Discussion:Eugène Murer

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Balzac ?[modifier le code]

Comment Honoré de Balzac, mort en 1850, aurait-il pu rencontrer Eugène Murer, né en 1846, dans une pâtisserie où le futur artiste aurait été apprenti à l'âge de quatre ans? Même au 19e siècle, ce n'est pas possible.--Lepetitlord [Fauntleroy] 22 septembre 2010 à 18:25 (CEST)[répondre]

Pour info :

Voici d'où était tirée l'énormité ci-dessus : Un jour, son patron, fournisseur de Balzac, l’envoie porter une commande au romancier. Murer arrive chez l’écrivain dont il connaît presque l’œuvre entier. Son cœur bat fort. Pensez, lui le grand mangeur de prose, il est chez un des maîtres prosateurs de l’époque! — Il entre dans la cuisine. Devant le fourneau est un gros homme en manches de chemise. Une cuillère de bois à la main il tourne des oignons dans une casserole. En voyant le petit pâtissier, sa bonne figure, coupée d’une grosse moustache, s’illumine. Il prend le gâteau, le flaire avec délice, le pose sur un plat d’argent, puis, se retournant vers l’apprenti qui le regarde faire en silence, il lui met un gros sou dans la main. Au même instant survient la cuisinière : « Monsieur de Balzac, dit-elle, madame vous demande, merci d’avoir soigné mes oignons… » Ses oignons! Murer a bien vu, surtout bien entendu ; mais il ne peut croire ni ses yeux ni ses oreilles… Quoi! ce gros homme qui fricotte avec grâce, c’est l’illustre romancier! C’est Honoré de Balzac!… Murer ahuri par tant de simplicité s’esquive en serrant bien fort son sou de bronze. Il a conservé cette relique et la garde précieusement. . Ceci explique pourquoi il faut prendre avec la plus grande prudence les informations non référencées de cet article,notamment la liste des tableaux.--Lepetitlord [Fauntleroy] 23 septembre 2010 à 15:09 (CEST)[répondre]

Merci d'ajouter VOS références[modifier le code]

Bonjour 82.124.31.225

Vous demandez des références. Celles qui sont dans l'article, c'est moi qui les y ai mises. L'introduction reprend l'analyse de Sophie Monneret. Vous n'avez aucune raison de la tronquer. Vous n'avez aucune raison non plus de citer Monneret p.610 car il est évident que vous n'avez pas lu la page 610. Elle emploie le terme Saute-ruisseau qui avait une signification bien précise à l'époque. Votre garçon de course n'est pas pertinent.

En revanche vos liens sont très bien venus, et la suppression de la liste des œuvres non sourcées est également pertinente. Toutefois, avant de vous livrer à une guerre d'édition avec une IP, plongez le nez dans l'impressionnisme et son époque , vous y trouverez les tableaux d achetés parEugène Murer mis en vente 1876, 1877, 1878,1879. J'aurais d'autre paragraphes à rajouter, mais rien ne presse. En attendant, merci de ne rien bousiller. Ajoutez plutôt.--Lepetitlord [Fauntleroy] 14 avril 2013 à 19:10 (CEST)[répondre]

ton très élogieux ?[modifier le code]

bonjour, l'article présente Murer comme le bon apôtre de l'impressionnisme ; c'est peut-être exagéré ; s'il s'est brouillé avec ces peintres, il y a sans doute des raisons ? il faudrait indiquer les aspects moins jolis de son comportement, non ? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Clamard (discuter), le 19 avril 2016 à 07:07

C'est en effet exagéré (de même que sa présentation d'emblée comme peintre). Il s'est constitué une collection à faible frais, payant parfois des toiles en échange de repas (il est vrai qu'à l'époque les prix étaient bien bas, faute d'acheteur). De mémoire, il s'est brouillé avec Sisley et peut-être Monet sur des questions d'argent. Pascal Bonafoux, Monet, 2007, p. 157 : « Monet doit des toiles à Murer. Murer s'impatiente. Monet se dérobe. Murer s'irrite. Monet s'offense. Murer menace. Est-il bien nécessaire de se mettre à dos l'un de ses - rares - amateurs ? ». Voir la note 20 dans [1]. --Rédacteur Tibet (discuter) 23 février 2017 à 13:26 (CET)[répondre]
Quelle connaissance avez-vous de Eugène Murer? Sa présentation comme peintre est faite par Sophie Monneret (pâtissier, écrivain, peintre) et par Colin B. Bailey du Metropolitan Museum où il est présenté comme peintre, collectionneur.
Vous vous fondez sur une seule note repiquée en extrait de l'ouvrage en ligne de Bonafoux qui compte plus de 700 pages (format poche). N'est-ce pas un peu faible pour argumenter?
J'ai sous les yeux un autre volume,encore plus gros (700 pages format 21x29,7) Monet une vie dans le paysage, par Marianne Alphant. Murer y est mentionné 10 fois dont largement sur deux pages (301-302). Je cite une de ses lettres à Monet : « Pas mal de vos anciens amis prétendaient que vous aviez la fibre de l'amour propre émoussée, (...) je vois avec plaisir qu'il n'en est rien et qu'il suffit de frapper un peu fort pour la faire vibrer un peu sèchement. Allez donc cher monsieur, travaillez avec ruse, libérez-vous, travaillez à devenir un grand homme en toute sécurité (p.301 extrait de l'ouvrage Lettres impressionnistes par Paul Gachet p.162-163.) »
Je n'ai pas le temps de piocher plus avant. Votre note en ligne sortie d'un contexte ne prouve rien. À votre place, avant de rendre un avis, je chercherais dans un ouvrage entier. Merci.--Lepetitlord [Fauntleroy] 24 février 2017 à 01:56 (CET)[répondre]
Je connais en effet mal la bio de Murer. Toutefois, dans les ouvrages sur Sisley, il est présenté comme un pâtissier et collectionneur d'art. Il est vrai qu'il aidait les peintres, bien ce ne fut pas toujours gratuit. Il semble qu'il ait eu une brouille à propos d'argent avec Sisley. Sa qualité de peintre n'est pas mentionnée (dans les bio sur Sisley). Je n'envisage pas d'intervenir sur cette page. --Rédacteur Tibet (discuter) 24 février 2017 à 13:10 (CET)[répondre]

Une bonne documentation est nécessaire[modifier le code]

Je m'aperçois que vous ne vous fondez même pas sur le livre de Pascal Bonafoux, qu'apparemment vous n'avez pas consulté, mais sur un seul extrait repiqué en ligne d'un livre plus général et incomplètement livré en ligne : The Annenberg Collection: Masterpieces of Impressionism and Post-impressionismpar Metropolitan Museum of Art (New York, N.Y.), Colin B. Bailey. No comment.--Lepetitlord [Fauntleroy] 24 février 2017 à 02:10 (CET)[répondre]

Je ne vois pas comment vous pouvez faire cette interprétation. La citation de Pascal Bonafoux est dans google book. --Rédacteur Tibet (discuter) 24 février 2017 à 16:17 (CET)[répondre]
Je ne vois pas le livre de Bonafoux dans votre lien (quelques lignes en anglais).
Vous cherchez quoi exactement? À contestez ou à enrichir?
Je ne comprends pas pourquoi vous vous fixez sur Murer à partir de Sisley alors que l'article Sisley est très incomplet et ne le cite même pas.
Il y a d'autres sources plus complètes qui enrichiraient la page Sisley où il n'y a pas de bibliographie, et peu de références (idem pour la citation sur Monet, piochez dans les livres complets).
J'ai n'ai pas assez de temps pour le faire à votre place. Je vous conseille de consulter le tome I de L'Impressionnisme et son époque, de Sophie Monneret p.882-898. --Lepetitlord [Fauntleroy] 24 février 2017 à 16:54 (CET)[répondre]
Ah, je comprends la confusion. Le livre que vous citez ci-dessus, The Annenberg Collection correspond au lien que j'ai indiqué concernant Sisley (ci-dessus j'indique la note 20 qui concerne Sisley). La citation concernant Monet est elle bien de Pascal Bonafoux. Vous pouvez le vérifier en copiant-collant la citation dans http://books.google.fr/. Bien à vous, PS, pour précision, je ne compte pas intervenir sur cette page (qui me semble tout de même manquer de recul), car les sources dont je dispose sont centrées sur Sisley. --Rédacteur Tibet (discuter) 24 février 2017 à 18:05 (CET)[répondre]
Ce que vous proposez avec ce lien et cette citation riquiqui (pardon, mais le bouquin de Bonafoux que je possède fait 757 p.en poche).
Evidement, j'y trouve bien d'autres choses concernant Monet et Murer que ce que vous signalez en passant.
Mais bon. Puisque Sisley vous intéresse, enrichissez plutôt là bas.--Lepetitlord [Fauntleroy] 24 février 2017 à 20:45 (CET)[répondre]

À propos des brouilles avec les peintres[modifier le code]

Il faut savoir que les impressionnistes avaient l'art de se fâcher avec leurs marchands dès qu'ils avaient atteint une certaine notoriété.Le "fâchage" s'accompagnait souvent de lâchage si le marchand donnait des signes de faiblesse. Exemple : Paul Durand-Ruel

  • Monet: à partir de 1886, « Monet ne donne plus l'exclusivité à Durand-Ruel, mais expose chez lui lorsque cela lui convient" monneret p. 212 t.1. Renoir est le seul peintre resté fidèle au grand marchand qui les a tous lancés [...] lorsque celui-ci traverse une période difficile (monneret 212 213 T.1) »
  • Sisley se fâche avec Durand parce que, dit-il, le marchand a laissé tombé les prix. (Monneret p. 212)
  • Pissaro est fâché avec Durand (1888) pour la même raison que Sisley (Monneret 212)
  • Pour info --Lepetitlord [Fauntleroy] 11 mars 2017 à 01:30 (CET)[répondre]

Proposition d'anecdote pour la page d'accueil[modifier le code]

Une proposition d'anecdote pour la section « Le Saviez-vous ? » de la page d'accueil, et basée sur cet article, a été proposée sur la page dédiée.
N'hésitez pas à apporter votre contribution sur la rédaction de l'anecdote, l'ajout de source dans l'article ou votre avis sur la proposition. La discussion est accessible ici.
Une fois l'anecdote acceptée ou refusée pour publication, la discussion est ensuite archivée .
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