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Vies arides (Vidas Secas). Des éditions antérieures Sécheresse, est le sixième roman de l’écrivain brésilien Graciliano Ramos, composé de treize chapitres, paru en 1938. Le roman raconte l’histoire d’une famille de cinq personnes et leur chien.

Il fut adapté au cinéma en 1963 par Nelson Pereira dos Santos.

Résumé[modifier | modifier le code]

Fabiano, un cangaceiro, et Sinhá Vitória, une femme au foyer, racontent avec les influences de ses deux enfants et leurs animaux : le perroquet et la chienne de compagnie « Baleia » leurs difficulté a vivre dans la grande sècheresse et l’oppression social de la région nord-est du Brésil. À cause des difficultés de communication de Fabiano, il est mis en arrêt par les soldats de la région et aussi perdre de l'argent. Suit à pénurie dans un grand déplacement au sertão brésilien, la famille a besoin de tuer le perroquet de compagnie pour se nourrir. Avec une manière rude et la manque de scolarité de toutes les personnages le temps passe sous un ciel bleu sans nuages et sur un sol pauvre et sec.

Un jour il y a une grosse pluie, qui signifie l'arrivé de l'hiver dans le sertão, et tout la famille se rejoint à la maison pour partager des histoires, réelles ou pas, Fabiano se transforme dans un homme admirable par son fis plus jeune et quelqu'un de se pas faire confiance par le fis aîné. Après quelques jours sans trop bouger, la chienne, Baleia, est sacrifié par Fabiano contre l'envie des enfants. Une fois morte, Baleia reste dans les pensés et rêves de Fabiano pour lui donner des conseilles sans prononcer un mot.

Le thème central de Vies arides est de dénoncer les difficultés que plusieurs vivent dans le sertão brésilien à travers du discours indirect utilisé, ce que permettre d’aller dans un monde introspectif des personnages. Le roman a un caractère cyclique, c’est possible de lire et comprendre l’histoire sans suivre l’ordre originale du livre et même manière, le première chapitre est une « continuation » du dernier comme forme de dénonce au cycle de la pauvreté au Sertão.

Personnages[modifier | modifier le code]

Les protagonistes de l’histoire sont Fabiano, Sinhá Vitória, le garçon plus âgé, le garçon moins âgé et la chienne Baleia. Le couple, Fabiano et Sinhá Vitória, sont la représentation du fil conducteur qui connecte les chapitres.

Fabino

Il est toujours fidèle à ses activités de cangaceiro – comme une extension de l’animal, complètement adapté aux vêtements au cuir. Il garde en soi la fierté de vivre dans la sécheresse et de faire partie du paysage, comme forme de résistance. Parfois se doute d’être simplement un outil de la ferme, sensible à la substitution. Auprès de sa faible éducation, Fabiano a des grandes difficultés de s’exprimer, à cause de cela, parfois se sent comme un animal « Tu es une bête, Fabiano ». D’autres fois comme un homme, avec la capacité de prendre des décisions, « Tu es une personne, Fabiano ».

Sinhá Vitória

Elle a une facilité de s’adapter aux pires situations de la vie, mais a une grande peur de la sécheresse. Plus sage que Fabiano, mais sans études aussi, elle prévienne son mari au cas de mensonges et triches. Elle garde l’admiration à Seu Tomás, un homme qui sait lire et a un lit en cuir. Sinhá Vitória est consciente de sa réalité, mais a des rêves avec du confort et fais des plans sur un futur incertain. Son grand rêve est de déménager vers une grande ville où ses enfants pourront étudier et apprendre des choses « difficiles et nécessaires ».

Les enfants

Ils n’ont pas de nom dans l’histoire, une représentation de la région à ce période-là. Le garçon plus jeune admire les habitudes de son père quand il galope comme une légende et essaye de lui imiter. Le fils ainé n’aime pas la vie autour des bêtes, il est considéré comme la partie plus intellectuel de la famille – il garde un grand amour pour les paroles qu’il ne comprendre pas tout le temps.

La chienne Baleia

Le personnage plus sensible de l’histoire, garde les caractéristiques aimables d’un chien dans une famille que ne montre jamais des sentiments amoureux.

Version française[modifier | modifier le code]

Le roman fait l’objet de plusieurs traductions en français, dont Sécheresse, aux Éditions Gallimard, sous le label « La Croix du Sud », en 1964. Avec une réédition par le même Éditions Gallimard, cette fois sous le label « Du monde entier », 1989. La dernière édition sous le titre Vies arides, traduit par Mathieu Dosse, par les Éditions Chandeigne en 2014.

Film[modifier | modifier le code]

Article référencié : Sécheresse (film, 1963)

Le livre est devenu un film dirigé par Nelson Pereira dos Santos, en 1963, et est un marque pour le Cinema Novo. Le film était aussi présenté en sélection officiel au Festival de Cannes 1964.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Littérature de cordel

Agreste

Sertão

Réfugié écologique

Littérature brésilienne

Histoire du Brésil

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Carelli Mario et Galvão Walnice Nogueira, Le roman brésilien: une littérature anthropophage au XXe siècle, 1. ed, Paris, Presses universitaires de France, 1995 (Ecriture).

Cristóvão Fernando, Graciliano Ramos: estrutura e valores de um modo de narrar, 3. ed, Rio de Janeiro, Olympio, 1986 (Coleção documentos brasileiros 202).

Eckert Kleber et Röhrig Maiquel, « Onomástica literária em Graciliano Ramos: os nomes dos personagens de Vidas Secas e de São Bernardo / Literary Onomastics in Graciliano Ramos: the names of characters of Vidas Secas and São Bernardo », REVISTA DE ESTUDOS DA LINGUAGEM 26 (3), 12.06.2018, pp. 1277‑1294. En ligne: <https://doi.org/10.17851/2237-2083.26.3.1277-1294>.

Garbuglio José Carlos, Bosi Alfredo, Facioli Valentim et al., Graciliano Ramos, São Paulo, Editora Atica, 1987 (Coleção Escritores brasileiros. Antologia & estudos 2).

Holanda Lourival, Sob o signo do silêncio: vidas secas e o estrangeiro, EdUSP, 1992.

Olivieri-Godet Rita, João Guimarães Rosa: Mémoire et imaginaire du sertão-monde, Presses universitaires de Rennes, 2019.