Henry Mériot
Henry Mériot
| Naissance | |
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| Décès | |
| Pseudonymes |
Charles Demailly, Le Remondelo |
| Nationalité | |
| Activités | |
| Enfant |
Camille Mériot (d) |
| Distinction |
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Henry Mériot, né le à Marennes et mort le à Rochefort, est un poète français, proche du mouvement parnassien.
Biographie[modifier | modifier le code]
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Œuvres[modifier | modifier le code]
- Les Flûtes de Jade, avec une préface de Joséphin Péladan, 1890
- Dernières lueurs, poèmes. Préface de Philéas Lebesgue. Postface d'Hector Talvart
- Les Figulines, avec lettre-préface de Léon Cladel, 1902
- Les Lys de minuit. Les Nefs fleuries. Marthe, 1911
- Les Scabieuses, avec une préface de Victor Billaud, 1925
- Le Jardin de Flore, 1925
- Les belles légendes de Saintonge, 1936
- Préfaces
- Alfred Garceaud. Rayons d'amour
- Théâtre de François Coppée, de l'Académie française, tailles-douces, par Paul Pinasseau, 1897
- Albert Puyrigaud. Marjolaines de Saintonge, poésies. 1895
- Charlotte Séverac. La Page où l'on aime.
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- A. M. Gossez, Henry Mériot, Le Dernier romantique. Etude critique
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressource relative à la vie publique :
