Discussion:Rémy Pagani

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Proposition de contenu à neutraliser et centrer sur Rémy Pagani[modifier le code]

Affaire des frais professionnels[modifier le code]

En novembre 2018, Rémi Pagani est touché par les révélations de la Cour des comptes genevoise sur les frais professionnels du Conseil administratif de la Ville de Genève. L'institution révèle dans un audit l'existence d'un double système de remboursement (indemnités forfaitaires ainsi que des remboursements effectifs), des lacunes dans le cadre normatif (par exemple l'absence de définition précise des frais professionnels), des dépenses dont la justification s'avère douteuse et une absence de contrôles[1],[2],[3]. La Cour indique également que l'audit s'est effectué dans un climat particulièrement mauvais, certaines actions des responsables municipaux pouvant être interprétées comme des entraves à la bonne mission des auditeurs.

Si les élus tentent dans un premier temps de minimiser l'impact de ces informations et n'acceptent pas l'entièreté des recommandations, le Conseil municipal demande rapidement des éclaircissements et des mesures[4]. Au delà des limites de la Ville, les réactions à la publication de l'audit sont vives et réclament plus de transparence[5]. L'intégralité des frais depuis 2007 sont alors rendus publics[6]. La suppression de l'indemnité forfaitaire est aussi voté par le législatif[7],[8]. Enfin, la Ville de Genève annonce début décembre que l'ensemble des recommandations sont finalement acceptées[9].

Courant novembre, le Ministère public indique ouvrir une procédure pénale contre inconnu pour gestion déloyale des intérêts publics et avoir procédé à des perquisitions dans les locaux de l'administration municipale[10]. L'administration fiscale cantonale fait également savoir qu'elle étudie le rapport de la Cour des comptes pour déterminer les suites qui pourraient y être données[11].

Dans ce contexte, un rapport interne dont les conclusions sont rendues publiques par la Tribune de Genève pointe de nombreuses irrégularités dans le remboursement des notes de frais des cadres municipaux[12],[13],[14]. Le rapport indique que la moitié des écriture investiguées sont non-conformes (justifications lacunaires, ...) et que les contrôles sont inefficaces. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par GastelEtzwane (discuter), le 5 janvier 2019 à 23:27 UTC+1

Bonjour GastelEtzwane (d · c · b).
Merci de signer vos interventions, cela facilitera la lisibilité de la discussion.
Je ne suis pas opposé à des modifications mais si le contenu ne vous convient pas, peut être faudrait-il que vous 1) expliquiez votre position et vos arguments et 2) proposiez des modifications. En l'état, vous retirez de manière unilatérale et sans explications un peu fournies un contenu qui vous déplaît sans rien proposez. Cela va être difficile d'avancer et d'être constructif ainsi.
Je ne vois pas en quoi la neutralité de point de vue n'est pas respectée. La très grande majorité du contenu sont des faits et sourcés. Les positions du CA sont également mentionnées.
C'est également centré il me semble. Ces questions relatives aux notes de frais concernent l'ensemble des magistrats, donc Rémy Pagani.
Peut être qu'avec des explications ou des propositions, ma compréhension s'améliorera. Tout de bon. Triboulet sur une montagne (discuter) 6 janvier 2019 à 00:38 (CET)[répondre]
Bonjour,
Merci d'avoir ajouté ma signature, ce n'est pas dans mes habitudes d'oublier...
Je ne comprend pas pourquoi il y a une telle tartine sur la page de Rémy Pagani, alors que son nom ne figure presque pas dans les sources. C'est des mauvaises pratiques de l'ensemble du CA, et c'est surtout les agissements de Guillaume Barazzone qui ont fait les choux gras de la presse... _.:_GastelEtzwane_:._ ♪♪♪ Allô j'écoute ? 7 janvier 2019 à 13:03 (CET)[répondre]
Bonjour GastelEtzwane (d · c · b).
Il me semble que cette affaire touche bien Rémy Pagani puisque c'est tout le Conseil administratif qui est pointé. J'ai essayé de mettre quelques éléments d'individualisation (pas encore fait pour Barazzone) pour mieux préciser le rôle ou le contexte des magistrats. Mais le problème visant l'ensemble du CA, il s'agit forcément d'une description "à visée large".
L'objectif me semble être d'informer. Que la presse cherche plutôt les détails symboliques pour faire du tirage me semble normal, mais je ne pense pas qu'il faille calquer WP sur ce fonctionnement. J'ai essayé de ne pas mettre de "détails croustillants" (il y en a sur Rémy Pagani) qui me semble être plutôt des anecdotes. J'ai essayé d'expliquer les critiques de la Cour et les conséquences politiques, administratives et juridiques qui ont suivi. Ce qui m'intéresse est d'informer sur le fond de l'affaire. Les détails de cartes bleu, de champagne ou autres sont plutôt des épiphénomènes. L'existence du double système, les lacunes règlementaires ou l'absence de contrôles pour la dépense publique me paraissent bien plus centraux que les nuits de Barazzone, les taxis d'Alder ou la place de park de Pagani.
Je vais mettre des informations sur les 5 magistrats, Rémy Pagani n'étant pas le seul touché. Je garde Barazzone qui est le plus complexe pour la fin, après justement avoir pu en discuter avec d'autres contributeurs.
Taire cette information sur le fait que ce sont des mauvaises pratiques de l'ensemble du Conseil administratif ou que Barazzone est le plus touché me paraît être une erreur. La responsabilité des membres du CA, donc de Rémy Pagani, est bien engagée sur cette histoire. De plus, ce n'est pas parce qu'un politicien a fait pire que l'on doit passer sous silence la responsabilité des autres.
Si la description est plutôt longue, c'est justement pour bien expliquer ce qu'il s'est passé. Mettre Pagani sur le même plan que Barazzone serait une erreur, dire que le CA à voler de l'argent serait aussi une erreur (au moins un POV), ... En détaillant un peu, il me semble que l'on comprend mieux le fond et le rôle de chacun. Tout de bon Triboulet sur une montagne (discuter) 8 janvier 2019 à 11:30 (CET)[répondre]
  1. « La Cour des comptes éreinte l’exécutif de la ville de Genève pour ses frais », Le Temps,‎ (ISSN 1423-3967, lire en ligne)
  2. Pauline Turuban, « Les dépenses de l'exécutif genevois épinglées par la Cour des comptes », rts.ch,‎ (lire en ligne)
  3. Olivier Perrin, « Notes de frais: balade médiatique à Genève, sous les ors de la République », Le Temps,‎ (ISSN 1423-3967, lire en ligne)
  4. ats / gma, « La Cour des comptes de Genève priée d'étendre son audit jusqu'à 2007 », rts.ch,‎ (lire en ligne)
  5. Marie Prieur, « Les magistrats de la Ville de Genève en désaccord sur la transparence », Radio Lac,‎ (lire en ligne)
  6. David Haeberli, « Leurs dépenses publiées, les ministres genevois restent sous pression », Le Temps,‎ (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
  7. jef, « Frais des élus: Salerno veut renoncer aux forfaits », 20 minutes,‎ (lire en ligne)
  8. dra / ats, « Allocations des magistrats de la Ville supprimées », 20 minutes,‎ (lire en ligne)
  9. dra, « La Ville dit «oui» à tout, suite au rapport de la Cour », 20 minutes,‎ (lire en ligne)
  10. Fati Mansour, « A Genève, le Ministère public se saisit de l’affaire des notes de frais », Le Temps,‎ (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
  11. www lemanbleu ch, Léman Bleu, « Notes de frais de la ville, le fisc devrait prendre le relais - Léman Bleu Télévision », sur www.lemanbleu.ch (consulté le )
  12. Sophie Simon, « La moitié des frais du personnel de la Ville sont non conformes », TDG,‎ (ISSN 1010-2248, lire en ligne, consulté le )
  13. dra, « Les frais douteux des fonctionnaires de la Ville », 20 minutes,‎ (lire en ligne)
  14. Adrien Krause, « Les notes de frais du personnel de la Ville de Genève épinglées par un audit », rts.ch,‎ (lire en ligne)