Cinq méditations sur la mort autrement dit sur la vie
| Auteur | |
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| Genre |
Essai |
| Date de parution | |
| Pays | |
| Éditeur | |
| ISBN 13 |
978-2-226-25191-6 |
Cinq méditations sur la mort autrement dit sur la vie est un essai de François Cheng paru en .
Il a été couronné du Prix des écrivains croyants en 2014.
Résumé[modifier | modifier le code]
Dans cet ouvrage, François Cheng, poète, écrivain et calligraphe[1], s'exprime sur la vie à la lumière de la mort. Tout comme Cinq méditations sur la beauté (2006), ce livre est né à partir de conversations et de dialogues entre amis[2]. L'auteur nous propose au cours de sa première méditation d'inverser notre regard sur la mort. Celle-ci ne doit pas être dévisagée à partir de notre vie, mais il faudrait envisager la vie à partie de notre mort. L'auteur aborde ensuite tous les thèmes de la métaphysique, de la création du monde au problème du mal[3]), et évoque de nombreux sujets tels que l'unicité de la vie, l'existence humaine, le yin et le yang, le vide et le plein, le souffle, etc.
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Marie-Catherine d'Hausen, « Cinq méditations sur la mort, autrement dit sur la vie », Famille chrétienne, (lire en ligne, consulté le )
- Bertrand Dicale, « "Cinq méditations sur la mort, autrement dit sur la vie", de François Cheng », France Info, (lire en ligne, consulté le )
- Jean d'Ormesson, « François Cheng ou la vie ouverte par Jean d'Ormesson », Le Figaro, (lire en ligne, consulté le )
