l’Information et de la Communication entre 1961 et 1962. Il écrit pour présence africaine[1]. D'après Henriette Ekwè, on le surnommait IKA et il a inspiré des vocations et ses écrits en français, anglais, pidgin. La célèbre chronique du journaliste, « King Fo Tolly » est un argument de vente dans les échoppes et kiosques à journaux.

Vie privée[modifier | modifier le code]

Marié à Sara Beboi Kutta Kala-Lobè, il meurt le 7 octobre 1991. Suzanne Kala Lobè est sa fille. Il est domicilié à Bali, Douala[2].

Distinctions[modifier | modifier le code]

  • Prix de l'Unesco en 2010

Notes et références[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]