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Entretien d’André Breton accordé à Jacqueline Platier du journal Le Monde : « […] le surréalisme garde […] les trois grandes directions de son effort : accroître la poésie, la liberté, l’amour. […] L’automatisme est toujours à la base de l’activité poétique qu’il préconise. C’est par lui que se créent ces images révélatrices des trésors inconnus de l’esprit, où chaque individu exprime d’ailleurs « sa différence ». »[1]
Lotus de Païni, collage, dédicacée à sa fille Aube[2]
Main première, préface à l'ouvrage de Karel Kupka, Un art à l'état brut : « Aimer, d'abord. Il sera toujours temps, ensuite de s'interroger jusqu'à n'en vouloir plus rien ignorer. Avant comme après cette enquête, c'est la résonance intime qui compte : sans elle au départ on est presque irrémédiablement démuni et rien de ce qu'on aura pu apprendre n'y pourra suppléer si chemin faisant, elle est perdue. […] on n'y insistera jamais trop : il n'y a que le seuil émotionnel qui puisse donner accès à la voie royale : les chemins de la connaissance, autrement, n'y mènent jamais. »[3]