Carlos Martínez Moreno
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| Nom de naissance | Carlos Martínez Moreno |
|---|---|
| Naissance |
Colonia,  Uruguay |
| Décès |
(à 68 ans) Mexico,  Mexique |
| Activité principale |
avocat et homme de lettres |
| Langue d’écriture | Espagnol |
|---|
Œuvres principales
El paredón (1968)
La otra mitad (1966)
El color que el infierno me escondiera (1981)
Carlos Martínez Moreno, né à Colonia del Sacramento le et mort à Mexico le , était un avocat, essayiste et écrivain uruguayen.
Biographie[modifier | modifier le code]
Né à Colonia del Sacramento, en Uruguay. En 1968, avec Carlos Real de Azúa et Carlos Maggi, il dirige le « Centre pour l'éditeur d'Amérique latine » de la collection Capítulo Oriental (Chapitre orientale), l'histoire de la littérature uruguayenne, composé de 38 versements. Il a écrit des fascicules El aura del novecientos y Carlos Reyles.
En 1977, il s'exile à Barcelone, Espagne.
Entre 1978 et 1986, il vit au Mexique. Il est mort dans ce pays quand il a décidé de revenir en Uruguay[1].
Œuvres[modifier | modifier le code]
Roman[modifier | modifier le code]
- El paredón, 1963.
- La otra mitad, 1966.
- Con las primeras luces, 1966.
- Coca, 1970.
- Tierra en la boca, 1974.
- El color que el infierno me escondiera, 1981.
Essai[modifier | modifier le code]
- Los días por vivir, 1960.
- Cordelia, 1961.
- Los aborígenes, 1964.
- Los prados de la conciencia, 1968
- De vida o muerte, 1971.
Notes et références[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Essai sur Carlos Martínez Moreno, par Hugo Fontana [PDF] (es)
