Discussion:Testostérone

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J'ai bien vu que l'éditeur intervenu juste avant moi avait enlevé la notion de « conversion périphérique » des androgènes, faute de preuves scientifiques. Cependant, plusieurs auteurs ayant publié dans des revues scientifiques avec comité de lecture l'affirment, confert [[1]], qui fait (certes, en anglais), une mise au point du métabolisme de la testostérone. Si je propose cet article, c'est que le lien en est disponible gratuitement, ce qui n'est pas le cas pour les autres articles que j'ai pu lire et que je ne peux pas facilement communiquer ici, mais qui sont tous d'accord sur la conversion périphérique, autant que j'aie pu en juger. Falène 15 août 2005 à 21:44 (CEST)[répondre]

Aucun mot sur le dopage à la testostérone, il serait bon d'y travailler un peu. J'ai rajouté une rubrique et repris certaines infos de l'actualité mais le retravail par un spécialiste médical serait la bienvenue --Jef-Infojef 27 juillet 2006 à 19:50 (CEST)[répondre]

masculine ?[modifier le code]

Les femmes aussi produisent de la testostérone, l'article n'en fait pas mention ! Elles en produisent bien moins, mais dire que la testostérone est "masculine" est un abus autant que dire que les cheveux sont quelque chose de "féminin". (->Jn) (d) 22 mai 2008 à 00:53 (CEST)[répondre]

Il faudrait relire l'article dans sa version du 24 février 2010 : la testostérone féminine est largement abordée. D'ailleurs, il y a une contradiction interne entre le paragraphe introductif, où l'homme est dit produire 40 à 60 fois plus que la femme, et le corps du texte, où l'on trouve que la production de la femme atteint 60 % de celle de l'homme.86.212.194.138 (d) 24 février 2010 à 14:12 (CET)[répondre]

"La consommation de testostérone exogène à visée de dopage est dangereuse pour la santé."[modifier le code]

Référence ?

J'ai mis en forme votre demande de référence dans l'article. Nguyenld (d) 19 novembre 2008 à 14:15 (CET)[répondre]

Manque de référence[modifier le code]

"Contrairement à une croyance populaire, la testostérone n'est pas associée à une augmentation de l'agressivité sauf l'agressivité territoriale chez les animaux. Cependant, elle est associée à la compétition sociale et aux comportements de dominance. Elle augmente durant l'anticipation d'activités sportives et après la victoire. Elle accentue aussi la réaction autonome aux visages menaçants. Elle produit aussi une réduction des réactions de peur et de stress. Elle réduit le réflexe de sursaut et l'orientation aux stimuli aversifs. Elle réduit aussi la réponse hormonale au stress."

Référence ?— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 82.231.240.48 (discuter), le 20 avril 2016 à 23:36 (CEST)[répondre]

Contradiction[modifier le code]

"Contrairement aux idées reçues, la testostérone ne joue aucun rôle dans le désir sexuel (libido) chez l'homme"

Contradictoire avec l'article en anglais.

Source citée en français : https://link.springer.com/article/10.1007/s10508-012-9946-2 (publication originale : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22552705)

D'ailleurs l'auteur de la publication a aussi publié une étude qui contredit celle-ci. (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19409392). Fait intéressant cet auteur a aussi publié une étude qui montre que le fait de mâcher un chewing-gum 5 min avant le prélèvement salivaire, qui sert à mesurer le taux de testostérone d'un individu, augmente le taux de testostérone mesuré et peut donc biaiser une étude.

Sources sur l'article en anglais :

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/11534996/

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/27436075/

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/29704917

Enfin les études semblent majoritairement aller dans le sens opposé de l'article, c'est à dire qu'il y aurait conformément "aux idées reçues" un rôle important de la testostérone dans le désir sexuel masculin. Je me suis permis de modifier l'article pour aller dans ce sens tout en le rendant moins catégorique en mettant en avant l'absence d'unanimité dans les recherches scientifiques.

Surconsommation de protéines[modifier le code]

Cette affirmation : "Une surconsommation de protéines et un manque d'énergie entraînent une baisse de l'androgène" me semble problématique. On a là quelque chose qui va assez nettement contre les idées communément admises (dans le sens où les chercheurs en sport n'ont jamais cette crainte d'une baisse de testostérone dans les régimes hyperprotéinés), donc ça nécessiterait une référence très forte. Or ça fait référence à un mini-article de livestrong-point-com, qui n'est pas vraiment un site qui inspire la confiance. Et ce mini-article cite deux sources plus scientifiques :

1) https://doi.org/10.1152/japplphysiol.00005.2008 Un article dans lequel les chercheurs ont essayé de voir si une petite augmentation de l'apport en protéines pouvait limiter la perte de masse musculaire pendant des exercices militaires éprouvants. C'était une hypothèse très raisonnable, mais ça a pas marché, ils ont pas réussi à obtenir de signal (probablement parce que le déficit calorique était beaucoup trop important pour que le corps fasse autre chose que cramer toutes les calories ingérées sans distinction). Seulement le fait que ça n'ait pas réduit le catabolisme ne veut pas pour autant dire que ça l'ait augmenté. Au contraire même, cette étude indique clairement que les résultats des deux groupes sont compatibles, que la quantité de protéine absorbée ne fait ici de différence ni sur la composition du corps ni sur le profil hormonal.

2) Ils parlent de «Preliminary findings from a study published in 2007 in the "Journal of the American Academy of Dermatology». Ils ne donnent aucun lien, même pas un preprint ou des slides de conf. J'ai l'impression que ça pourrait être ce papier : https://doi.org/10.1016/j.jaad.2007.01.046 Ce papier observe en effet dans le régime LGL une réduction vaguement significative du Free Androgen Index, censé correspondre à la testostérone libre, bien que la testostérone totale ne change pas. Et ils observent aussi de manière corrélée une réduction de l'acné. Seulement ce régime LGL c'est un régime où l'augmentation (très légère) de la quantité de protéines ingérées est loin d'être la seule modification. C'est avant tout un régime à faible charge glycémique, en agissant surtout sur les glucides. Et non seulement la petite augmentation des protéines ne participe pas à cette baisse de la charge glycémique mais elle s'y oppose, donc si la seule modification avait été la quantité de protéines on aurait plutôt vu la conclusion inverse.

Bref, j'ai tout l'impression que cette phrase a complètement pris chacun des deux articles à contre-sens. Je serais d'avis de la supprimer complètement. Mais si vraiment on voulait garder quelque chose qui tourne autour de ça, au minimum faudrait citer directement les articles plutôt que livestrong.

J.frison (discuter) 18 octobre 2020 à 00:52 (CEST)[répondre]