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Utilisateur:Titi2/Fin de la Belgique

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L'émission télé du 13 décembre 2006[modifier | modifier le code]

Le 13 décembre 2006, la télévision belge francophone annonce dans un reportage-fiction la "fin de la Belgique" suite à la déclaration unilatérale d'indépendance de la Flandre. De très nombreux téléspectateurs croient à la réalité du scénario tellement la manière de décrire les événements est présentée comme réelle. Et ceux qui n'y croient pas se posent des questions : et si c'était vrai. Un canular qui aura une incidence internationale.

Actualité[modifier | modifier le code]

Le 10 juin 2007 , les élections législatives belges font apparaître une poussée des partis nationalistes flamands mais aussi un morcellement de l'électorat rendant plus difficile encore la formation d'un gouvernement.Le seul gouvernement bipartite possible est celui appelé "l'orange bleue" à savoir une coalition des libéraux et des sociaux-chrétiens.

L'impasse actuelle[modifier | modifier le code]

Le mouvement nationaliste flamand semble privilégier le blocage des institutions.Un tel blocage équivaudrait à une fédéralisation "de fait".Un gouvernement national immobilisé ne prenant aucune décision entrainerait obligatoirement un transfert de ses compétences vers les autres entités fédérées , c'est-à-dire les régions ou les communautés.Un exemple récent a été le licenciement de fonctionnaires communaux dépendant de subsides fédéraux , devant l'incertitude que ces subsides soient réellement octroyés et qu'un gouvernement soit réellement formé.Pour éviter un chômage massif , la seule option se présentant au gouvernement "en affaires courantes" est le transfert de toutes les décisions politiques vers les gouvernement régionaux ou communautaires.

Le double chantage[modifier | modifier le code]

D'une part le mouvement nationaliste flamand laisse sous-entendre aux francophones de Belgique qu'"ils perdraient tout" en cas de scission du pays - chantage au séparatisme - , et d'autre part les Wallons et les Bruxellois répondent en disant que les Flamands perdraient notamment Bruxelles (périphérie comprise) s'ils déclaraient unilatéralement leur indépendance. Double chantage expliquant en partie l'impasse actuelle.

Le pourrissement et la montée du nationalisme flamand[modifier | modifier le code]

Le mouvement nationaliste flamand parie sur la continuation de l'impasse car à chaque jour qui passe les sondages annoncent davantage de Flamands qui se prononcent pour l'indépendance. Aujourd'hui , les sondages annoncent un peu plus de 40% des sondés néerlandophones se prononçant pour l'indépendance.

L'absence de projet pour la Belgique du sud[modifier | modifier le code]

Alors que le mouvement nationaliste flamand fait à chaque jour des adeptes , l'absence de projet pour les Wallons et les Bruxellois se fait de plus en plus criant.On croirait que ceux-ci se réfugient dans la nostalgie d'une Belgique qui n'existe déjà plus ou ne veulent pas voir que ce sont les hommes qui font les états et non l'inverse.

La crise vue de l'étranger[modifier | modifier le code]

Tous les médias étrangers à la Belgique parient sur la disparition de cette dernière.Le Figaro parle "des Français de Belgique" et Libération annonce "la fin de la Belgique".

Liens internes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]