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Utilisateur:Ramond Richard/Culture physique

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Culture Physique, ces deux termes furent associés pour la première fois en 1885 par Edmond Desbonnet. Son orientation sanitaire première détournée, sera précisée par la Gymnastique des organes[1].

Historique de la culture physique[modifier | modifier le code]

La gymnastique chez les Anciens[modifier | modifier le code]

L’art de la gymnastique remonte presque à l’origine du monde. Parmi les peuples les plus anciens, ce sont les chinois qui paraissent avoir tenu les premiers, en véritable estime, les jeux du gymnase[2]. Pour développer leur force et éviter les maladies épidémiques, ils se livraient, chaque jour, aux exercices du corps. On trouve dans le Conq Fou (Traité d’hygiène gymnastique des Chinois) les différents mouvements qu’on faisait exécuter aux sujets en vue combattre certaines affections.

Chez les grecs, la gymnastique était une véritable institution nationale. On n’exerçait pas son corps pour guérir les maladies, mais pour les prévenir. Les maîtres étaient de véritables artistes, qui exerçaient le corps non seulement pour lui donner de la vigueur, de la résistance et de la vitesse, mais encore de la symétrie et de l’élégance[3]. Ce qu’il y a de bien remarquable dans l’éducation physique des Grecs, des Spartiates en particulier, c’est que les filles elles-mêmes étaient admises aux mêmes exercices que les hommes. On comprenait, en effet, qu’il était impossible d’obtenir de beaux produits si les deux sexes ne concouraient pas également au même résultat. Les Romains, qui se soucièrent beaucoup moins de la beauté et beaucoup plus de la force, s’occupaient surtout de gymnastique militaire.

Le moyen âge nous offre quelques vestiges des institutions grecques et romaines au point de vue de la glorification de la force physique ; ses tournois, où le plus vigoureux jouteur était récompensé par des mains chères ou royales et salué par l’enthousiasme des populations. Depuis le moyen âge jusque vers la fin du XVIIe siècle, la gymnastique a été graduellement délaissée[4]. À cette époque, un médecin éminent, Mercurialis de Vérone, la préconise de nouveau dans un livre devenu célèbre : Hieronymi Mercurialis, De arte gymnastica libri sex. Amstelodami, 1672[5].

Par la suite les docteurs Audry et Clément Joseph Tissot (1747-1826) en France, et divers autres savants en Allemagne, recommandèrent la gymnastique, mais ne réussirent pas à persuader leurs contemporains de l’immense utilité des exercices réglés. Jusqu’à la fin du XIXe siècle, il n’existait aucune méthode de gymnastique véritablement scientifique capable de donner des résultats réguliers et probants[6].

La gymnastique chez les contemporains[modifier | modifier le code]

La deuxième période, se personnifie en quatre professeurs qui peuvent représenter tous les autres : le Suédois Pehr Henrik Ling (1776-1839), l'Allemand Friedrich Ludwig Jahn (1778-1852), le Suisse Clias et l'Espagnol Francisco Amoros (1770-1848), sont nés vers le même temps.

Friedrich Ludwig Jahn (Prusse) veut faire de la gymnastique un moyen de propagande et d’émancipation des peuples. Dans son traité de gymnastique allemande, il vente les vertus de la gymnastique, bien que sa gymnastique soit pourtant toute militaire et athlétique.

Pehr Henrik Ling (Suède) montre les ressources que la gymnastique peut fournir à la médecine et enrichit l’art de guérir d’une branche nouvelle la kinésithérapie. Sa méthode connue sous le nom de Méthode Suédoise est à la base de nombreuses modalités de l’éducation physique moderne.

Clias de Berne, publia en 1816 son premier ouvrage, résumé de l’enseignement auquel il se vouait déjà depuis plusieurs années.

Francisco Amoros de Madrid est un fervent propagateur de la gymnastique soit militaire, soit pédagogique. Amoros et Clias fondèrent, avec l’assistance du gouvernement à Paris, un gymnase d’où sortirent des élèves remarquables que l’on compte parmi les maîtres les plus distingués : Napoléon Laisné (1810-1896), le colonel Charles Henri Louis Comte d'Argy (1805-1870), le capitaine Vergues, le capitaine de Féraudy [7].

Naissance de la culture physique[modifier | modifier le code]

Hippolyte Triat (1812-1881) est le premier qui ait conçu le gymnase moderne. Il est à l’origine d’un concept révolutionnaire, tant dans l’esprit que dans la lettre en ce qui concerne l’exercice du corps. Il inaugura les exercices avec haltères et l’usage d’appareils multiples, dont les exerciseurs à poulies. C’était déjà de la localisation musculaire et ces méthodes rompaient avec la gymnastique de Pehr Henrik Ling et les principes de Francisco Amoros[8].

L’honneur d’avoir créé la première méthode scientifique revient au professeur Attila (États-Unis), qui après avoir formé, conformément à ses principes, l’athlète Eugen Sandow (1867-1925), l’a exhibé un peu partout comme une preuve vivante de la justesse de ses idées. Il a réussi a mettre en lumière d’une façon indéniable ce qu’un savant physiologiste a appelé la plasticité du muscle, montrant, en effet, par les résultats obtenus que les muscles de l’homme sont à volonté transformables entre les mains d’un praticien compétant[9].

But suprême de la culture physique[modifier | modifier le code]

Une avancée scientifique[modifier | modifier le code]

La méthode préconisait par Edmond Desbonnet a pour point de départ celle du professeur américain Attila et son principe est le même : l’entraînement raisonné par les poids légers. Mais ses longues études, l’amène à enrichir son répertoire d’exercices primitifs d’une foule de mouvements nouveaux spéciaux, exécutés avec des appareils de chambre qu’il a créé au fur et à mesure des besoins[10].

Edmond Desbonnet a pris ce qu’il y avait de bon dans les exercices athlétiques, pour les réglementer, les classer au point de vue physiologique, pour que, débarrasser de leur apparence de cabotinage, ils pussent être utilisés au mieux des intérêts de tous. Mais c’est surtout en découvrant les efforts de Hippolyte Triat que Desbonnet devait donner naissance à la culture physique, dont il est le véritable créateur[11].

C’est en 1885 qu’il crée sa méthode. Il va s’attacher à découvrir les moyens de développer, de parfaire le corps humain. La beauté et l’harmonie du corps humain sont le but à atteindre. C’est en même temps que la beauté plastique obtenir la santé. Dans ce but, Desbonnet, avec son disciple le Docteur Georges Rouhet, jette les bases scientifiques de la culture physique. La culture physique permet de développer les qualités physiques, de fortifier et d’entretenir la santé, de rétablir l’équilibre du corps.

La culture physique apporte un idéal adapté à la structure individuelle. Elle seule est capable de transformer un corps inharmonique en un corps parfaitement équilibré. Elle s’appuie sur les chefs-d’œuvre statuaire de la Grèce Antique dont elle reconnaît la beauté musculaire : « La beauté exacte étant le reflet de la santé profonde » Edmond Desbonnet[12].

Une panacée thérapeutique[modifier | modifier le code]

La culture physique est un remède universel pour tous les maux. Pour Edmond Desbonnet, les médicaments sont impuissants à procurer une guérison réelle aux souffrants. A la lumière scientifique, seul l’exercice physique méthodique, dosé, quotidien, approprié aux forces de chacun et conforme à chaque anatomie, donc à chaque physiologie organique est une véritable panacée[13].

Cette méthode de santé pour tous est constituée par l’exercice musculaire accessible à chacun d’entre nous. Pour prouver son efficacité, Edmond Desbonnet cite quelques exemples signifiant cette vérité :

  • Ressentez-vous une légère douleur dentaire ? Serrez vos mâchoires en appuyant sur les dents qui se rencontrent. Votre mal s’engourdira grâce à une modification de la circulation sanguine locale ;
  • Avez-vous très souvent froid aux pieds ? Voici le bon procédé pour lutter contre ce puissant allié de la pathologie ; faites 80 élévations sur la plante des pieds. Vous sentirez de suite l’afflux du sang en cette région. Le froid sera chassé ;
  • Ressentez-vous de l’angoisse cardiaque ? Pratiquez des inspirations et des expirations profondes, complètes. Ce douloureux état disparaîtra ;
  • Souffrez-vous d’une douleur au bras ? Pliez et étendez rapidement ce bras quarante fois de suite. Ces flexions et extensions successives vous soulageron ;
  • Avez-vous mal aux reins ? Fléchissez votre buste vingt fois consécutives. Les déchets, causes de ces douleurs, seront balayés par une circulation plus intense, grâce à ces mouvements.

La vraie panacée favorable à la santé est l’exercice physique exécuté en culturiste, c’est-à-dire avec respect de l’anatomie et de la physiologie. La gymnastique des organes maintient l’organisme en parfaite fonction pour le mieux de l’individu.

La gymnastique des organes[modifier | modifier le code]

En 1886, Edmond Desbonnet oriente dès le début sa culture physique vers la voie sanitaire et la baptise du nom de gymnastique des organes, car tous les exercices de sa méthode ont une heureuse influence sur les organes. Par le moyen de cette gymnastique, il réussit à atteindre directement ou indirectement les organes par des manipulations, des moyens ou des exercices spéciaux[14].

La vie étant une synthèse de mouvements ; c’est par une synthèse de mouvements soumis à des règles fondamentales, sûres, basées sur l’anatomie, la physiologie, que nous pouvons entretenir la santé. Le Docteur Pierre Chevillet, fervent adepte de la gymnastique des organes et adjoint de Edmond Desbonnet, exhorte : « Pratiqué avec sagesse cette théorie physique a guéri des tuberculoses, est devenu le remède prophylactique des scrofules, des névralgies, de la goutte, de l’arthrite, des déviations de la colonne vertébrale, des maladies mentales, de la chorée, des paralysies, des hernies, des constipations, d’une mauvaise circulation dans les extrémités, des troubles de l’innervation solaire, des estomacs déficients, de l’asthme, de la chlorose, de l’hystérie, de l’hypocondrie, des inflammations chroniques, elle retarde la vieillesse, les ictus, etc. »[15].

Avant la conception de la gymnastique des organes, d’autres hommes avaient essayé de constituer des êtres forts par différentes gymnastiques adaptées aux tempéraments spécifiques des divers peuples. Edmond Desbonnet met les choses au point ; perfecteur de santé, il conseille le travail organique pendant toutes les années qu’un être passe sur terre. Il eut un trait de génie, c’est-à-dire une conception très simple, très naturelle, praticable par tous. Sa méthode est une toilette organique, elle évite la compétition, car la compétition ne conduit à aucun but désirable, c’est le danger d’affaiblissement, de mort prématurée, état opposée à celui rêvé et obtenu par son concepteur. La gymnastique des organes constituent une acquisition sur toutes les connaissances antérieures[16].

Physicothérapie[modifier | modifier le code]

Le Docteur Pierre Chevillet, en collaboration avec Edmond Desbonnet, ont montré dans leur ouvrage la Gymnastique des Organes qu’il n’y a pas de culture physique myologique, que l’on pourrait désigner d’extérieure, périphérique, sans qu’il y ait retentissement bienfaisant sur les viscères. La culture physique habituelle ne consiste pas seulement à développer les muscles, à les faire arriver à leur forme morphologique et à leur volume normal, mais elle doit aboutir à une statique parfaite, en même temps qu’à une circulation artérielle, veineuse et lymphatique des organes qui y sont contenus[17].

Ces deux cultures, périphérique myologique et intérieure centrale, c’est-à-dire splanchnique ou viscérale sont indissolubles. L’une veut surtout aboutir à la forme, à la force, à la beauté et l’autre a pour but d’arriver à la physiologie parfaite de l’organisme. Néanmoins, il n’est pas inutile d’envisager cette culture physique seule, pour mieux la synthétiser, et en comprendre le mécanisme de la gymnastique des organes.

Culturalisation et naturalisation du corps[modifier | modifier le code]

Culturisme et culturalisation[modifier | modifier le code]

Richard Desbonnet évoque le souvenir de son célèbre aïeul, à l’occasion de l’inauguration de l’exposition L’âge d’or de la Culture Physique, en 1995 à Rouen, en ces termes : « J’avais 18 ans quand mon grand-père est mort en 1953. Mais je l’ai mieux connu après. On me le présentait comme un type hors normes, un humaniste qui passait son temps à écrire. Mais au départ, c’était un éducateur dont le souci était de donner la santé à ses contemporains. Il a créé la Culture Physique – accolant pour la première fois ces deux mots – la technique la plus simple qui soit pour ses congénères citadins »[18].

Les références corporelles à atteindre sont empruntées à la culture humaniste : le Discobole de Myron, le David de Michel Ange, la Vénus de Cyrène, la Vénus de Milo. Il s’agit d’agir à la fois sur le corps et sur le tempérament en références aux thèses néo-hippocratiques. On agit par le travail aux haltères, la science de la respiration, le travail à mains libres, le travail athlétique, l’exerciseur, le régime alimentaire. Une grille d’entraînement (défauts à corriger, exercices, répétitions) accompagne les séries à réaliser.

Médecine naturelle et naturalisation[modifier | modifier le code]

Edmond Desbonnet associe au mouvement des règles d’hygiène alimentaire et des bains naturels (air, eau et soleil). Cette conception est exploitée dans l’entourage médical de Edmond Desbonnet par les médecins hygiénistes que sont Georges Rouhet, Pierre Chevillet, André Vintre, Emile Valtier, James-Edward Ruffier, Claude Dussauchois, André Passebecq, Jean Le Guern et Gérard Debuigne[19].

D’autres ont participé à ce vaste mouvement de la médecine naturelle et naturalisation du corps, entre autre : Hippolyte Triat, Georges Hébert, Bernard Mac Fadden, L.G. Rancoule, Alexis Carrel, Voronoff, Brown-Séquard, Krajewski, Metchnikoff, Raymond Dextrait et Pierre-Valentin Marchesseau[20].

Son élève et successeur Marcel Rouet incarne cette conception, où il s’agit d’atteindre l’harmonie et la beauté du corps humain. Il recommande de se cultiver selon les principes esthétiques et harmonieux de la nature. Sa méthode vise à prévenir la dégénérescence liée à l’inaction et à la vie urbaine. Son univers lié à la culture du corps apporte les soins du corps combinant la culture physique, la relaxation psychosomatique, l’oxygénation, la culture mentale et l’hygiénisme intégral.

Ces concepteurs sont les précurseurs du vaste domaine de la santé et de l’hygiène populaire des corps. Ainsi la femme, comme l’homme, bénéficient des pratiques les plus efficaces pour améliorer leurs corps en associant les moyens naturels pour rétablir la santé quand elle est compromise par des erreurs de vie.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Georges Dardenne, Historique de la Culture Physique, 1986, Imprimerie Chauveheid s.a. Stavelot, Chapitre II, p. 30
  2. Georges Rouhet, L’entraînement complet et expérimental de l’homme, Libraires associés Féret et Fils Editeurs, 1902 p. 21.
  3. Georges Rouhet, L’entraînement complet et expérimental de l’homme, Libraires associés Féret et Fils Editeurs, 1902 p. 22.
  4. Georges Rouhet, L’entraînement complet et expérimental de l’homme, Libraires associés Féret et Fils Editeurs, 1902 p. 25. Nous empruntons la plupart de ces détails historiques au rapport présenté à Son Excellence Monsieur le Ministre de l’Instruction Publique, par Monsieur le Docteur Hillairet, au nom de la commission de gymnastique, 12 mars 1869, Bulletin administratif du ministère de l’Instruction Publique.
  5. Edmond Desbonnet, La force physique, 1909, Berget-Levrault et Cie Editeurs, sixième édition, chapitre IV p. 44.
  6. Edmond Desbonnet, La force physique, 1909, Berget-Levrault et Cie Editeurs, sixième édition, chapitre IV p. 44. Nous en exceptons la gymnastique suédoise, qui est plus médicale que récréative et, par le fait, légèrement ennuyeuse. Elle est plutôt un remède qu’un aliment (Docteur Tissot)
  7. Georges Rouhet, L’entraînement complet et expérimental de l’homme, Libraires associés Féret et Fils Editeurs, 1902 p. 29.
  8. Marcel Rouet, Dictionnaire de la Culture Physique, 1975, Casterman, Introduction, p. 9.
  9. Edmond Desbonnet, La force physique, 1909, Berget-Levrault et Cie Editeurs, sixième édition, chapitre IV p. 44.
  10. Edmond Desbonnet, La force physique, 1909, Berget-Levrault et Cie Editeurs, sixième édition, chapitre IV p. 47.
  11. Marcel Rouet, Dictionnaire de la Culture Physique, 1975, Casterman, Introduction, p. 9.
  12. Marcel Rouet, Santé et beauté plastique, 1937, Éditions Jean Oliven, Chapitre II, p. 46.
  13. Edmond Desbonnet, La vraie panacée thérapeutique, La Culture Physique (52e année), Décembre 1948 no 659, p. 15-16. Pour quelle raison les êtres mal portants n’usent-ils pas de cette panacée physique très active au lieu d’employer, au temps où ils sont à peine souffrants, des médicaments chimiques si souvent inefficaces et toxiques ?
  14. Pierre Chevillet, La Culture physique pour tous, Librairie athlétique et Hygiénique, 1941 Chapitre XXXIII p. 255. Les médicaments chimiques n’ont pas supprimé la pathologie, n’ont pas guéri tous les malades. La médecine contemporaine, si souvent impuissante avec ses formules chimiques, méprise trop les contractions musculaires raisonnées, simples.
  15. Pierre Chevillet, La Culture physique pour tous, Librairie athlétique et Hygiénique, 1941 Prologue p. 9. Les physiologistes reconnurent que les sauvages, ignorant notre science médicale, se conservaient en bonne santé grâce à leurs mouvements.
  16. Pierre Chevillet, Desbonnet a apporté la lumière en concevant et en mettant au point la gymnastique des organes, La Culture Physique (40e année), Janvier 1936 no 549, p. 19.
  17. Laurent Dartigues, Physicothérapie, La Culture Physique (42e année), Mars 1938 no 575, p. 94.
  18. Bernard Andrieu, Ma gymnastique des organes, L’Harmattan (Annexes), 2014, p.163.
  19. Gérard Debuigne, Musculation par le culturisme, Editions Amphora (4e édition), 1974, p.15. En 1959, je lisais les livres des maîtres de la culture physique et surtout des médecins qui s’y étaient consacrés. Les méthodes m’étaient rappelées par les livres d’Hébert, de Ruffier, de Desbonnet, de Rouet, de Lelong, de Weider, de Verdier, de Villenave.
  20. Pierre-Valentin Marchesseau, Galerie des grands naturopathes, Santé, Beauté et Culture Physique réunies (fondé en 1885), 1967 n° 838, p. 15. Krajewski fut le médecin des Tzars à la Cour de Russie. Grand admirateur de la force physique, il avait une méthode pour développer le format de l’être humain. En 1900, lors d’un séjour à Paris, il fait la connaissance de Edmond Desbonnet. Les deux Maîtres purent échanger leurs idées.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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