Discussion:Adrien Arcand

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Criminel québécois?[modifier le code]

J'enlève la catégorie criminel québécois de l'article. M. Arcand avait beau être un anti-sémite notoire et un fasciste convaincu, il n'en demeure pas moins qu'il ne remplit pas la définition de criminel. Je vais également traduire le chapô de en:Adrien Arcand pour avoir un minimum d'information à la place de ce qui se trouve ici à l'heure actuelle. - Bouchecl 15 juin 2006 à 23:56 (CEST)[répondre]

«Le 30 mai 1940, il est arrêté à Montréal pour avoir comploté le renversement du gouvernement». Cela ressemble à de la trahison, tel que défini par l'article 46 (2) (c) du code criminel canadien. Or, la trahison est un crime. Arcand était prêt à aider Hitler s'il envahissait le Canada. Il n'est pas nécessaire de remplir tous les critères de la criminalité pour être un traître.
«Commet une trahison quiconque, au Canada, selon le cas : conspire avec qui que ce soit pour commettre une haute trahison ou accomplir une chose mentionnée à l’alinéa a);»
ADM
Peut-être, mais quand on compte le nombre de personnes qu'on a interné à l'époque (sous l'empire de la Loi des mesures de guerre (Canada)) avec des chefs d'accusation plus ou moins farfelus, on se demande. En plus, à ce que je sache, Arcand n'a jamais été reconnu coupable de telles accusations, ce qui justifie techniquement le retrait d'Arcand de cette catégorie. Arcand est un personnage plutôt détestable, il n'en reste pas moins qu'il n'est pas davantage un criminel que les personnes arrêtées durant la Crise d'octobre, en 1970. - Bouchecl 16 juin 2006 à 13:20 (CEST)[répondre]

Personnage contreversé[modifier le code]

arcand est sans aucun doute un personnage contreversé et un ardent défenseur d'Hitler,mais il n'en reste pas moins un personnage à part et une figure complexe de l'histoire québécoise. En faire simplement un criminel ou un nazi est réductionniste. Sa vie, son idéologie est beaucoup plus complexe que ce que l'on veut entendre. Je suis prêt à mettre un 100 sur la table pour quiconque me prouvera qu'il n'était pas un ardent catholique, un anticommuniste et que contrairement à Hitler, il penchait plus contre le judaïsme que contre la race. Il suffit pour s'en convaincre de lire sa correspondance. Pourquoi enlever sans cesse le fait qu'il a été emprisonné dans les camps de concentration canadien. Arcand n'est pas Hitler. Nous n'avons pas à poser de jugement catégorique sur cette période de l'histoire, simplement il faut constater les faits. Je pense pas que les 100 millions de mort du communisme, de Staline notemment, empêche une bio sur Marx, sur Mao, ou sur Che Guevara. Voyons donc! Faut être logique à un moment donné. Si on continue d'enlever ces informations véritables, on tombe dans la mythologie pure et simple du plus parfait nazi canadien. Il est contreversé, oui!, mais svp... un peu d'honnêté intellectuelle. Vérifier les sources pardi et ne vous fier pas aux extraits d'interview de 1 ou 2 journalistes, lisez ses livres. Juste les titres comme "le christiannisme a-t'il fait faillite" ou "du mondialisme au communisme". Il semble qu'arcand ait eu des amis juifs, donc sémite (faut-il rappeler que les sémites comprennent les arabes, donc le terme est inexact en soi) et qu'étant ultra-catholique, il en avait contre le judaïsme, qu'il considérait comme une religion contraire au christiannisme. C'est une subtilité, mais qui a son importance. je ne veux pas faire l'apologie de rien, mais les mythes politiques commencent à m'ennuyer. Faites donc taire les communistes, ils en ont des morts sur la conscience, eux! Che en a tué du monde et il est vanté en héros. Arcand n'a pas tuer personne! Anyway, pensez ce que vous voulez, c'est facile de ne pas lire et de tout mettre dans le même panier, c'est moins difficile de réfléchir dans ce temps là... les nuances, ca donne mal à la tête. Oubli de signature. Origine: 28 février 2008 à 07:09 Stevie.wonder (d · c · b)

Je crains que vous n'ayez pas compris le fonctionnement de Wikipédia. Wikipédia n'a pas vocation à rétablir des vérités méconnues, ni à étudier la pensée de quelqu'un à partir de ses oeuvres, qui sont des sources primaires. Wikipédia doit se limiter à rapporter ce que ses auteurs trouvent dans des publications secondaires fiables et vérifiables. Dans le cas présent, ça signifie les travaux des historiens les plus reconnus du domaine. Si un historien réputé et reconnu par ses pairs a publié un article expliquant que Arcand était "andijudaïste" et pas antisémite, alors on peut l'écrire dans Wikipédia, en mentionnant la source. Sinon, il ne s'agit que de votre avis personnel, ou au mieux de l'avis d'un petit groupe de personnes non reconnues comme pertinent par les historiens, et ça n'a pas à figurer ici.
J'ai aussi une remarque sur d'autres approximations similaires: Vous avez créé un lien qui affiche l'expression "ultra-catholique" et qui pointe en fait vers l'article national-catholicisme. Outre que ce genre de manipulation manque très sérieusement de rigueur encyclopédique, ça confirme vos propos ci-dessus et démontre que vous confondez Wikipédia avec un blog ou avec une tribune politique. Je ne peux que vous conseiller de consulter la page Aide:Tout l'indispensable... afin de mieux comprendre ce qu'est Wikipédia et pourquoi vous êtes en train de vous tromper de projet.
J'ajoute que si on n'est pas dérangé par la phrase « Il n'a jamais douté de la justesse des vues d'Hitler », ce qui semble votre cas puisque vos ne l'avez pas modifiée, c'est donc qu'on admet qu'il était antisémite et pas "antijudaïque"! A moins évidemment que votre but soit d'utiliser Wikipédia pour promouvoir l'idée révisionniste selon laquelle Hitler lui même et tous ceux qui "n'ont jamais douté de la justesse de ses vues" n'étaient pas vraiment antisémites? Je crains que ça ne soit pas possible.
--Christophe Dioux (d) 28 février 2008 à 11:23 (CET)[répondre]

Précision[modifier le code]

Merci d'avoir pris la peine de répondre. Je comprends très bien toute l'idée. Cependant, je m'intéresse à l'histoire et j'ai lu les "documents primaires". Si on lit sa correspondance, par exemple, on s'apercoit qu'il avait des amis israëliens, donc il n'était pas antisémite. D'ailleurs, la sémicité comprend tout les langues moyen-orientales, qui ne se borne pas à Israel. Cependant, le fait de comprendre le coté ultra-catholique de Arcand, fait en sorte qu'il s'opposait au judaïsme qu'il considérait opposé au christiannisme. Contrairement aux vues raciales d'Hitler, Arcand avait surtout une vue religieuse sur la question. C'est pourquoi, quiconque prend la peine de lire ses correspondances, publiées il y a quelques années, verrons cette distinction cruciale. Grosso modo, oui, j'admets qu'il respectait les vues d'Hitler, c'est ses affaires, mais pas dans tout et peut-être pas toujours pour les mêmes raisons. Je ne veux pas faire de propagande, mais répéter un mensonge reste qu'un mensonge répété. Les articles secondaires reconnus ne compte à peu près que "le voir" de 2007, qui ne peut être qu'un article superficiel. J'admets ma déception si Wiki n'a pas le souci de la vérité, de la chercher, mais de répéter ce que "l'intelligensia", admettons-le, souvent plus porté vers la gauche un peu communiste, répète. Ca ne restera qu'un club de perroquet. Ca ne serait pas possible que des propositions invérifés apparaiisent d'un autre couleur en attendant d'être confirmé, ainsi Wiki serait un instrument de vérité? Si c'est pas le cas, à quoi bon utiliser comme référence, puisque les articles fonctionne par popularité plutot que par vérité.

De fait, existe-t'il un consortium d'historiens qui départage "le vrai" du "faux". Ca ne reste que de l'opinion, à moins que les propositions soient vérifier d'une source primaire. Et si il y a contreverse ??? Peu d'études sérisues ont été faites sur Arcand. Et un article de Voir je n'appelle pas ca une opinion d'historien.

Je voulais aussi répondre au fait que le lien mis entre "ultra-catholique" et "national-catholique" n'a pas été mis par moi, j'ai simplement mis le texte.

Je peux vous certifier que j'ai vérifié et revérifié mes propos dans les références inscrites.

Merci de m'éclairer. Sans raucune aucune.

un silence qui dit tout[modifier le code]

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Biographie favorable à Adrien Arcand[modifier le code]

(publiée quelques mois avant sa mort) Source: Serviam janvier 1966 p.11, octobre/novembre 1966 p.9

Né le 3 octobre 1899, de Narcisse Arcand de Deschambault, charpentier, plus tard organisateur syndicaliste, et de Marie-Anne Mathieu, de Ste-Marie de Beauce, directrice d'école, organiste et maîtresse de chapelle. Quatrième d'une famille de douze enfants. Etudes primaires et primaires supérieures à St-Stanislas de Montréal. Etudes secondaires au Collège de St-Jean et au Collège de Montréal (conventum 1919). Commença sa philosophie au Collège Ste-Marie, en même temps que le soir, il étudiait pour devenir ingénieur chimiste sous l'ingénieur Paul DeGuise au Laboratoire des Produits Forestiers (attaché à l'Université McGill). Frappé par la grippe espagnole, il demeura alité pendant neuf mois. Après sa convalescence ayant à gagner sa vie, il devint journaliste ("La Patrie", "Montreal Star", "La Presse"). Parfait bilingue, il écrivit pour des publications anglaises, américaines, françaises, belges etc. En 1929, il fut membre fondateur du Syndicat des Journalistes de Montréal, dont il fut élu président. Il fut expulsé, à cause de cela, par le journal où il travaillait, car les patrons s'opposaient à tout syndicalisme des journalistes. Il fonda alors le journal humoristique "Le Goglu", qui atteignit, dès 1930, un tirage de 85,000 copies vendues, ce qui était énorme pour l'époque, et "Le Miroir"; ces deux journaux eurent une influence considérable sur la politique du temps. M. Arcand refusa, en 1932, une offre de l'hon. L.A Taschereau, de devenir député libéral provincial, avec promesse de recevoir peu après le portefeuille de Secrétaire provincial; il refusa, en 1935, l'offre du Tr. Hon. R.B. Bennett d'être ministre du Travail fédéral. À tous deux, M. Arcand répondit: "Le bleu et le rouge sont appelés à disparaître, le problème de ma génération sera celui du communiste ou de l'anticommuniste, problème inéluctable, car il n'y aura pas d'autre choix offert a l'humanité".

M. Arcand, doué d'une mémoire surprenante, n'a jamais cessé d'étudier les langues étrangères, la philosophie, la théologie, la sociologie, le droit, l'économie et surtout la politique dans tous les manuels universitaires et extra-universitaires. Il ne cesse de répéter à ses intimes: "Puisque l'homme est un être composé d'un corps périssable et d'une âme vouée à une vie éternelle, la théologie est assurément la science la plus importante pour un chrétien; il n'y a de vrai chrétien que celui qui apprend à connaître, dans les textes araméens, grecs et latins, s'il en a le don ou le talent,les racines mêmes du christianisme; et son devoir est de les communiquer à qui a l'humilité d'écouter".

M. Arcand fut membre-fondateur de la section Côme-Cherrier de la Société St-Jean-Baptiste, membre-fondateur et vice-président de la Société des Auteurs Canadiens, membre perpétuel de la Société Astronomique de France, membre-fondateur et Chef du Parti National Social Chrétien (1934), membre-fondateur et Chef du Parti de l'Unité Nationale du Canada (1938).

Le 1er juillet 1938, fut aussi une date mémorable. Déjà à cette époque, des Canadiens véritables, avaient décelé le travail pernicieux de dislocation de l'unité canadienne, qui jusqu'alors s'était tramé dans l'ombre des loges judéo-communistes. Ils se sont levés et venant de toutes les provinces canadiennes, ils ont affirmé à la face du pays tout entier qu'il fallait s'unir et lutter pour réaliser l'unité nationale si gravement menacée. Au cours d'une Convention nationale tenue à Kingston en l'anniversaire de la Confédération, heureuse coïncidence, qui réunissait tous les chefs nationalistes du pays, ils fondèrent le PARTI DE L'UNITÉ NATIONALE DU CANADA, THE NATIONAL UNITY PARTY OF CANADA. Ce fut une journée historique, où sur le site même de combats livrés jadis entre canadiens-français et canadiens-anglais, ces héros de notre histoire, les descendants de ceux-ci se rencontraient de nouveau cette fois-ci pour s'unir et jeter les bases d'une fraternité nouvelle pour combattre l'ennemi commun de l'unité nationale canadienne, la judéomaçonnerie. Adrien Arcand, qui depuis 1934 dirigeait le Parti N.S.C. dans le Québec, reconnu mondialement par son courage, son expérience, sa sagesse, son érudition. et ses hautes connaissances de la politique canadienne et mondiale, fut, à l'unanimité choisi CHEF NATIONAL de ce nouveau parti. Nous célébrons donc cette année le 29iéme anniversaire de la fondation du PARTI DE L'IMITE NATIONALE DU CANADA, THE NATIONAL UNITY PARTY OF CANADA. On ne peut certes pas passer sous silence les succès fantastiques que notre PARTI remporta durant ses cinq années d'activités intenses entre les années 1934-39. Ce fut par milliers que des Canadiens joignirent ses rangs à travers tout le pays. Le Chef national, Adrien Arcand, connut une immense popularité qui fit de lui l'autorité incontestée des questions nationalistes et internationalistes de tout le continent nord-américain. Que dire des assemblée immenses tenues au Masseyhall de Toronto, aux marchés St-Jacques et Maisonneuve et dans la Vieille Capitale. Les Juifs et les communistes regardaient avec terreur, montée comme une marée irrésistible qui devait tous les emporter, cette ARMÉE DE CHEMISES BLEUES COMPOSÉE DE LA PLUS BELLE JEUNESSE NATIONALISTE DU PAYS.- Puis vint la guerre 1939-45, deuxième phase de la Révolution mondiale, qui devait donner aux judéo-communistes plus de la moitié de notre planète.

Le lendemain du premier ultimatum du l'Angleterre à l'Allemagne, 2 septembre 1939, M. Adrien Arcand, qui était officier de réserve dans l'armée du Canada, afin de ne pas ennuyer les autorités de son pays, ordonna la cessation de toutes les activités et publications du Parti de l'Unité-Nationale du Canada; il fit offrir au gouvernement canadien par le procureur légal du Parti, Me Lavery, C. R., une brigade entière (6,000 hommes) pour la défense locale du pays, ce dont il fut remercié chaleureusement per le Ministre de la Défense du Canada; il incite de nombreux membres du Parti à s'enrôler, plusieurs de ces membres mourant glorieusement ou étant blessée sur les champs de bataille.

Durant la dernière Guerre Mondiale, M. Arcand fut interné dans des camps de concentration canadiens pendant 5 ans et 5 semaines, avec ses lieutenants du P.U.N., à la demande des juiveries américaine et anglaise, sans accusation, sans procès, sans verdict, sans sentence. Ce fut, par "raison d'État", la pire lettre de cachet, le pire acte de tyrannie et de despotisme jamais connus dans toute notre histoire politique canadienne, et cela pour plaire aux Juifs qui contrôlaient alors la propagande et la finance dont les autorités du jour avaient besoin.


Nous ne pouvons pas dans cet article raconter tous les sévices dont le Parti et ses chefs furent victimes. Mais nombreux encore sont ceux qui en furent témoins. Attentats contre là vie du Chef, prison, persécutions, boycott, confiscations. de commerces florissants, pertes d'emplois, refus de secours, considérés comme traîtres à la nation canadienne, internés et emprisonnés sans aucune accusation, refus de procès, persécution contre les familles des internés, isolement dans des camps de concentration avec criminels de droit commun, aucun contact possible avec l'extérieur, créant angoisse et panique dans les familles affectées, emprisonnés dans des conditions les plus sordides, les plus infectes, entassés comme des animaux dans des baraques, forcés d'exécuter des travaux de bûcherons dans les forêts de Petawawa et de Fredericton, par des froids de 40, sous zéro, vêtus simplement de vêtements d'été. Ce qui explique peut-être certaine mortalité. Un "petit Nuremberg" chez nous aurait peut-être apporté certains éclaircissements sur les camps de concentrations canadiens. Peut-être que l'ex-commandant Harvison qui s'est personnellement constitué en héros de guerre, se serait vite dégonflé? Tout ceci se passait avant et durant la guerre de 1939-45. Que dire maintenant de toutes les difficultés auxquelles notre PARTI fût soumis depuis.

La guerre finie, on libéra les chefs du PARTI injustement internés pendant plus de cinq années. On ne leur offrit aucune excuse ou dédommagement même s'il fut reconnu que leur incarcération fut injustifiée.

M. Adrien Arcand nous a appris à répudier toute anglophobie et toute autre phobie, nous enseignant qu'il n'y a qu'une seule Culture et une seule Civilisation pour tous les peuples d'Europe et d'Amérique: la Haute Culture-Civilisation occidentale dont tous les Blancs partagent à divers titres.

M Arcand a toujours été un fervent des beaux-arts, pratiquant la musique et la peinture pendant plusieurs années. Son seul "hobby" présent est la promenade solitaire dans les bois de sa région où, en mycologue très érudit, il ramasse les champignons sauvages qui font les délices de ses amis. Hautement considéré par les chefs nationalistes du monde entier, M. Arcand est régulièrement consulté pour des avis et des mémoires sur la situation mondiale. En 1925, M. Arcand épousa Yvonne Giguère, de Québec, dont il eut trois fils, le deuxième Jean-Louis, étant mort tout récemment à l'âge de 38 ans après une courte maladie. Il a trois petits-fils et une petite-fille qui font sa joie constante. Bien que chef incontesté de notre Parti, M. Arcand ne s'en dit que le plus humble serviteur, nous enseignant que LA CAUSE, la Grande Idée est le vrai chef que nous devons tous en être des servants; que cette Cause et cette Grande Idée est tout simplement la survie et la remontée de la Haute Culture-Civilisation chrétienne et occidentale.

Qu'est-ce que cette "Serviam"? Un journal? Est-ce qu'Il y a des sources à une bibliotheque? Je cherche une exacte source. Merci. duempel talk 09:51, 14. Mar 2009 (CET)

Question sans doute mineure par rapport à ce qui précède, mais....[modifier le code]

... existe-t-il un lien de parenté entre lui et le réalisateur Denys Arcand ? Roger Rapeau (d) 14 mai 2010 à 18:39 (CEST)[répondre]