Discussion:Eucher de Lyon

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Semi-pélagianisme[modifier le code]

Le terme "semi-pélagianisme" date seulement de la fin du XVIe siècle. Les théories reprises à Lérins ne sont de plus pas exactement celles de Pélage (que les "Marseillais" condamnent).

Cf. la page dédiée au Semi-pélagianisme où tout cela est fort détaillé. --JPS68 (d) 11 octobre 2009 à 11:38 (CEST)[répondre]

Vivantiolus[modifier le code]

Qui est ce Vivantiolus ? Aucune trace dans Liste des archevêques de Lyon ni ailleurs !--Mandeville (d) 27 janvier 2012 à 13:48 (CET)[répondre]

Viventiolus a bien été évêque de Lyon, mais soixante ans plus tard. Vous le trouverez dans la liste aux années 514-523. Il est donc impossible qu'il ai été suivi d'Eucher sur le trône épiscopal. J'ai demandé à l'auteur de cette mention où il avait trouvé cette information. Jacques Gadille, dans son Histoire du diocèse de Lyon, mentionne par ailleurs comme purement légendaire l'épisode de la caverne dans laquelle il aurait été reclus. Il faudrait trouver d'autres sources. Cordialement. Cedalyon (d) 27 janvier 2012 à 22:00 (CET)[répondre]
Tout d'abord, il existe bien un Viventiolus qui est monté sur le siège épiscopal de Lyon. Affaire réglée. Tout comme d'après Jules Courtet, il aurait existé deux Eucher. Dans son "Dictionaire du département de Vaucluse", au paragraphe Beaumont-de-Pertuis, d'où est originaire celui qui nous intéresse, il indique, page 81, d'après Mabillon, l'existence d'un Eucher le Grand, mort en 554, donc contemporain de Vivantiole. Les bollandistes actuels ont-il fait le ménage ? C'est possible puisque nous ne le retrouvons pas sur la liste des prélats lyonnais. Je supprime donc Vivantiole.
Quant à l'épisode non mentionné par Jacques Gadille, il l'est par Paul-Albert Février dans "Le peuple des saints", p. 23, d'après un martyrologue lyonnais antérieur à 806. Il indique archidiaconus effracto muro speluncae eduxit eum et, iuxta quod ipse iurauerat, uinctum perduxit Lugdunum. Il indique de plus que le martyrologue ignore totalement le passage d'Eucher à l'abbaye de Lérins et qu'un prieuré est attesté devant sa grotte à partir de 1118.
Cette page a été rédigée en 2009 (et non récemment) auusi je me rend compte qu'elle mériterait d'avoir des sources supplémentaires que je possède, en particulier celles de Paul-Albert Février, et celles de Guy Barruol dans "Provence romane". Au passage, la page de Viventiole de Lyon mériterait d'être enfin sourcée d'autant qu'il en existe la possibilité. Cdlt --JPS68 (d) 30 janvier 2012 à 10:51 (CET)[répondre]
Le sourçage de l'ensemble des prélats lyonnais figure sur ma (bien trop) longue liste de choses à faire. Un jour, sûrement... Merci pour les références et l'information. Cedalyon (d) 30 janvier 2012 à 19:32 (CET)[répondre]