Utilisateur:Torukmato/Brouillon2
Murs de sable | |
En bleu, tracés des murs de sable frontaliers. En rose le mur des sables présent dans la zone contestée du Sahara occidental. | |
Caractéristiques | |
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Délimite | Nord de l'Afrique Sahel |
Historique | |
Création | |
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Conflit dans le Sahara occidental
[modifier | modifier le code]Construit à partir les années 1980, le mur de sable au sein du Sahara occidental s'est accompagné de la militarisation de la région avec l'installation de plusieurs unités militaire et le déploiement de mines dans la frontière entre le territoire contrôlé par le Maroc et celui contrôlé par le Front Polisario[1].
Guerre civile libyenne
[modifier | modifier le code]Le Printemps arabe en Libye a vu la situation s'enliser dans une guerre civile qui entraîna la partition du pays entre l'est et l'ouest du pays contrôlés respectivement par le maréchal Haftar et le gouvernement d'union national reconnu par l'Organisation des Nations unies. Ce conflit interne entraîna l'implantation de cellules djihadiste dans le Fezzan à l'instar de l'organisation État islamique. En réponse à un risque de débordement de ces derniers acteurs sur les pays frontaliers, la Tunisie décide alors de construire un mur de sable le long de sa frontière avec la Libye[2]. Devant atteindre les 168 kilomètres de long avec une hauteur de 2 mètres et doté d'une tranchée remplie d'eau, le but principal de ce mur est de stopper les véhicules traversant la frontière[2]. En 2016, le mur commence à être doté d'un dispositif de sécurité supplémentaire[3].
Impact sur la vie des habitants
[modifier | modifier le code]Références
[modifier | modifier le code]- (en) « Les mines et le mur de sable, un obstacle pour la paix. », allAfrica.com, , NA–NA (lire en ligne, consulté le )
- « La grande efficacite du mur de separation - Document - Gale OneFile: News », sur go.gale.com (consulté le )
- « Tunisie:Le mur de sable a la frontiere avec la Libye sera consolide avec un systeme electronique de controle (ministre) - Document - Gale General OneFile », sur go.gale.com (consulté le )