Discussion:Collaboration policière sous le régime de Vichy

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Je me permet de donner deux précisions: 1° La RATP n'existait pas encore. C'était la STCRP (Société des Transports en Commun de la Région Parisienne), absorbée et régie par la CMP en 1942. La RATP, régie de statut public, n'existera qu'en 1948. 2° Au décret-loi du 26 septembre 1939 interdisant le Parti Communiste, il convient d'ajouter le décret présenté par le ministre de la Justice SFIO Albert Sérol, dit Décret Sérol, du 9 avril 1940 (Journal Officiel du 10 avril 1940) prévoyant la peine de mort pour activités communistes.

Si elle n'existait pas , il ne faut pas la siter ! L'encyclopédie n'est pas une oeuvre de propagande!--213.223.116.185 20 janvier 2007 à 11:50 (CET)[répondre]


bonjour, je trouve l'expression "Les deux trains de mesures antijuives" d'un goût un peu douteux. -bix

Corrigé. SergeiPoulp (d) 3 novembre 2009 à 02:18 (CET)[répondre]

Référence possible[modifier le code]

Bonjour, à l'occasion de la création de Commissaire Permilleux, je suis tombé sur une source possible disponible en ligne : de Jean-Marc Berlière, Le monde des polices en France : XIXe-XXe siècles (voir l'article). Cordialement, Asram (d) 1 juillet 2012 à 02:00 (CEST)[répondre]

Sources peu sérieuses pour cet article...[modifier le code]

L'article se base en grande partie sur les livres de Maurice Rajsfus, ce qui pose un certain nombre de problèmes.

Du fait de sa douloureuse histoire familiale, Rajsfus est un militant et non un historien. En effet, son utilisation des archives est contestable du point de vue méthodologique car elle vise essentiellement à tracer un portrait à charge de l'institution policière durant l'Occupation. Au-delà des quelques documents intéressants qu'il met en exergue, on ne peut se contenter de recopier le point de vue développé dans ses ouvrages, ces derniers s'apparentant à des pamphlets. Comme tels, ceux-ci ont été sévèrement critiqués par des historiens comme Jean-Marc Berlière (pourtant lui-même très critique envers les polices françaises de 1940-1944...) et des revues comme L'Histoire.

Il convient donc de se pencher davantage sur les autres références bibliographiques (j'en ai ajouté un certain nombre), notamment Berlière, Liaigre, Peschanski... Des historiens universitaires qui analysent et expliquent les faits (déjà suffisamment accablants pour la police française) sans se muer en procureurs. Cordialement. Guise (d) 16 janvier 2013 à 22:02 (CET)[répondre]

En réalité cet article est à revoir de fond en comble (j'ai un peu commencé [1], mais il y a tellement à faire que c'en est décourageant… et chronophage). Daniel*D, 2 mars 2016 à 14:59 (CET)[répondre]

Proposition d'anecdote pour la page d'accueil[modifier le code]

Une proposition d'anecdote pour la section « Le Saviez-vous ? » de la page d'accueil, et basée sur cet article, a été proposée sur la page dédiée.
N'hésitez pas à apporter votre contribution sur la rédaction de l'anecdote, l'ajout de source dans l'article ou votre avis sur la proposition. La discussion est accessible ici.
Une fois l'anecdote acceptée ou refusée pour publication, la discussion est ensuite archivée .
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