Discussion:Gille

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Traditions[modifier le code]

texte retiré de l'article - 17 octobre 2007

« Cependant, la notion de respect scrupuleux des traditions est sujette à nombreuses discussions, on pourrait aussi bien dire que chaque commune du Centre a ses propres traditions et qu'elle les respecte ou encore, que certains pensent que le poids des traditions ne doit pas scléroser une manifestation festive dont l'intérêt principal n'est peut-être pas de "faire comme on a toujours fait" mais plutôt d'inviter, au temps présent, la population à un grand moment de convivialité exceptionnelle autour du personnage du gille, très aimé par toute une région et pas seulement dans une seule ville qui aurait l'exclusivité des scrupules de bon aloi. Les sujets discutables sont les plus intéressants. »

L’Unesco aurait pu reconnaître « les gilles de Binche et tous les gilles de la région du Centre qui font montre d’une bonne tenue et d’un respect marqué des traditions » ce n’était pas plus cher et ça évitait de mécontenter les nombreuses personnes qui aiment ce folklore sans être nées à Binche ce qui avouons-le est très restrictif et même franchement outrancier.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 213.49.85.50 (discuter), le 21 octobre 2007 à 10:18 (CEST)[répondre]

Et si on parlait culture ?[modifier le code]

Rien sur l'aspect historique de la chose, de son sens culturel, de ses origines ? Ce serait encyclopédique pourtant. -- Salve - louis-garden pinXit (On en cause) 22 février 2012 à 13:43 (CET)[répondre]

Au sujet des Gilles de Binche : s'ils furent présentés à la sœur de Charles-Quint tout d'abord, ils furent ensuite présenté à Marguerite d'Autriche, fille de Felipe IV de España, et épouse de Louis XIV. C'est alors que les "sauvages incas" donnèrent une représentation la plus proche de leur aspect actuel. Les Gilles représentaient les Tobas, ou tribus selvicoles entre Tarija, Cochabamba et Santa Cruz de la Sierra. plus récemment XVIIIème siècle, ils étaient joués masqués par les "chunchus", généralement des lépreux, notamment à Tarija, dans le Sud du Alto Peru, aujourd'hui Bolivie. Les tobas ou chunchus font partie de toutes les manifestations religieuses et folkloriques des pays de la Cordillère Andine (Pour en savoir plus: Museo Folklorico de La Paz, et aussi Officina de Informacion Turistica, Tarija, Bolivia; ainsi que les nombreuses publications et livres consacrés à la Culture Andine et au Carnaval -notamment celui d'Oruro)— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 202.3.232.141 (discuter), le 24 février 2016 à 19:58 (CET)[répondre]

Proposition d'anecdote pour la page d'accueil[modifier le code]

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