Discussion:Jomo Kenyatta

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

A lire: Paradis, de Mike Resnick, qui décrit un Kenya très touchant dans un univers futuriste, et fait partie d'une trilogie sur la colonisation qui est très intérrésante
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par Aeniliu (discuter), le 1 juin 2007 à 19:19 (CEST)[répondre]

Kwame Nkrumah n'a jamais été 1er ministre du Kenya, mais du Ghana !
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 132.168.152.124 (discuter), le 14 juin 2010 à 14:17 (CEST)[répondre]

Si quelqu'un a davantage d'informations sur son nom, il serait bon de pouvoir les ajouter à l'article. On sait qu'il est né Kamau wa Ngengi, qu'il a été baptisé John Peter Kamau en 1914 par des pères missionnaires, mais aucune date sur le changement de prénom en Johnston. Quant à son pseudonyme Jomo Kenyatta pris pour publier sa thèse en 1938, on n'en sait pas plus. Rien sur le caractère officiel de ce pseudonyme qui est devenu son état civil, ainsi que sur son caractère héréditaire, puisque son fils, le nouveau président de la République, Uhuru Kenyatta, porte le même nom issu d'un pseudonyme. Merci d'avance. --Cyril-83 (d) 13 avril 2013 à 18:22 (CEST)[répondre]

Citation "Jomo Kenyatta"[modifier le code]

« Quand les blancs sont venus en Afrique, nous avions la terre et ils avaient la Bible. Ils nous ont demandé de prier avec les yeux fermés; quand nous avons ouvert les yeux, les blancs avaient la terre et nous avions la Bible. »
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 89.90.54.71 (discuter), le 23 mai 2015 à 09:45 (CEST)[répondre]

ERREUR FACTUELLE ? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 2A01:CB08:A7:BC00:F521:E941:70B0:3DC (discuter), le 30 décembre 2020 à 10:22 (CET) — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 2A01:CB08:A7:BC00:F521:E941:70B0:3DC (discuter), le 30 décembre 2020 à 10:22 (CET)[répondre]

Je pense qu'en France, l'histoire du Kenya est mal connue et n'intéresse pas grand monde. Mais j'ai quand même sursauté en lisant que Kenyatta avait été en prison avec Daniel Arap Moi : D. Arap Moi est justement un des politiciens qui sont apparus quand Kenyatta était en prison et ont fait le début de leur carrière à la fin du régime colonial en se présentant comme des modérés, élu au conseil législatif de la colonie, ministre de l'éducation du gouvernement "pré_indépendance" en 1961. Quand on veut des infos sérieuses il faut aller sur le wiki en anglais… extrait du Wiki anglais sur D Arap Moi :

"In 1955 Moi entered politics when he was elected Member of the Legislative Council for Rift Valley. He was the chosen replacement of Dr. John ole Tameno, the former representative who had had to quit due to heavy drinking and suspected connections to the freedom movement.[10] In 1957 Moi was re-elected Member of the Legislative Council for Rift Valley. Moi was part of the Kenyan delegation at the Lancaster House Conferences in London, which drafted the country's first post-independence constitution, and in 1961 became Minister of Education in the pre-independence government.[11]

In 1960 he founded the Kenya African Democratic Union (KADU) with Ronald Ngala as a political alternative to the Kenya African National Union (KANU) led by Jomo Kenyatta. KADU pressed for a federalist constitution, while KANU was in favour of a centralized government. The advantage lay with the numerically stronger KANU, and the first post-independence constitution emphasised national unity, structuring the country as a unitary state.[12]"


--2A01:CB08:A7:BC00:F521:E941:70B0:3DC (discuter) 30 décembre 2020 à 10:11 (CET)[répondre]