Aller au contenu

Valérie Devaux-Galli

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Page d’aide sur l’homonymie

Ne pas confondre avec Valérie Devaux, femme politique française

Cet article est une ébauche concernant une escrimeuse française.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Valérie Devaux
Image illustrative de l’article Valérie Devaux-Galli
Carrière sportive
Sport pratiqué escrime
Arme épée
Club Cercle d'escrime de Boulazac
Biographie
Nationalité Française
Naissance
Palmarès
Championnats du monde 0 2 0
Championnats de France 0 1 0
modifier 

Valérie Devaux-Galli, née le , est une escrimeuse française.

Biographie

[modifier | modifier le code]

Valérie Devaux-Galli est originaire du Havre mais réside à Boulazac Isle Manoire où elle enseigne l'escrime[1].

Elle rejoint l'équipe de France d'épée dames en 1987, à vingt ans, alors que la discipline vient tout juste de s'ouvrir aux femmes. Avec ses compatriotes, elle remporte deux titres de vice-championne du monde : d'abord en 1988 à Orléans avec Nathalie Devillers, Brigitte Benon et Sophie Moressée-Pichot, puis en 1991 à Budapest avec Marlène Hauterville, Brigitte Benon, Valérie Barlois et Florence Topin[2],[3]. S'ensuit une médaille de bronze par équipes à l'Universiade de Sheffield en 1991 aux côtés de Florence Hardouin, Dominique Pagnon, Sangita Tripathi et Valérie Barlois[4].

Le rêve de Devaux-Galli reste toutefois de participer aux Jeux olympiques. Si sa discipline, l'épée dames par équipes, n'est pas présente aux Jeux de Séoul 1988 et de Barcelone 1992, elle est introduite à l'occasion des olympiades d'Atlanta en 1996. Elle échoue toutefois à se qualifier[3]. Après une période d'incertitude, elle reprend sa carrière en 1997. En 2000, elle se classe deuxième aux championnats de France après une défaite face à Laura Flessel. Proche de se qualifier pour les Jeux de Sydney, elle se blesse (tendinite au coude) et n'est pas guérie à temps pour les qualifications[1].

A la suite de cette blessure, elle met fin à sa carrière de sportive professionnelle et se tourne vers l'enseignement[3] et la peinture[5]. Elle devient professeur d'éducation physique et sportive à Périgueux et pratique aussi la peinture[6].

Elle reste toutefois proche de l'escrime et de sa fédération. Entre autres, elle est sélectionneuse de l'équipe de France féminine juniore d'épée entre 2004 et 2012 et supervise une section sportive escrime dans l'établissement où elle travaulle[3]. Il lui arrive également de participer à des compétitions, comme les championnats de France senior N2 en 2010[7].

Palmarès

[modifier | modifier le code]
Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations contenues dans cette section proviennent de fencing.ophardt.online[2].
  • Épreuves de coupe du monde
    • Médaille d'argent, monde Stella-Line Cup indiv

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. ↑ a b et c Virginie Desmet, « « Une belle revanche » : l’ancienne championne d’escrime Valérie Galli portera la flamme olympique en Dordogne », Sud Ouest, (consulté le ).
  2. ↑ a et b « Valerie Galli Devaux », sur fencing.ophardt.online (consulté le ).
  3. ↑ a b c et d « Valérie Galli », sur olympics.com (consulté le ).
  4. ↑ (en) « Fencing Olympic, Youth Olympic, World Championship, and Universiade Medalists by Name » [PDF], sur cdn1.sportngin.com (consulté le ).
  5. ↑ « Exposition de Valérie Galli : L’athlète de haut-niveau est-il un artiste qui s’ignore ? », sur perigueux-maap.fr (consulté le ).
  6. ↑ Joël Larivière, « Ce n’est pas de l’eau de pluie, mais ça y ressemble », sur sudouest.fr, (consulté le )
  7. ↑ « Flessel-Colovic et Galli-Devaux font vibrer le Palio », Sud Ouest, (consulté le ).

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Valérie_Devaux-Galli&oldid=218600721 ».