Discussion:Attentat de l'Observatoire

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POURQUOI DIRE QUE C EST UN FAUX ATTENTAT ? Réponse: le fait que la justice ait prononcé un non lieu pour Pesquet et Dahuron en ce qui concerne le délit de tentative d’assassinat. La justice française reconnait donc qu'il n'y a pas eu de vrai attentat, mais un simulacre, ce que Mitterrand a reconnu lui-même devant le juge. NB: c'est une page de discussion, vous ne devriez pas effacer ma réponse comme vous l'avez fait aujourd'hui mais y répondre. Au fait, écrire en majuscules, c'est crier, c'est impoli.

Neutralité de l'article ?[modifier le code]

Il est écrit ceci :

«Une semaine plus tard, le 21 octobre, le journal Rivarol publie un témoignage de Robert Pesquet, ancien résistant, ancien député gaulliste, proche de l'extrême droite, qui annonce - preuves à l'appui, et notamment des courriers postés avant l'attentat - qu'il est l'auteur de ce faux attentat, et qu'il a été commandité par François Mitterrand en personne, dans le but de regagner les faveurs de l'opinion publique.»

«Preuve à l'appui», est-ce si sûr ? Il est facile en une semaine de fabriquer deux ou trois courriers antidatés. La justice ne semble pas avoir tenu compte de ces «preuves»... On a peut être raté un attentat et essayé de le rattraper en plongeant Mitterrand dans une histoire à dormir debout... Un exécutant qui revendique d'avoir fait un attentat ? c'est quand même bigrement bizarre quand on voit que le seul but de sa révélation est de dénoncer Mitterrand qu'il vient de rater et qui en tire bénéfice... N'aurait-on pas essaye de corriger les conséquences inattendues d'un véritable échec ? Non vraiment cette affaire n'est pas claire pour moi et cet article ne me semble pas neutre. --Mutima 26 juillet 2005 à 19:18 (CEST)[répondre]

Ces remarques prouvent surtout votre totale et parfaite méconnaissance de l'affaire, et indirectement le besoin d'un plus grand développement. Cependant, les liens externes sont très bien fait (notamment celui d'Alsapresse), je ne sais pas si on peut faire aussi bien sans transformer l'article en annexe judiciaire.
Les courriers ont été récupérer sous contrôle d'huissier de justice, ils étaient clairement daté d'avant l'affaire et ce n'est pas contesté. Bien entendu, il est clair que Pesquet avait la possibilité de ne pas récupérer ces courriers, et donc de récupérer selon le cas une version ou une autre. Pesquet pouvait donc, en théorie, tirer sur Mitterrand et, selon le résultat, rester dans l'ombre ou se dénoncer pour couler au moins la réputation de Mitterrand. Ces idées, n'aller pas croire que vous êtes le premier à les avoir (ni le dernier), ni que les avocats de Mitterrand, la police et la justice ne les ont pas eu. Mais dès qu'on réflechit un peu et qu'on examine les éléments du dossier, elle tombe à l'eau. Songez un peu : vous vous croyez suivi par des tueurs, vous êtes en plein Paris en voiture à une minute du sénat (et vous êtes sénateur), à deux minutes du siège de la police (et vous êtes ancien garde des sceaux), et et vous allez vous arrêter pour vous cacher derrière un buisson ? Vous êtes un tueur, et vous allez mitrailler au hasard une voiture sans y voir votre cible ? Mitterrand et Pesquet se sont rencontré plusieurs fois dans les jours précédents l'affaire. A l'initiative de qui ? D'un futur tueur, qui tient à rencontrer sa victime, en public et en présence de témoins (super discret...) ? De la victime, qui par un hasard pour le moins extraordinaire entre en relations avec celui qui, par ailleurs, a été désigné pour le tuer (et qui maintien alors ce projet, malgré les dangers nouveaux) ? Etc. Autre variante mitterrandienne (mais qui suppose déjà que Mitterrand est au courant de l'affaire) : un tueur pressenti préfère vous lâcher le morceau, et tout ce que vous trouvez à faire, c'est de rentrer dans le scénario du tueur en étant présent vous-même sur les lieux ? sans laisser des traces, ou faire appel à la police, ou a des "amis" capable d'intervenir ? Et, le coup fait, vous mentez délibéremment à la justice et à la police, sans trouvez d'autre moyens de protéger votre source, sans les orienter vers les bonnes pistes ? Tout cela ne tient pas debout. En face, vous avez une version simple et crédible, appuyé par des éléments factuels : Mitterrand demande un faux attentat, Pesquet flaire la bonne aubaine et vend l'information à ses copains d'extrême-droite pour faire d'une pierre deux coups ; peut-être qu'il(s) pense(nt) à transformer ça en vrai attentat, mais c'est inutile (Mitterrand n'est plus rien) et trop risqué (Mitterrand pouvant, lui aussi, dénoncer Pesquet, même de façon posthume au moyen d'un procédé similaire à celui de Pesquet). Ou, autre variante possible, Pesquet saisi l'occasion d'une rencontre avec Mitterrand et réussi à manipuler tout le monde, en se couvrant comme il peut, mais, comme dit plus haut, ça suppose que Mitterrand était au courrant ; risqué, mais également possible. Maintenant, difficile de vous obliger à croire à ce qui s'explique bien plutôt qu'à une version confuse... gem 27 juillet 2005 à 12:00 (CEST)[répondre]
Très bien, mais il va falloir me convaincre que Mitterrand ait commandité son faux attentat par courrier !--Mutima 27 juillet 2005 à 12:21 (CEST)[répondre]

Hum, c'est pas du tout ça. Pesquet n'a jamais prouvé que Mitterrand l'avais embauché (et effectivement on imagine mal Mitterrand ecrire quoi que ce soit s'il est le commanditaire). C'est Pesquet qui s'est écrit à lui-même, en s'envoyant une description par lui-même des lieux, circonstances etc. de ses rencontres avec Mitterrand, et des propos échangés. J'insiste : par Pesquet lui-même. La seule chose que ça prouvait c'est que

  1. ce que Pesquet racontait, il ne l'avais pas inventé après le (faux) attentat, c'est-à-dire qu'il en était bien l'auteur (et non un quelconque mythomane) et qu'il n'adaptait pas son discours aux circonstances postérieures à l'affaire.
  2. Mitterrand avait rencontré Pesquet à plusieurs reprises

Par ailleurs, Pesquet se mettait en scène comme simple comparse, et implicitement il disait "voyez, un comparse ça laisse des traces de sa bonne foi, le commanditaire au contraire n'en laisse aucune : voici mes traces, Mitterrand n'a laisser aucune trace, donc... " Après, sur le contenu des conversations c'est parole contre parole... Mitterand a d'abord négligé de signaler ses rencontres avec Pesquet, puis il a affirmé qu'ils n'en avait pas parlé, puis il a admis que cela faisait parti de leur conversation, mais à l'initiative de Pesquet. Pesquet a lui toujours affirmé qu'ils en avaient parlé, par contre il a varié sur l'initiateur... La conclusion judiciaire (Mitterrand ayant, dans sa dernier version, reconnu qu'ils en avaient parlé), c'est qu'il en ont parlé suffisamment pour que l'affaire ne soit pas un attentat, mais une opération concerté entre eux deux, non susceptible de poursuite, et pour le reste (qui a commencé) la justice s'en est lavé les mains. gem 27 juillet 2005 à 15:52 (CEST)[répondre]

C'est Pesquet qui s'est écrit à lui-même mais on est en plein roman ! Qu'est-ce qu'il y a de crédible la dedans ?--Mutima 27 juillet 2005 à 17:55 (CEST)[répondre]
Et oui, la réalité dépasse souvent la fiction. Ca t'étonnes ? Tu ne trouve pas ça "crédible" ? Et bien moi, au départ je ne croyait pas possible de croire que les services français qui ont coulé le rainbow warrior avaient été assez neu-neu pour se faire gauler, mais bon, devant l'évidence...


J'ai lu d'innombrabres ouvrages traitant de mittérrand et l'affaire de l'observatoire(celui de philippe aléxandre, giesbert, éric duhamel, garrigues, lacouture, colombani, .....Tous et certains sont plutôt antimittérrandistes reconnaissent que françois mittérrand à été une victime dans cette affaire là et qu'il n'a commis d'autre péché que celui de la naîveté.......Or il ne faut pas oublier que mittérrand(avait été faussement accusé d'avoir trahi et livré des docs secrets défenses au pcf et que cette accusation venait de la police de baylot et de dides....).....Ce qui explique la méfiance de mittérrand celui si qui revevait déja des menaces c'était vu refuser une gilet pare balle, il y'avait aussi la fameuse interviw de nerwitch sur "les commandos de tueurs" en octobre 59(georgette elgey historienne plutôt gaulliste qui avait fait cette interview à expliqué par la suite qu'il y'a vait un climat propice à ce que mittérrand tombe dans le panneau)......Puis il y'a le témoignage de bourgès maunaury, il y'a les manips de tixier vignancourt et de debré chacun dans des genres différents.....Il ne faut pas oublier que pesquet élu sénateur d'abord gaulliste puis poujadiste faisait le lien entre les poujadistes et les gaullistes........

Cette affaire(j'en suis sur à 90%) est un montage contre mittérrand(dernierement sur france 3 il y'a eu un petit documentaire qui disculpe mittérrand) celui ci n'a rien à se reprocher sinon "le peéché chrétien de charité et de naîveté" version françois mauriac......Je crois que cette affaire illustra cependant les dérives et la parano de mittérrand plus tard dans les années 83 86 quand mittérrand au nom de sa sécurité et celle de mazarine ne faisant pas ou peu confiance au service de police officele créera une céllule élysée qui s'illustrera dans beaucoup d'écoutes téléphoniques pas toujours légales.....


Mais pour ce qui concerne l'affaire de l'observatoire que les adveraires de mittérrand ne soit pas injuste son péché véniel(de ne pas avoir dit à la police ses rencontres avec pesquet car celui ci lui avait fait promettre qu'il risquait sa vie) ne sont pas grave et il les as largement payé par 3 ans de purgatoire et une inculpation alors que ceux qui ont manipulé cette affaire tixier vignancourt(version 65 de pesquet?) ou debré(version 75 OU 95????) ou encore le seul pesquet(version 2002) eux ne l'ont guère payés.......Je crois que sur cette affaire mittérrand n'a pas grand chose a se reprocher....


J'ai supprimé le dernier rajout de Lucrèce. Le fait que l'on ne considère plus guère aujourd'hui que Mitterand fomenta lui-même le faux-attentat ne signifie pas automatiquement que l'on chercha à nuire à sa carrière. Dans une des versions de Pesquet, il s'agissait seulement de provoquer un elecro-choc à propos de la guerre d'Algérie, Mitterand n'étant qu'un pion qu'il aurait utilisé. Mandagot

Il vaut bien mieux se servir des sources autre que Pesquet, protagoniste qui écrit "sa" version de l'histoire. Non qu'elle soit inintéressante, mais j'aurais tendance à dire que quant une personne nous fait une autobiographie, il y a peu de chances que tout soit vrai. Donc il vaut mieux se concentrer sur les autres livres, et n'utiliser Pesquet que pour préciser son point de vue particulier.--SammyDay (discuter) 25 octobre 2013 à 11:23 (CEST)[répondre]

Phrase étrange[modifier le code]

La phrase "Plus aucun auteur (...) ne croit (...)" me semble étange. Il y a des auteurs non cités (dont je n'ai plus le nom en tête), qui y croient pourtant. Ne pourrait-on pas la reformuler? Werewindle 16:17, 10 novembre 2005 (CET)

Autant pour moi, c'est une IP qui avait ajouté cette phrase à contre-sens de tout l'article. J'ai réverté. Werewindle 16:19, 10 novembre 2005 (CET)

Bibliographie[modifier le code]

Il faudrait peut-être se mettre à jour ! Qu'il s'agisse de Jean Lacouture, le biographe de référence à ce jour (Mitterrand, une histoire de Français, éd. du Seuil, tome 1, 1998), de Franz-Olivier Giesbert, très peu suspect de complaisance à l'égard de F. Mitterrand (François Mitterrand, une vie, éd. du Seuil, 1996), de Jean-Marie Colombani, directeur du Monde (son article dans le quotidien vespéral après la mort du président) de Jean Garrigues, professeur à l'université d'Orléans (Les Scandales de la République, éd. Robert Laffont, 2004), aucun auteur un tant soit peu sérieux ne croit à une participation de F. Mitterrand ! Cette thèse farfelue reposait uniquement sur le témoignage de R. Pesquet, qui s'est rétracté depuis belle lurette. Lucrèce 12 décembre 2005 à 16:08 (CET)

Robert Pesquet ne s'est jamais retracté contrairement à ce que vous dites, il a toujours dit avoir organisé l'attentat avec la complicité de François Mitterrand. Et il a apporté des preuves: lettre recommandée, envoyée avant l'attentat, ouverte devant huissier, décrivant l'attentat, avec le trajet de Mitterrand); témoignages de ses rencontres avec Mitterrand avant l'attentat. Mitterrand a été condamné pour outrage à magistrat pour avoir menti au juge.
Vous vous basez sur le livre de Pesquet de 95, l'article se base sur l'émission de France 3 de 2012, plus à jour. Donc vos éléments sont peut-être caduques ?--SammyDay (discuter) 23 octobre 2013 à 16:23 (CEST)[répondre]
Non, le seul témoignage de Pesquet, c'est son livre, en 2012 il était mort depuis longtemps et ne pouvait apporter de nouveaux éléments.
Avez-vous regardé la source en question ?--SammyDay (discuter) 24 octobre 2013 à 14:21 (CEST)[répondre]
J'ai épluché tous ce qu'à dit Pesquet, et je n'ai jamais vu qu'il disculpait Mitterrand. Montrez-moi où il disculpe Mitterrand s'il vous plait.
Avez-vous regardé la source qui se trouve dans l'article : "Mitterrand contre De Gaulle, France 3, 21/11/2012, de Joël Calmettes et Jacques Dubuisson. Réalisé par Joël Calmettes. Chiloé Productions, avec la participation de France 3" ?--SammyDay (discuter) 24 octobre 2013 à 15:07 (CEST)[répondre]
Il n'y a que le résumé, qui ne parle pas de l'attentat de l'Observatoire. D'après les sources de seconde main que j'ai pu lire, ce que dit Pesquet (il explique la meme chose avec beaucoup plus de details dans son livre), c'est que c'est lui qui a pris l'initiative de piéger Mitterrand, pas l'inverse. Mais ça on l'avait bien compris, le coup des lettres recommandees qu'il s'envoie était assez parlant. Il ne dit pas que Mitterrand est innocent, ce dernier a quand meme joué la commédie et menti à toute la France, et au juge, pour en tirer un bénéfice politique.
Donc il faudrait que l'on ait confirmation, avant que vous ne supprimiez toutes les informations qui sont sourcées avec cette référence. Votre intime conviction ne peut pas être suffisante pour remettre en cause ceci. Rien ne vous empêche par contre de présenter ce que Pesquet présente dans son livre, mais évitez d'effacer ce qui est sourcé par l'émission : vous ne savez pas que ces informations sont inexactes. Séparez donc bien vos interventions de ce qui existe déjà dans l'article (pour commencer, vous devriez rétablir ce que vous avez effacé, sans pour autant supprimer vos ajouts sourcés).--SammyDay (discuter) 24 octobre 2013 à 15:53 (CEST)[répondre]
Recherche faite, le document est visible ici : [1].--SammyDay (discuter) 24 octobre 2013 à 15:54 (CEST)[répondre]
C'est juste la bande annonce de l'émission.
En streaming ici.--SammyDay (discuter) 24 octobre 2013 à 16:01 (CEST)[répondre]
Je ne le trouve pas sur les sites qu'ils donnent. Vous avez plus de succes? Est-ce qu'un des contributeurs a vu le temoignage de Pesquet?
Surement celui qui nous a ajouté cette référence (a priori, une IP qui venait de voir le documentaire [2]). J'essaierai de mon coté de trouver le doc et de regarder.--SammyDay (discuter) 24 octobre 2013 à 16:46 (CEST)[répondre]
Ça serait interressant de savoir exactement ce qu'il a dit lors de cet entretien. Je ne pense pas que les sources de seconde main de gens pas tout à fait neutres devraient prendre une si grande place dans l'article. Clore l'affaire en disant que Pesquet a tout manigancé tout seul, ça arrange tout le monde, on oublie les gros mensonges de Mitterrand et l'implication des gaullistes. Mais ça n'est pas crédible que Pesquet ait décidé un beau matin de monter cette affaire tout seul. La thèse qu'il développe dans son livre de 1995 (écrit en Suisse, à l'abri des pressions) est au moins crédible: il s'agit d'une manipulation qu'il a montée conmtre Mitterand à la demande de Michel Debré (ce dernier avait aidé Pesquet a se faire élire député Gaulliste). Mitterrand est tombé dans le paneau, tout content de pouvoir se faire de la publicité, et il a activement participé à l'organisation de l'attentat.
Le fait qu'elle soit crédible ne doit pas nous empêcher de noter les autres interprétations de cette histoire, à l'aune de leur reconnaissance.--SammyDay (discuter) 25 octobre 2013 à 17:06 (CEST)[répondre]
Oui, sauf que version et interprétation ne sont pas la meme chose. D'un côté il y a le témoignage de Pesquet, qu'on peut consulter dans son livre, et de l'autre l'avis de journalistes comme FOG. J'ai écouté l'émission de Michel Field conscrée à l'affaire, on y affirme contre toute logique que Pesquet a agi seul, mais sans citer de source précise, ça c'est une interprétgation.
Possible, mais cette interprétation, nous pouvons nous la sourcer. Donc nous devrions (sauf si elle est décriée par les historiens ou autres spécialistes du sujet) : c'est une émission qui présente une version de l'affaire. Pesquet n'est pas spécialiste du sujet, il est une partie du sujet. Alors oui pour l'utilisation de son ouvrage, mais avec des pincettes.--SammyDay (discuter) 25 octobre 2013 à 18:39 (CEST)[répondre]
Sauf que la source en question, personne ici ne l'a vue. Il faudrait d'abord avoir ce fameux témoignage de Pesquet, existe-t-il vraiment?
Le reportage existe en tout cas, je l'obtiendrais sous peu. Je vous tiens informé.--SammyDay (discuter) 27 octobre 2013 à 22:31 (CET)[répondre]
Si personne n'est capable de trouver cette source, il faut la supprimer.
Je l'ai trouvée, simplement pour l'instant je n'ai pas eu le temps de la visionner.--SammyDay (discuter) 8 novembre 2013 à 15:43 (CET)[répondre]
Pas de nouvelle?
Toujours pas le temps. Mais si moi j'ai trouvé ce reportage, c'est que d'autres peuvent le faire, et s'ils sont plus impatients que moi, ils ont largement le droit de me griller la politesse Émoticône sourire.--SammyDay (discuter) 22 novembre 2013 à 14:41 (CET)[répondre]
Moi j'ai le livre de Pesquet, mais je n'ai pas trouvé le reportage, pouvez-vous donner le lien s'il vous plait?
Si personne n'est capable de trouver ce reportage, il ne fait plus y faire référence. J'attends quelques jours et je modifie l'article en ce sens.

Un peu de temps IRL. Le reportage présente "la vérité" : Pesquet est "un mythomane affabulateur", ayant agi "tout seul, pour faire parler de lui", sans que Miterrand ne soit au courant, tandis que Pesquet aurait toujours affirmé que Mitterrand avait commandité l'attentat pour se faire de la publicité. Le reportage précise également que Mitterrand croira jusqu'à la fin de sa vie qu'il a été victime d'un complot de l'extrême-droite ou des gaullistes. J'en ai profité pour faire un peu de nettoyage (redites notamment), et un peu de mise en page. S'il y a d'autres points litigieux, continuons à discuter.--SammyDay (discuter) 9 décembre 2013 à 22:02 (CET)[répondre]

Si ce fameux repportage dit celà, alors c'est n'importe quoi. Même les partisans de Mitterand ont toujours accepté le fait que Miterrand était au courant de l'attentat avant qu'il se comette, puisque Pesquet avait pris la précaution de décrire le comportement de Mitterrand dans les lettres qu'il s'est envoyées. Et il a des témoins ayant vu leurs rencontres dans des lieux publics. Le débat est: est-ce que Mitterrand s'est prêté à cette mascarade de peur de se faire tuer s'ils ne le faisait pas, ou bien pour en tirer un bénéfice politique? Ou bien les deux à la fois?
Et j'ai annulé vos modifications, votre théorie se base sur un repportage que personne n'a vu. Il faut des sources, vous n'en présentez aucune.
Si, je présente le reportage (que j'ai vu). Le fait que vous ne l'ayez pas vu ne signifie pas pour autant qu'il n'existe pas. De plus, vous n'avez pas d'argumentation claire pour refuser ces modifications (en dehors du fait que vous ne connaissez pas la source que j'utilise), donc votre annulation est quelque peu subjective. Si vous avez clairement des points sur lesquels vous n'êtes pas d'accord, pourriez-vous les préciser ? Sinon je rétablirais mes modifications (qui ne concernent d'ailleurs pas que le reportage susdit, mais également la forme de l'article, qui présente bien trop le point de vue de Pesquet.--SammyDay (discuter) 10 décembre 2013 à 17:36 (CET)[répondre]
Il est où le repportage? Montrez-moi l'interview où Pesquet dit avoir tout fait tout seul. Et même si vous me le montrez, notez que dans son livre (que je peux vous scanner, ou que vous pouvez trouver facilement sur internet), Pesquet explique que à cours d'argent durant son exil, il a accepté une proposition de deux avocats agissant pour le compte de Mitterrand (Isorni et Dumas) de signer une lettre exonérant Mitterrand de toute responsabilité contre de l'argent. N'est-ce pas clair? De plus, l'implication de Mitterrand a été prouvée, par ses lettre recommandées et les témoignages, ceci a été reconnu par le juge, qui a ordonné un non lieu pour la tentative d'assassinat.
Alors déjà, le reportage, il est passé à la télévision. Ne vous attendez tout de même pas à ce que je vous l'envoie en pièce jointe, ce n'est pas mon travail Émoticône sourire. Si vous souhaitez le voir vous-même, vous pouvez à mon avis le trouver à l'INA de manière légale (mais aussi le télécharger sur le net, de manière illégale). D'autre part, je n'ai pas écrit que Pesquet affirme avoir agi seul, mais que le reportage le disait.
Que Pesquet affirme de nombreuses choses dans son livre, nul ne le nie. Mais ce n'est que la version de Pesquet, il ne sert à rien de la présenter comme la seule vérité (surtout compte tenu des différentes versions que Pesquet a présenté). Nous nous bornerons donc à donner la version de Pesquet, la version de Mitterrand, et les analyses des spécialistes qui se sont intéressés à cette histoire. Nous ne sommes pas censés trancher dans le vif, alors que la polémique reste ouverte sur de nombreux points (commanditaire, rôle exact de Pesquet ou de Mitterrand...).--SammyDay (discuter) 11 décembre 2013 à 12:58 (CET)[répondre]
Vous oubliez la version de la justice française qui a donné un non-lieu à Pesquet.
Elle n'a pas donné un non-lieu à Pesquet, elle a rejeté la plainte de Mitterrand (ce qui n'est pas tout à fait la même chose). C'est d'ailleurs bien ce qui est marqué dans l'article d'ailleurs.--SammyDay (discuter) 12 décembre 2013 à 11:31 (CET)[répondre]
Faux. Le 8 août 1966, le juge Sablayrolle a renvoyé Pesquet et Dahuron en correctionnelle pour le délit de port d’armes sans permis, mais leur a accordé un non-lieu en ce qui concerne le délit de tentative d’assassinat. Mitterrand fait appel de la décision de non-lieu en faveur de Pesquet. Le 28 novembre, la Chambre d’Accusation de Paris lui donne tort, et il est débouté et condamné aux frais et aux dépens. Il se pourvoit en Cassation... puis, discrètement, se désiste, et la Cour de Cassation prend acte de ce désistement, tout en le condamnant aux frais, là encore, le 30 mai 1967. Je suis donc fondé à dire que la justice française as reconnu que Pesquet n'a pas essayé de tuer François Mitterrand.
Très bien, mais si vous souhaitez l'introduire dans l'article, je vous conseille de trouver des sources indiquant cette conclusion. Pour le reste, je reviens sur votre annulation, et vous pouvez compléter et continuer à enrichir l'article avec d'autres sources que celles que j'ai inséré.--SammyDay (discuter) 16 décembre 2013 à 15:59 (CET)[répondre]
J'ai enlevé ce genre de phrase qui n'a pas sa place ici: Mitterrand, quant à lui, persistera à se croire victime d'un complot mené par l'extrême-droite ou les gaullistes. Personne ne sait ce qu'il pensait.
C'était une citation du reportage, donc tout aussi à sa place que la critique de la personnalité de Pesquet... Mais je relativise, c'est ce que Miterrand dit, donc c'est ce que certains rapportent sur lui. Est-ce mieux ainsi ?--SammyDay (discuter) 17 décembre 2013 à 13:06 (CET)[répondre]

Analyses rapportées[modifier le code]

Salut Lucrèce,

Je modifie quelque peu ton paragraphe, car les analyses de tout événement doivent être des analyses rapportées et publiées. Par exemple tu écris :

"Il faut aussi souligner que le sénateur de la Nièvre n'avait plus aucune confiance dans les services de police depuis le retour des gaullistes au pouvoir, comme l'a indiqué Constantin Melnik, conseiller de Michel Debré chargé des services secrets entre 1959 et 1962. Cette méfiance n'était pas dénuée de fondement."

Il faut toujours préciser dans un article Wikipédia qui fait telle ou telle analyse. Donc cette analyse doit être sourcées. Une rédaction neutre deviendrait ainsi :

"De nombreux analystes, comme le journaliste M. Truc dans le journal Machin, ont indiqué que le sénateur de la Nièvre n'avait plus aucune confiance dans les services de police depuis le retour des gaullistes au pouvoir, comme l'a indiqué Constantin Melnik, conseiller de Michel Debré chargé des services secrets entre 1959 et 1962. Pour ce journaliste, cette méfiance n'était pas dénuée de fondement."

--Markov (discut.) 17 décembre 2005 à 12:21 (CET)[répondre]

Bien, j'ai clarifié ma phrase. Lucrèce 17 décembre 2005 à 14:15 (CET)
C'est toujours mieux, ainsi cela évite les futurs conflits avec d'autres contributeurs, c'est plus factuel.--Markov (discut.) 17 décembre 2005 à 14:59 (CET)[répondre]


Une petite remarque.L'article s'intitule "L'attentat de l'OBSERVATOIRE' un peu plus loin on apprend que Mitterrand avait gare sa voiture AVENUE de l'observatoire et enfin que Pesquet a organise la filature jusqu'a la RUE de l'observatoire....Est ce que c'est bien conforme ou est ce une etourderie..?

L'attentat de l'Observatoire est ainsi appelé parce que François Mitterrand est allé dans les jardins de l'Observatoire. Quant à savoir si la rue et l'avenue sont deux artères différentes, ma mémoire est trop fatiguée ces temps-ci pour répondre.

témoignage de Jean Marie le Pen[modifier le code]

On doit pouvoir retrouver la trace et le lien vers un témoignage télévisé en noir et blanc de JLMP (à l'INA) déclarant hilare devant la caméra que c'est des gars à lui qui ont fait le coup et que Mitterrand les connait très bien, comme je ne cite que de mémoire c'est très imprécis et probablement en partie inexact, cette séquence à été montée dans un autre reportage plus tardif concernant l'affaire et passé à la télé, JLMP était sur les bancs de l'assemblée comme jeune député Poujadiste, avec le bandeau sur l'oeil--80.9.167.114 (discuter) 9 janvier 2016 à 12:31 (CET)[répondre]

Titre de l'article[modifier le code]

Bonjour, ce sujet a peut-être déjà été évoqué. Je m'interroge sur la pertinence de ce titre. S'agissant d'un fait qui se résume à quelques balles tirées sur une voiture vide, ne conviendrait-il pas plutôt de titrer "L'affaire de l'Observatoire" ? Compte tenu de la sensibilité du sujet, il faudrait peut-être recueillir un consensus à ce sujet. Cordialement--PG35 (discuter) 9 janvier 2016 à 16:46 (CET)[répondre]

Selon le principe de moindre surprise, le terme "attentat"[3][4] semblant légèrement plus répandu que le terme "affaire"[5][6], cela ne paraît pas utile, d'autant que "l'affaire" est plus particulièrement utilisé pour qualifier la controverse politique et judiciaire qui suit l'attentat, alors que "l'attentat" comprend le fait et la controverse - donc définit au sens large les éléments. La redirection Affaire de l'Observatoire existe, donc pas de problème à mes yeux pour le titre actuel.--SammyDay (discuter) 9 janvier 2016 à 17:47 (CET)[répondre]

Cher Sammyday, je ne connais pas le principe de moindre surprise. Pour autant, je me permets de revenir sur le sujet : dans ce fait divers, la dimension politique ne l'emporte-t-elle pas, avec le recul, sur l'attentat qui n'est qu'une mise en scène ? Cordialement --PG35 (discuter) 9 janvier 2016 à 19:37 (CET)[répondre]

WP:Principe de moindre surprise. Pour résumer, il s'agit de nommer l'article tel qu'il est intitulé par les sources - sauf cas d'erreur évidente. Les sources ne semblent pas trancher entre les deux appellations, mais on constate une légère préférence pour l'actuelle.--SammyDay (discuter) 9 janvier 2016 à 19:42 (CET)[répondre]

Si l'arithmétique est favorable à l'attentat contre l'affaire, je n'insiste pas. Merci de cette réponse. Cordialement --PG35 (discuter) 9 janvier 2016 à 19:46 (CET) Cher SammyDay, je reviens sur ce sujet après près de cinq ans de réflexion. Cet attentat n'en étant pas un, ne pourrait-on pas renommer l'article en utilisant des guillemets : L' "attentat" de l'Observatoire ? Cette formulation ne serait-elle pas plus conforme à la réalité des faits ? Cordialement --PG35 (discuter) 16 novembre 2020 à 19:06 (CET)[répondre]

Ça n'est pas vraiment dans les usages de sous-entendre dès le titre une mise en cause de la réalité de la dénomination. En soit, des sujets complotistes ne sont pas mis entre guillemets non plus (Grand remplacement, Complot judéo-maçonnique, Nouvel ordre mondial (théorie du complot)...). On pourrait même mettre entre guillemets (théorie du "complot") tout élément douteux du titre d'un article. Mais je ne suis pas convaincu qu'il le faille. Après, si depuis 2016 les sources ont évolué pour mettre en avant plutôt le terme "affaire" que "attentat", il sera logique de passer sur l'autre titre. SammyDay (discuter) 17 novembre 2020 à 12:22 (CET)[répondre]

Je me rends à vos arguments. Non, pas de raison de remplacer attentat par affaire. Rendez-vous dans cinq ans ? Cordialement --PG35 (discuter) 17 novembre 2020 à 19:54 (CET)[répondre]

Qui sait ! Mais peut-être même avant, si on s'intéresse d'un seul coup à nouveau à cette vieille affaire... SammyDay (discuter) 17 novembre 2020 à 20:05 (CET)[répondre]

Attentat ou faux attentat ?[modifier le code]

Sans revenir sur le titre de l'article, je m'étonne que l'introduction ne parle pas d'un "faux attentat", formule qui me semble plus conforme à la réalité. Qu'en pensez-vous ? Cordialement --PG35 (discuter) 4 mars 2016 à 15:25 (CET)[répondre]

Peut-être que vous n'avez pas lu l'introduction jusqu'au bout : « Des années après, Pesquet répète avoir été le cerveau à l'origine de la divulgation du faux attentat à l'insu de Mitterrand, et qu'il s'agissait donc dès le départ d'une manipulation destinée à discréditer ce dernier ». --SammyDay (discuter) 8 mars 2016 à 19:46 (CET)[répondre]

Certes, cher Sammyday. Cependant cette introduction est claire : "L’attentat de l'Observatoire est un attentat mené contre François Mitterrand dans la nuit du 15 au 16 octobre 1959 à Paris." Claire et inexacte. Ce n'est pas le seul Pesquet qui affirme qu'il s'agit d'un coup monté. Personne ne le conteste et Mitterrand lui-même l'a admis rapidement (même s'il a été manoeuvré par Pesquet) et il n'y a plus la moindre controverse sur ce sujet. L'introduction me paraît donc devoir être revue. Cordialement.--PG35 (discuter) 9 mars 2016 à 21:54 (CET)[répondre]

Certes, mais tout dépend si on considère la version de Pesquet (enfin l'une d'entre elles) comme la seule plausible (faux attentat) ou si la version de Mitterrand - appuyant l'une des versions de Pesquet - (attentat manqué) est digne d'intérêt. Les sources n'ayant pas tranché, nous ne pouvons pas le faire pour elles.--SammyDay (discuter) 9 mars 2016 à 22:13 (CET)[répondre]

Vous me surprenez. Sans entrer dans une recherche de citations, la version communément admise est qu'il s'est bien agi d'un attentat simulé (et non manqué). Mitterrand s'est prêté au jeu sans dénoncer Pesquet pour protéger celui-ci de représailles de la part de ses commanditaires. Si une controverse subsiste entre "simulé" et "manqué" (ce que je conteste d'ailleurs), il convient de la présenter clairement comme telle. Cordialement. --PG35 (discuter) 9 mars 2016 à 22:31 (CET)[répondre]

C'est ce que l'on présente dans la section "Les différentes versions de Pesquet". Mais on pourrait se contenter du terme utilisé dans l'article : "attentat simulé". C'est peut-être encore plus précis que "faux attentat". SammyDay (discuter) 10 mars 2016 à 12:40 (CET)[répondre]

Attentat simulé me convient. Cordialement--PG35 (discuter) 10 mars 2016 à 21:37 (CET)[répondre]

Pesquet et l'exil...[modifier le code]

L'article ne manque pas de confusion (comme la discussion mais, il est vrai, comme l'affaire elle-même) ni de problèmes de structure, ainsi de la section "Les différentes versions de Pesquet", avec de grosses redondances. La phrase suivante est contradictoire : "Voulant mener l'affaire à son terme et refusant de quitter la France, Pesquet raconte avoir été victime de nombreuses mesures de rétorsion, qui l'obligèrent à passer des années en exil." Il refuse ou il s'exile ???

--Dgreusard (discuter) 15 mars 2017 à 10:36 (CET)[répondre]

A relier avec le paragraphe précédent : "Mais, dit-il, les gaullistes lui demandèrent de quitter la France." Donc il refuse dans un premier temps, et face aux mesures de rétorsion, il part en exil. Mais je suis d'accord sur le fond de ta remarque : cet article mériterait d'être relu et réécrit sur la forme (le mot "Voulant" est d'ailleurs presque répétitif). SammyDay (discuter) 15 mars 2017 à 11:34 (CET)[répondre]