Discussion:Plan Calcul

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Plus tard, le Plan infomatique pour tous connut lui aussi un échec sévère, et sonna le glas des ambitions gouvernementales françaises en informatique.

l'article sur "le Plan informatique pour tous" et la qualification de "échec sévère" ne sont guère argumentés : l'auteur de l'article lui reproche son orientation "programmation" plutot que "bureautique"; je ne vois pas là de quoi parler d'échec sévère.

J'ai personnellement vécu le plan informatique pour tous de l'intérieur en tant qu'élève : de mon point de vue cétait tout à fait intéressant sur le plan pédagogique

Qui plus est le rapport entre "Plan calcul" et "plan informatique pour tous" me semble quand même un peu lointain notamment chronologiquement.

Article idéologique...[modifier le code]

... sur un sujet polémique, et très peu source. Je partage les remarques émises plus hauts sur le lien un peu bizarre avec le plan informatique pour tous et j'ai commencé à ajouter des sources et des précisions, mais il reste encore beaucoup à faire pour arriver à un article neutre, informatif et sourcé.--Tango Panaché (discuter) 6 février 2014 à 23:58 (CET)[répondre]

Article tendancieux[modifier le code]

Autant qu'il me souvienne des années 1961-1983

  • les ennuis de Bull sont venus dès 1961 du jeune Giscard d'Estaing, en tant que secrétaire d'Etat aux Finances ;
  • dès 1964, les gros matériels IBM étaient alors moins efficaces en calcul scientifique que les CDC 6X00 de Seymour Cray ;
  • le plan-calcul a d'abord favorisé le matériel scientifique et industriel, avec comme réalisations exemplaires
    • l'Iris 80 d'une part, dérivé du Cii 10070 (Sigma 7 sous licence), plus efficace que les IBM comparables du fait du jeu d'instruction et de compilateurs modernes et variés(projet SPECIF), et dont il a existé des versions bi- et tri-processeur sous Siris 8 ; ce matériel fut utilisé notamment dans les centres de calcul universitaires et en télécommunications;
    • les mini-ordinateurs Mitra 15 et dérivés, utilisables soit en satellites de l'Iris 80, soit de façon autonome en conduite de processus, soit comme nœuds de réseau (réseau Cyclades) ; la NASA en avait d'ailleurs acquis un certain nombre ; ils équipèrent aussi certains lycées, concurremment avec les T1600 de Télémécanique.
  • puis il y eut des difficultés avec l'accord européen Unidata : la Cii devait concevoir les machines, mais Siemens les voulaient compatibles IBM, aux faiblesses de conception identifiées : la Cii dut casser ses prototypes X4 et X5 ;
  • autres difficultés avec Giscard d'Estaing président, obsédé par la gestion et la rentabilité ; cette nouvelle orientation mena d'abord à l'Iris 50 (construit par la suite en Roumanie comme Felix C256), rapidement décliné en 2 versions améliorées :
    • l'Iris 45 offrant les mêmes performances à moindre coût,
    • l'Iris 60 offrant des performances accrues au même prix.

Finalement, VGE contraignit la Cii (techniquement très avancée mais aux moyens financiers réduits) à se rapprocher de son contraire Honeywell-Bull. La fusion fut techniquement difficile. Honeywell hérita ainsi de la compétence réseaux de la Cii (démontrée au SICOB 1975), et fut le faux-nez américain pour la conception du langage Ada par une équipe Cii menée par Jean Ichbiah à Louveciennes, dans le cadre d'un appel d'offres du Pentagone, mené à terme en 1983.

Dans ce plan-calcul, enthousiasme et compétence ont été victimes de politiques à courte vue.

--Lf69100 (discuter) 18 décembre 2017 à 23:59 (CET)[répondre]