Discussion:Théorie quantitative de la monnaie

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Pourquoi y a-t-il tant de majuscules dans le titre? Je serais tenté de penser qu'il y en a trop en me basant sur:

Je suis d'accord pour le v de vitesse mais Théorie Quantitative de la Monnaie s'écrit souvent sous la forme de TQV.
Question annexe : comment modifier un titre sans faire une redirection vers un nouvelle page ?
Maurege 7 jan 2005 à 23:25 (CET)

cf. "Du raisonnement 1 pour 1 à la circulation de la monnaie"[modifier le code]

Raisonnement valable ds une très petite économie sans sans institution centrale monétaire ! Encore le pb du micro vs. macro ! Pour 75 cents d'euro un boulanger n'a pas besoin d'ouvrir un compte en banque. Mais j'espere pour lui que ce n'est pas là son chiffre d'affaire annuel, auquel cas il est bien mal logé, et de toute façon l'analyse s'arrêterait ! Dans ta vision tu sembles oublier une hypothèse forte : il n'y a pas de thésaurisation ! qd le banquier vend une baguette c'est comme s'il déposait directement les 75 cents sur son compte en banque, ce qui n'est pas loin de la réalité compte tenu des versements journaliers de nombreux artisans. De même pour le meunier qd le boulanger lui achète sa farine. Et chacune de leur banque dépend d'un système centralisé, et c l'institution principale, la "Banque Centrale" qui mettra à disposition, par l'intermédiare des banques de second rang les liquidités dont chaque agent aura besoin. La vitesse de circulation ne se mesure pas au nombre de baguettes vendues, au à la quantité de ciment, ni même qq lien q ce soit entre eux ! N'oublie pas qu'il existe des délais et à mon avis à chaque baguette vendue ne correspond pas un sac de ciment...De plus q dire du salaire du maçon et de linvestissement du maçon ? Bref, c au niveau central q ce mesure la vitesse de circulation d'une monnaie. et pour prendre un ex simple, l'avènement de distributeurs de billets constitue un choc accélérateur dans la vitesse de circulation de la monnaie; d'autant plus quand ces distributeurs font office également de dépôt ! Modèle trop simple, raisonnement simplifié; évitons la tautologie et tous ses "Votez pour le parti gagnant!" !!! Merci pour la lecture !

cf. "Du raisonnement 1 pour 1 à la circulation de la monnaie" (2è partie)[modifier le code]

Vu mon raisonnement je ne pouvais pas conserver ce que tu avais écris.. Mais pour montrer ma bonne fois je le sauvegarde ici afin que tu n'es pas à rechercher, et q tt le mde puisse lire ce q tu avais écris :


1 - Un maçon achète une baguette à un boulanger. Avec ce qu'il vient de toucher, le boulanger peut fabriquer d'autres baguettes (création de richesse), et donc acheter de la farine au meunier. Plus le boulanger vend, plus le meunier touche d'argent, et ce dernier peut ainsi produire et vendre plus de farine (création de richesse), voire agrandir son moulin, et ainsi embaucher notre premier maçon, qui touchera ainsi l'argent lui permettant d'acheter encore des baguettes. Si le monde n'était constitué que d'un maçon, d'un boulanger et d'un meunier, la vitesse de circulation de la monnaie correspondrait au nombre de fois où le maçon récupère sa monnaie. Ce raisonnement fait partie de ceux sur lesquels repose le keynésianisme.

En quoi cette phrase illustrent elle une remise en cause des critères de la théorie?

« « De nombreux observateurs soulignent aujourd’hui l’abondance de la "liquidité" dans le système financier international. [...] Malgré tout, la hausse des prix à la consommation est demeurée globalement maîtrisée et les anticipations d’inflation ancrées à un faible niveau. Seuls les prix des actifs immobiliers et financiers ont augmenté rapidement. Y a-t-il un lien de cause à effet avec l’expansion de la liquidité ? On ne dispose pas à ce stade d’un cadre complet d’analyse théorique. Néanmoins, de nombreux indicateurs permettent de le penser. » »

La BdF reconnait une hausse des prix mais cantonnée à certains marchés (immobiliers et produits financiers). Au mieux cela signifie qu'elle reconnaît les imperfections du marché mais cela me parait très court pour embrigader la Banque de France sous la bannière de l'antimonétarisme.. Précisions nécessaires absolument! --Bombastus [Discuter] 8 décembre 2007 à 10:17 (CET)[répondre]

D'après les monétaristes , s'il y a de l'inflation, "elle ne peut être due qu'à une création monétaire excessive par rapport au niveau de production du pays."
Si on prends la notion de l'inflation dans sa définition comprise actuellement par le public ( augmentation de l'indice des prix à la consommation établi par l'INSEE) , la théorie monétariste est inexacte (ou du moins ne s'applique pas d'une manière générale) puisque depuis 7 ans la pente de la création monétaire est de 10% annuel alors que l'inflation reste confinée à 2 ou 3% . Il m'a donc semblé pertinent de faire remarquer par cette citation en note que l'inflation (INSEE) n'était pas la même que l'inflation par les actifs.
Mais vous pouvez reformuler sans problème ...
On retrouve la même analyse par François de Witt sur [1] , vendredi 13 juillet 2007
«  La masse d’argent en circulation dans le monde ne cesse d’augmenter. D’où les craintes inflationnistes des banques centrales. Pourtant, les prix de détail restent sages. Explications.
Il se produit depuis quelques années un étrange phénomène : la masse d’argent en circulation dans le monde, plus techniquement appelée masse monétaire, augmente de 20 % par an. Impressionnant. Inquiétant même. La théorie économique veut en effet que lorsque la masse monétaire s’emballe, elle crée tôt ou tard des pressions inflationnistes. Ce qui paraît tout à fait normal : un supplément d’argent provoque inévitablement une demande de produits et de services que l’offre n’est pas en mesure de servir autrement qu’en augmentant ses prix. L’inflation est apparue pour la première fois dans le monde lorsque les conquistadores retournèrent d’Amérique de Sud les poches pleines d’or. Ils voulaient et ils pouvaient tout acheter et les prix ont flambé.
Cette crainte hante désormais nos gouverneurs de banques centrales : ils voient partout le spectre de l’inflation et pour le confronter, ils relèvent leurs taux d’intérêt. Or, contre toute attente, le fantôme de l’inflation ne se manifeste pas, puisque les prix à la consommation évoluent de manière très raisonnable, surtout avec une masse monétaire qui galope à la vitesse que l’on sait.
La théorie de la masse monétaire débouchant sur l’inflation serait-elle fausse ? Partout dans le monde, les prix de détail sont désormais soumis à la dure loi de la mondialisation : la concurrence mondiale interdit de relever ses prix comme on le veut. On observe même une baisse continue des prix sur le segment très porteur des nouvelles technologies. Aussi les indices de prix sont-ils relativement sages. Mais alors, où va l’argent qui gonfle la masse monétaire ? Cet argent est pour l’essentiel entre les mains d’une poignée de gens immensément riches - cadres dirigeants, sportifs, artistes, rois du pétrole. Ces gens dépensent, mais pas comme tout le monde. Ils achètent des yachts, des propriétés, des bijoux, des peintures d’art contemporain et des parts de fonds de private equity. La loi de l’offre et de la demande fait flamber les prix de ce qu’ils achètent, qui grimpent autrement plus vite que les prix de détail. Il se crée ce que l’on appelle l’inflation par les actifs. Or, même si elle fait peur, cette inflation-là n’a jamais provoqué l’inflation de base que redoute aujourd’hui M. Trichet.  »
Ajh (d) 8 décembre 2007 à 10:44 (CET)[répondre]
C'est quand même très éloigné de ce que dit l'article.. Cela confirme que justement la BCE dans ce cas précis mène une politique monétariste. Il y a constatation d'une inflation sur un marché précis et non traduite dans les indicateurs "classiques" de l'inflation. Je ne vois toujours pas en quoi il s'agit d'une critique des hypothèses restrictives.. C'est plutôt une "autre" inflation en quelque sorte, pas si éloigné de ça --Bombastus [Discuter] 8 décembre 2007 à 12:16 (CET)[répondre]
Exact, on peut le voir de ce point de vue. C'est donc dans la page concernant l'inflation qu'il faudrait faire apparaitre ce point (il faut que j'aille voir j'ignore si il y est déjà explicité), mais de toute façon il faudrait signaler que la théorie monétariste n'est pas tout à fait exacte pour l'inflation courante "officielle" (celle qui importe au public). Mais comme c'est une page à laquelle vous avez beaucoup participé, je vous laisse le faire si vous le voulez -Ajh (d) 8 décembre 2007 à 12:24 (CET)[répondre]
OK, très bien la modif - Ajh (d) 8 décembre 2007 à 13:04 (CET)[répondre]

Les Wikipédiens de 2012[modifier le code]

Bonjour,

Faisons une encyclopédie ouverte. Je propose de prendre comme exemple les consommateurs de 2012.

Vitesse de circulation de la monnaie[modifier le code]

Le wikipedia anglais donne cet exemple (page: velocity of money)

The velocity of money is the average frequency with which a unit of money is spent. When the period is understood, the velocity may be present as a pure number; otherwise it should be given as a pure number over time. In the equation of exchange, velocity of money is one of the key variables determining inflation.

If, for example, in a very small economy, a farmer and a mechanic, with just $50 between them, buy goods and services from each other in just three transactions over the course of a year

• Mechanic buys $40 of corn from farmer.

• Farmer spends $50 on tractor repair. • Mechanic spends $10 on barn cats from farmer

then $100 changed hands in course of a year, even though there is only $50 in this little economy. That $100 level is possible because each dollar was spent an average of twice a year, which is to say that the velocity was 2 / yr.

Pour ma part, je propose de résumer à partir du conte de "la dame de Condé":

Nous sommes à Condé-sur-Gartempe. Son hôtel de la Gare est réputé pour ses ortolans et sa discrétion...! Un vendredi après-midi débarque une jeune femme, d’apparence comvenable, bien qu’un peu trop fardée.Elle réserve une chambre pour la nuit et, comme elle n’a pas de bagage, elle laisse en acompte un billet de 100 euros, tout neuf. Puis elle s’en va visiter la vieille ville.Le pâtissier qui a vu la scène dit au patron: « ça fait six semaines que vous me devez 100 euros pour la pièce montée que j’ai livrée à l’occasion de la communion de votre fille. » Le patron lui donne le billet de bonne grâce.Comme cette scène a été vue par d’autres, elle se reproduit cinq nouvelles fois, car le pâtissier devait aussi 100 euros au minotier... qui en devait autant au garagiste... lui-même débiteur de cette somme au boucher... qui avait à régler 100 euros au représentant de la maison Erlida... lequel devait à son tour acquitter sa chambre à l’hôtel de la Gare pour 100 euros.Il redonne donc le billet au patron de l’hôtel. Notre Dame revient de promenade. Elle annonce, qu’ayant fait une rencontre, elle annule sa réservation. Ce qui arrange bien l’hôtelier qui, entre temps, a eu une demande d’un de ses vieux clients.

On peut d'ailleurs rajouter: L’hôtelier lui rend donc son billet qu’elle brûle aussitôt. « Il était faux », dit-elle en souriant.

Ajh (d) 30 avril 2008 à 08:26 (CEST)[répondre]

Contribution déplacée depuis § Calcul[modifier le code]

La valeur nominale de la production estP*Q, et non pas P. De toute façon cette présentation est ridicule, car comment imaginer qu'un signe monétaire ne serve qu'à 2 reprises dans l'année ? L'erreur vient d'une extrapolation non rigoureuse de la formule initiale: M*V=P*T, ou T représente le niveau des transactions réalisées par les agents économiques au cours d'une année, à la formule M*V=P*Q ou P*y, Q ou y représentant le P.I.B en termes réels. Alors on peut dire que V est une constante égale à 2, mais sûrement pas la vitesse de circulation de la monnaie qui a une valeur beaucoup plus grande.

Vulgarisation[modifier le code]

Je regrette la disparition des parties de vulgarisation de l'article, ces 4 dernières années il est devenu incompréhensible pour les non économistes. Denis Dordoigne (discuter) 15 mars 2009 à 09:49 (CET)[répondre]

dernière phrase de l'intro ambiguë[modifier le code]

"(...) les monétaristes pensent que la monnaie est active, mais que son utilisation est surtout nocive à l'économie."

L'utilisation de la monnaie, "nocive à l'économie"... ainsi les monétaristes seraient favorables au troc ? 86.198.5.49 (d) 3 mars 2011 à 01:21 (CET)[répondre]

vecteur ?[modifier le code]

Bonjour.

Que le terme vecteur fasse partie du jargon des financiers, pourquoi pas. Qu'on puisse considérer que les différentes composantes de la monnaie soient vue comme des coordonnées d'un vecteur monnaie, ça se tente.

Mais qu'on n'entre pas plus dans l'analyse mathématique d'un tel modèle, ça frise le foutage de gueule. Parce qu'en mathématique, la somme des coordonnées n'est contraint par rien de particulier alors qu'ici, c'est le cas vu que la masse globale d'une monnaie est définie comme étant la somme de ses différentes composantes M0, M1, .... . On comprend déjà que ce genre de vecteur est un sous cas particulier, passons.

Mais quand on en arrive à multiplier des vecteurs selon une règle qui est celle du produit scalaire vectoriel en base orthonormée (il manque la donnée ou démonstration de l'orthogonalité, pour commencer), on aimerait avoir une petite explication pour le justifier. Autrement ça ressemble gros à ce qu'un collégien imaginerait pouvoir être un produit "naïf" de vecteurs ou encore de matrices.

Du coup, n'étant ni un mathématicien, ni un économiste, je me mets facilement dans la lecture que pourrait en faire un collégien ou lycéen. Et la question se pose : pourquoi appeler ça un vecteur plutôt qu'autre chose, dès lors qu'on ne leur applique des opérateurs qui n'ont rien à voir avec ceux du calcul vectoriel (sinon le produit scalaire en base orthonormée) ?

Merci de faire en sorte de rendre l'article plus clair en utilisant des termes clairs et non sources de confusions. Overkilled [discuter] 16 novembre 2021 à 19:29 (CET)[répondre]