Discussion:Semaine sanglante

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Manque d'objectivité[modifier le code]

On ne parle dans cet article que des massacres perpétrés contre des Communeux. A aucun moment, il n'est signalé que les Communeux ont aussi massacré des prètres, des forces de l'ordre - qui n'étaient pas des Versaillais -, des Parisiens tout simplement qui leur étaient opposés.
La Commune,ce n'est pas tout Paris, loin de là. Très rapidement des arrondissements entiers ont essayé de se désolidariser du comité central de la Garde nationale.
Dans les rangs des députés de gauche, élus à Paris le 8 février, nombreux sont ceux qui ont désapprouvé l'action de la Commune parce qu'elle était violente et anti-nationale (faite en présence de l'ennemi et avec des contacts avec les Prussiens pour combattre l'armée de Versailles).
Il faut se méfier des visions manichéennes de l'histoire; La Commune est devenue une image particulière de propagande récupérée par des partis politiques.

j'ai un peu modifié, notamment les majuscules. Il faudrait préciser en quoi les Parisiens paient la défaite. archeos

La remarque de 193.252.179.218 n'est pas fausse mais elle n'a pas sa place exclusivement dans l'article sur la Semaine sanglante. Ce décompte doit être fait dans l'article sur la Commune. Ici il s'agit juste de se faire une idée de ce qu'a été le phénomène Semaine Sanglante. Attention :

  • Des exécutions de religieux et de prisonniers laïcs ont eu lieu pendant la Semaine Sanglante, il faut, c'est vrai, les mentionner et si possible les dénombrer (si vous avez des informations sourcées, n'hésitez pas).
  • « Dans les rangs des députés de gauche, élus à Paris le 8 février, nombreux sont ceux qui ont désapprouvé l'action de la Commune parce qu'elle était violente et anti-nationale (faite en présence de l'ennemi et avec des contacts avec les Prussiens pour combattre l'armée de Versailles) »
    • attention à garder de la prudence dans l'expression, pour beaucoup la Commune était très patriotique.
    • violente est à préciser
    • contacts avec les Prussiens à sourcer et contextualiser
    • tout ça =>article Commune de Paris
  • Pensez bien à sourcer vos contributions, il existe des modèles un peu compliqués à utiliser, vous pouvez vous contenter d'ajouter entre parenthèse (WS p. numéro de page — s'il s'agit bien de cet ouvrage) c'est encore assez peu pratiqué mais je voudrais promouvoir cette habitude.
  • Merci, n'hésitez pas à éditer.

Fred.th 11 avr 2005 à 11:04 (CEST)

La Commune ce n'est pas Paris ?[modifier le code]

Seule la bourgeoisie s'est opposée à la Commune, pas étonnant !!!

Et la Commune non ce n'est pas seulement Paris !! A Lyon et partout en France, on a essayé de se soulever !!!

La violence ?[modifier le code]

La violence d'une révolution ne dépend pas de ceux qui la font, mais des moyens employés par les classes dirigeantes pour maintenir leur pouvoir.

Réponse 

Par définition du contrat social, l'Etat a le monopole de la violence légitime. Pourriez vous précisez la notion de "classes dirigeantes" svp ? Si vous parlez des dirigeants politiques, ceux ci sont censées avoir été élu démocratiquement (ce qui est le cas du gouvernement Thiers, dans le cas d'espèce). Par ailleurs la violence est présente chez ceux qui font la révolution : par exemple lorsque le peuple envahit les Tuilleries pour prendre Louis XVI et l'emener à la Bastille, le peuple massacre les gardes qui avaient eu l'ordre de ne pas tirer : il y a bien violence de "ceux qui font la révolution".

En d'autrs mots, les révolutionnaires ne sont pas "dans leur droit" par construction. C'est la mémoire (partisane par définition) qui juge en fonction de sa sensibilité, contrairement à l'historien qui analyse les faits sans (théoriquement) prendre parti. Par contre ce qui est certain c'est que la révolution pousse sa propre logique devant elle puisqu'elle s'auto justifie (comme dans votre remarque) et donc ouvre la porte à la loi du plus fort.

Cordialement.

Bon, j'ai d'abord effacé cette section et je me suis ravisé. Mais ici, nous n'allons nulle part. S'il y a des propositions d'amélioration de l'article basées sur des sources correctes, c'est bien ici qu'il faut en discuter, si c'est seulement pour donner une opinion personnelle sur la légitimité de la violence révolutionnaire, il y a un tas de forums où l'on perd son temps à faire souffrir les mouches. Merci de ne pas oublier que cette page est destinée à discuter de l'élaboration d'un article encyclopédique. Cordialement. le sourcier 20 juin 2012 à 15:03 (CEST)[répondre]

Plussage violent[modifier le code]

Je ne peux que plusser de toute mes forces et avec une conviction sans pareil toute les réponses faite à Archeos. Qu'on puisse encore, au début du 21e siècle, croire en la propagande -honteuse, certes, ridicule surtout- qui faisait des Communards des salauds assoiffés de sang, des communistes le couteau entre les dents, capable des pires atrocités ; voilà qui fait mal, non seulement à l'histoire, mais à la vérité.

Il est un fait reconnu que la semaine sanglante a été un gigantesque massacre perpétué par les Versaillais aussi bien contre les Communards que contre des familles innocentes, voir la plupart des édifices publiques (on ne sait précisément pourquoi Paris brule; mais il est presque certains que les boulets chauffé au rouge en soient pour quelque chose). Certes, en retour, il y a eu des débordements, dont le meurtre de catholiques ; mais sincèrement, avec un rapport de 1 contre 500, ces horreurs sont-elles vraiment comparable avec la répression Versaillaise ? Je ne sais trop répondre.

Amicalement, 89.80.221.135 (d) 10 mars 2008 à 14:01 (CET)[répondre]

Pas si violent que ça, ton commentaire. Au contraire, je dirais que tu abondes dans le sens de Wp, pour laquelle il faudrait développer et terminer cet article de façon correcte, en n'épargnant aucun détail sur les prétendues horreurs de chaque camp. De toute façon, pour en terminer avec ce qu'a dit archeos, cet article ne s'intéresse qu'aux massacres qui ont eu lieu durant la dernière semaine de la Commune. Le reste se trouve dans l'article Commune de Paris (1871)--SammyDay (d) 10 mars 2008 à 14:23 (CET)[répondre]

« Combats acharnés Place du Château d'Eau et à la Butte-aux-Cailles avec Wroblewski. »

...Cela fait une sacrée trotte, pour un seul homme. Non ? -- Perky ♡ 8 juin 2008 à 17:57 (CEST)[répondre]

Là, Walery Wroblewski , l'on parle de la Butte aux cailles et du quartier de La Bastille. Cela semble moins éloigné. -- Perky ♡ 8 juin 2008 à 19:31 (CEST)[répondre]

Comité de salut public et « Le Comité de Salut Public et le Comité central de la Garde nationale font placarder, à l'attention des soldats versaillais, des appels à la fraternisation ». Il faut des précisions sur les différents Comités de Salut public. Cordialement. -- Perky ♡ 9 juin 2008 à 09:08 (CEST) Je cherche aussi de mon côté.[répondre]

Euréka : Comité de Salut public (1871). C'est vraiment bien Wikipedia ! :-) -- Perky ♡ 9 juin 2008 à 09:25 (CEST)[répondre]

Abus de comptes multiples[modifier le code]

Pour information : Wikipédia:Vérificateur d'adresses IP/Requêtes/octobre 2008#Demande concernant : Libdu35, 87.89.71.115, Bertrand35 - 15 octobre 2008, [1]. Daniel*D 15 octobre 2008 à 14:09 (CEST)[répondre]

in « Bilan de la Semaine sanglante », dernier paragraphe[modifier le code]

« Communeux » est-ce l'appellation péjorative de Communards ?

C'est exactement cela, je l'ai mis en lien avec le wiktionnaire pour plus de précision.--SammyDay (discuter) 27 février 2014 à 11:51 (CET)[répondre]

Sachant qu'Émile Littré est hostile à la Commune et aux communards (avec Gustave Flaubert, Alphonse Daudet, Edmond de Goncourt, Emile Zola, George Sand, etc.), l'appellation « communeux » est donc tendancieuse ou non neutre pour figurer dans un article encyclopédique sans explication dans le texte. Mais « communeux » peut être ajouté en note pour monter que l'autorité du dictionnaire de l'époque Émile Littré inventait l'équivalent péjoratif de « communard » avec « communeux » qu'il inscrit dans son dictionnaire (il n'apparait dans aucun autre) prouve qu'il était contre le soulèvement populaire dans l'urgence qui tant bien que mal avec la violence de la famine des Parisiens pris au piège (tous communards ?) tentaient d'organiser une autogestion pour résoudre d'abord le problème de nourrir les affamés, de ne pas se faire tuer, de ne pas exalter le sentiment d'avoir été trahi par son gouvernement, etc. Par exemple. Ou, et être inclus à l'article « communard ».

Je ne pense pas que cela soit indispensable. 1) le terme est entre guillemets (donc déjà permet de souligner le fait qu'il ait une signification particulière) 2) il est lié à l'article du wiktionnaire, qui précise "Nom donné par les adversaires", ce qui est rarement un synonyme de compliment. L'explication de texte est donc déjà bien là, il ne me parait pas utile de le repréciser dans l'article, mais d'autres contributeurs peuvent donner leur avis.--SammyDay (discuter) 28 février 2014 à 11:46 (CET)[répondre]

Nombre de morts Infobox[modifier le code]

Bonjour, en lisant rapidement il me semble qu'il y a plusieurs estimations du nombre de morts et de fusillés et qu'elles ne sont pas totalement reflétées dans l'infobox. Par exemple, je lis une estimation à 15 000 morts côté communards alors que l'infobox dit "de 5 700 à 10 000". Poulets777 (discuter) 19 janvier 2024 à 14:51 (CET)[répondre]