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Une badine (lat: vitis) est un court bâton ou cravache habituellement effectuée par une personne en uniforme comme un symbole de l'autorité. A badine est plus court qu'un personnel ou de canne, et est généralement fabriqué à partir de rotin.
Vitis (Roman)[modifier | modifier le code]
Dans l'armée romaine une forme de bâton, puis appelé vitis,[1] était une distinction de rang porté par un centurion et utilisé pour diriger les exercices militaires et les manœuvres, ou pour administrer la punition physique. Introduite à peu près au moment des guerres puniques, ce était une vigne personnel de bois, d'où le nom, d'environ 0,9 m (3 pieds) de longueur. Il est souvent bien en vue sur les monuments funéraires pour centurions morts ou disparus comme un signe de leur statut. Ces monuments montrent la trique dans une variété de formes - parfois directement avec un sommet arrondi, parfois nouées, et parfois sinueuses.[2]
Tacite raconte comment un centurion a valu le surnom Cedo alteram ("donnez-moi une autre!") Pour briser plusieurs reprises son vitis sur le dos d'un gregarius des miles et appelant à un remplacement. [3] En 14 après JC, les soldats romains se sont mutinés, citant, entre autres plaintes, châtiments corporels très durs comme raison de leur révolte.[3]
Les forces armées du Royaume-Uni[modifier | modifier le code]
Dans l'armée britannique avant la Première Guerre mondiale bâtons de Swagger ont été effectuées par tous les autres rangs en dehors du service, dans le cadre de leur marche sur uniforme. Le bâton a pris la forme d'une courte canne de bois poli, avec une tête en métal orné de modèle régimentaire . La coutume était pour le soldat ou officier privé d'exécuter le bâton sous le bras. Cavaliers effectué une petite circonscription canne au lieu du bâton d'infanterie et d'autres branches. [4] Cette pratique a été limitée à l'armée et les Royal Marines, et était jamais imités par les autres services. Uniformes ne sont plus portés par le personnel de l'armée en dehors du service et de la badine a donc devenue obsolète.
Dans l'armée britannique et d'autres militaires suivants les Commonwealth traditions, certains officiers utilisés pour transporter les bâtons de swagger en uniforme, tandis que certains adjudants et sous-officiers supérieurs peuvent porter des bâtons de rythme à la place. Cavalerie officiers vont souvent porter une cravache plutôt qu'une badine , par déférence pour leurs traditions montés. Dans certains régiments irlandais de l'armée britannique, comme les Irish Guards, les agents portent un prunellier bâton de marche, sur la base du shillelagh. Dans le Royal Tank Regiment, les agents portent une 'usine de carbonate »ou la marche tenir la place, en référence à la Première Guerre mondiale attaques de chars, quand des agents de préparer des lignes de l'avance en testant la fermeté et la pertinence de la terre pour les réservoirs.[5]
Forces armées américaines[modifier | modifier le code]
Bâtonnets de Swagger étaient autrefois en vogue dans le Corps des Marines des États-Unis, en commençant comme un accessoire informelle menée par des officiers à la fin du 19e siècle. En 1915, il a obtenu l'approbation officielle en tant que recruteurs ont été encouragés à les porter à améliorer l'image publique. Cette tradition a grandi quand Marines déployés pour la Première Guerre mondiale ont rencontré des officiers européens armés de bâtons de Swagger, conduisant à une entrée dans les règlements uniformes en 1922 autorisant Marines enrôlés pour les porter ainsi. L'utilisation est mort dans les années 1930 et 40, à l'exception de la Chine Marines, et revint en vogue à un règlement 1 952 en les encourageant, atteignant un sommet de 1956 à 1960 lorsque le 04 Janvier 1960, le commandant, le général David M. Shoup, a commenté sur leur utilisation en ce qui concerne Uniformes et matériel.
Type changements uniformes non-combat en cours de traitement sera la dernière de ces changements jugés pendant un certain temps à moins que dirigé par une autorité supérieure. Tout ce qui touche à l'uniforme de la Marine qui répond mieux à ses besoins au combat recevront une action de haute priorité.
En général, je pense que un, propre, uniforme propre bien équipée avec l'emblème du Corps des Marines est top. Il n'y a pas besoin de trucs et gadgets.
En ce qui concerne l'équipement que nous devrions insister sur la simplicité, la robustesse et la facilité d'entretien. Et dans la conception et gadgets les caractéristiques que nous exigeons devrait être un motif de la nécessaire plutôt que de l'idéal. Nous allons continuer à nous efforcer d'obtenir en temps opportun le meilleur possible équipement de combat
Il ya un élément de l'équipement dont je avez une opinion définitive. Il est la badine. Il restera un élément facultatif de l'ingérence. Si vous ressentez le besoin de celui-ci, le porter ...
Peu, sinon aucune, les agents contemporains ressentir le besoin de porter une badine, et il n'a aucune valeur officielle dans une branche.
Général William J. Livsey, qui était le commandant général de la Huitième Armée américaine en Corée du Sud de 1984 à 1987 réalisée publiquement une badine qui a été sculpté à partir de bois recueillis à la Zone coréenne démilitarisée Axe Assassiner incident peuplier.
Références [modifier | modifier le code]
- «Latin-néerlandais Dictionnaire", édité par H. Pentecôte, Amsterdan University Press, 1998
- (en) Raffaele D'Amato, Roman Centurions 753-31 BC, 38–39 p. (ISBN 978-1-84908-541-0)
- Tacitus, Annales I 23.
- (en) Raffaele D'Amato, Roman Centurions 753-31 BC, 38–39 p. (ISBN 978-1-84908-541-0)
- (en) Raffaele D'Amato, Roman Centurions 753-31 BC, 38–39 p. (ISBN 978-1-84908-541-0)
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