Discussion:Charles Maillard (1876-1973)

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Les sculptures du Sacré-Cœur de Cholet[modifier le code]

Il apparaît très difficile presque quatre vingt ans plus-tard de définir précisément la réelle contribution active de Charles Maillard au niveau de l'ensemble des sculptures que contient l'église du Sacré-Cœur de Cholet ; on peut toutefois observer que la statue de la Vierge magistrale, sur le côté extérieur ouest de l'église est signée Fernand Dupré, ce qui interroge (vérifié en 2018).--Mimiche14 (discuter) 19 janvier 2019 à 19:28 (CET)

Un témoignage du de M. Michel Dorbeau petit-fils du sculpteur praticien choletais Fernand Dupré : « Charles Maillard habite Paris, il apporte les esquisses des sculptures des entrées du Sacré-Cœur de Cholet, de même que celle du Père de Montfort à Saint-Laurent-sur-Sèvre. ». Une demande d'information complémentaire et d'archives formelles a été faite auprès de M. François Jeanneau, inspecteur général des monuments de France--Mimiche14 (discuter) 1 février 2019 à 14:26 (CET)[répondre]

Selon Scarlett Martin, bulletin SLA, n°117 décembre 2001, Église du Sacré-Coeur, page 25, parmi les dons complémentaires elle cite : « Deux sculpteurs, Mlle Marie France Poisson et le Dr Lecoq ornent bénévolement les bénitiers ». De quoi parle-t-on ? (il s'agit des sculptures placées sous les quatre bénitiers intérieurs aux entrées de l'église) et qui à fait quoi ? --Mimiche14 (discuter) 6 avril 2019 à 09:52 (CEST)[répondre]

Michel Dorbeau apporte cette réponse spontanée par mail : « Mlle Poisson, artiste à ses heures, ainsi que le chirurgien le Dr Lecoq ont sculpté les deux bénitiers représentant les péchés capitaux l'envie et la colère ».--Mimiche14 (discuter) 6 avril 2019 à 10:01 (CEST)[répondre]

Selon Élie Chamard, dans son ouvrage, 20 siècles d'histoire de Cholet, 1970, page 309 : « Les statues de la Vierge, de Saint-Maurice et Noël Pinot sont modelées par Charles Maillard et réalisées par Dupré ».--Mimiche14 (discuter) 10 mai 2019 à 21:08 (CEST)[répondre]

La pertinence nous impose donc de remonter les sources, en revenant à celle écrite dès 1938, de la main-même de Maurice Laurentin l'architecte[1].

Maurice Laurentin, architecte du Sacré-Cœur de Cholet, sur trois bulletins de la Société des Sciences Lettres et Arts de Cholet (1938, 1939 et 1941), apporte quelques précisions de la part active du sculpteur Fernand Dupré en ces termes :

  • en 1939 : « Il est une malice traditionnelle chez les tailleurs de Pierre qui fustigèrent toujours en souriant les ridicules et les défauts de leur temps. La verve du sculpteur F. Dupré est bien du même esprit lorsqu'il taille dans le vergélé ses amusantes gargouilles. Ceux qui aiment à se promener sur les toits pourront aller voir pourquoi l'oiseau qui est coiffé du bonnet de la liberté a les ailes si soigneusement ficelées » ;
  • en 1941 : « L'autel de la Sainte Vierge est taillé dans la pierre blanche de Poitiers. Deux colonnes entourées de lys portent la table d'autel. Le sculpteur Dupré a composé avec des branches de lys une décoration harmonieuse, digne d'être comparée à celle qu'il a si bien réussie avec des gerbes de blé pour l'autel du Saint-Sacrement ».--Mimiche14 (discuter) 26 juin 2019 à 13:28 (CEST)[répondre]
  1. Maurice Laurentin, « L'église du Sacré-Coeur de Cholet », Bulletin SLA n°38 - page 123-151, R.Freulon,‎

Concernant le plâtre initial du monument de l'église St Médard à Thouars[modifier le code]

Sur une page du site de la Société d'histoire, d'archéologie, des arts du pays thouarsais (SHAAPT) pour à priori Charles Pierre Maillard, on donne au sculpteur, Alexandre comme prénom (erreur présumée) :« Au cours d’une cérémonie du souvenir, sera officiellement présenté après sa restauration le plâtre original du sculpteur Alexandre Maillard qui a servi à la réalisation du monument aux morts de l’église Saint-Médard. Cette réhabilitation a été rendue possible grâce aux actions de mécénat de la SHAAPT et à l’aide de la Fondation Crédit Agricole »[1].--Mimiche14 (discuter) 7 février 2019 à 10:59 (CET)[répondre]

Autres œuvres : références à trouver[modifier le code]

Noté sur plusieurs pièces d'archives familiales conservées par la famille de son unique petit neveu, Jacques Legal, on relève avec l'accord d'Agnès Legal-Belhomme, sa veuve, d'autres œuvres citées, dont :

  • le monument aux morts 1914-1918 à Thouars ;
  • des statues : Sainte Jeanne d'Arc et la création d'une grande Vierge pour l'église du Sacré-Coeur de Cholet ;
  • la Vierge qui domine la chapelle de l'Institution Sainte-Marie de Cholet ;
  • la statue monumentale qui domine la façade de la basilique Saint Louis-Marie Grignion de Montfort, à Saint-Laurent-sur-Sèvre ;
  • les bustes des sénateurs Manceau, Portmann et de Selves (1941) ;
  • médaillons de Mgr Grellier et du chanoine Jean-Baptiste Dubillot.

Une note manuscrite de Louis Emmanuel Gaillard du , apporte un avis de l'archiviste à la Société des sciences, lettres et arts de Cholet (SLA) : « comme beaucoup de grands sculpteurs il travaillait en atelier, y faisait les matrices et sur place ce sont des artisans sculpteurs qui réalisaient (à Cholet à cette époque, M. Fernand Dupré) ».--Mimiche14 (discuter) 28 février 2019 à 10:11 (CET)[répondre]

Citées dans l'article d'Henry Coutant sur l'Ouest-Éclair, Cholet, du [modifier le code]

En plus des monuments de pierre et de bronze, déjà répertoriés — dont ceux de Châteaudun, Angers, Cholet, Baugé, Feneu, Thouars, Condé-sur-Huisne, etc. — ceux d'un caractère de vérité à la fois traditionnelle et personnelle consacré, comme :

  • à la grande mémoire du cardinal Luçon ;
  • les bustes de Manceau et Portmann (réf : Ouest-Eclair du 11 janvier 1941).
  • les statues exécutées pour l'église du Sacré-Coeur de Cholet, notamment présentées dans l'article : Jeanne d'Arc, la grande Vierge, d'une hauteur de 4 mètres.

Comme statuettes dites plus aimables et gracieuses :

  • la liseuse (photo présente dans l'article) ;
  • joueur de tennis ;
  • joueur de football ;
  • lion perché sur une crête regardant avec effarement une automobile passer en trombe (maquette d'une coupe pour une course automobile au Maroc), présenté comme étant d'un comique de grande classe --Mimiche14 (discuter) 6 mars 2019 à 18:51 (CET)[répondre]

Buste de Gustave Fouillaron[modifier le code]

Par mail du , Monsieur Christophe Rousseau, responsable de la Chambre de commerce et d'industrie (CCI), que nous remercions chaleureusement, confirme la présence du buste de Gustave Fouillaron, dans les locaux, rue Nationale à Cholet. Il nous invite à passer prendre le buste en photo et en date du , nous signe une attestation nous autorisant la publication pour illustration d'articles biographiques.--Mimiche14 (discuter) 6 mars 2019 à 10:23 (CET)[répondre]

Œuvres de Charles Maillard au musée d'art et d'histoire de Cholet[modifier le code]

Remerciements à Mme Françoise Pineau, régie des œuvres au musée de Cholet, de nous avoir transmis par mail, en date du , une copie d'un extrait d'inventaire répertoriant les œuvres de Charles Maillard, ici conservées.--Mimiche14 (discuter) 6 mars 2019 à 10:56 (CET)[répondre]

Œuvres citées par Charles Maillard en 1944[modifier le code]

Dans sa lettre de candidature au poste vacant de directeur des Beaux-Arts d'Angers, datée du , Charles Maillard conclut : « Parmi les travaux que j'ai exécuté dans la région, je puis me prévaloir des monuments suivants : monuments de guerre 1914-1918 du Lycée d'Angers, des villes de Cholet, Baugé, Châteaudun, Thouars et par ailleurs des monuments du ministre de la guerre Maurice Berteaux et du tragédien Talma. Édition par la manufacture nationale de Sèvres ».

Source : archives patrimoniales, hôtel de Ville d'Angers - remerciement à Sylvain Bertoldi directeur et au concours de Françoise Ballain-Rivaldi.

Portraits rapprochés de Charles Maillard[modifier le code]

Le portait de gauche, dessiné par B.H est extrait de l'hebdomadaire Ouest-Eclair de Cholet, publié le 8 avril 1941. Le rare portrait réel et unique connu à ce jour de Charles Maillard, à droite, est extrait et issu d'une photo-archive familiale Maillard-Legal, de la descendance contemporaine, avec attestation d'autorisation de publication du 27 février 2019, signée de l'ayant-droit.--Mimiche14 (discuter) 11 mai 2019 à 17:56 (CEST)[répondre]

Portrait réel proposé sur Commons[modifier le code]

fichier:Charles Maillard (1876-1973).jpg

Déclaration de consentement de l'ayant droit du 27 octobre 2019 pour le fichier:Charles Maillard (1876-1973).jpg--Mimiche14 (discuter) 2 novembre 2019 à 19:28 (CET)[répondre]
Ce consentement est celui de la descendance contemporaine du frère de Charles Maillard (Emile), qui détient les archives familiales (ayant-droit). Archives familiales pour lesquelles nous avons reçu une autorisation de copie et de publication [Ticket#2019053010003137]--Mimiche14 (discuter) 20 décembre 2019 à 17:56 (CET)[répondre]
Dernier mail du 26 décembre 2019 au sujet du [Ticket#2019121510002671]--Mimiche14 (discuter) 26 décembre 2019 à 14:29 (CET)[répondre]

Le monument du ministre de la guerre Maurice Berteaux à Chatou, inauguré en 1922[modifier le code]

Dominique Perchet, crée l'ambiguïté sur e-monumen.net, attribuant cette oeuvre, sans objectiver et donc à priori à tort, à Auguste Maillard !

En opposition formelle : l'archive de la base Léonore (notre première référence), ainsi que l'extrait de l'article d'Henry Coutant, Ouest-Eclair du (notre seconde référence) : « Le monument - bronze et pierre - érigé à Chatou, de l'ancien ministre de la Guerre Berteaux », valident que le sculpteur de cette oeuvre est bien Charles Maillard--Mimiche14 (discuter) 14 mai 2020 à 15:48 (CEST)[répondre]

Le site e-monumen.net est un blog peu fiable (voir [1]) créé par WEB42.FR (agence web ecommerce de Saint-Étienne) et développé par le "réseau international de la fonte d'art" qui ne cite pas ses sources donc sans garantie (une erreur est toujours possible). La "Base Léonore" est le site officiel du Ministère de la Culture, consultable et vérifiable. À priori cette référence me semble plus valable. Cdt --Gillesmourey (discuter) 15 mai 2020 à 13:10 (CEST)[répondre]

Autorisation générale pour les oeuvres de Charles Maillard[modifier le code]

A priori toutes oeuvres de Charles Maillard ont été libérées et autorisées à la publication de ses héritiers par e-mail d'autorisation confirmée : https://commons.wikimedia.org/wiki/Category_talk:Charles_Maillard--Mimiche14 (discuter) 27 juillet 2020 à 10:44 (CEST)[répondre]