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La charge de l'orignal épormyable[modifier | modifier le code]

La charge de l’orignal épormyable est une pièce de théâtre québécoise écrite par Claude Gauvreau en 1956.

Cette pièce prend place dans un univers métaphorique, plus spécifiquement dans une pièce comprenant cinq portes. On y met en scène le poète Mycroft Mixeudeim, souffrant de la perte de sa muse, la fille d'Ebenezer Mopp. Il sera la cible de plusieurs manigances et de jeux tordus perpétrés par ses quatre agresseurs : Lontil-Déparey, Laura Pa, Becket-Bobo et Marie-Jeanne Commode, personnages énigmatiques pouvant rappeler la figure du docteur.

Genèse[modifier | modifier le code]

Claude Gauvreau écrit La charge de l’orignal épormyable au courant de l’été 1956, à St-Hilaire, une période qu’il décrit comme l’« une des époques les plus sombres de [sa] vie». En effet, trois ans auparavant, peu après l’écriture de sa pièce L’asile de la pureté et de son recueil de poésie intitulé Brochuges, Gauvreau fût hospitalisé pour cause de troubles psychologiques, résultant entre autres de la perte de sa muse et amante, Muriel Guilbault. Ce difficile internement psychiatrique fût pour lui une grande épreuve, et de ceci naquit La charge de l'orignal épormyable :

« Ces mois furent durs : je fus maltraité et mon désespoir atteignit des abîmes indescriptibles. […] j’avais l’impression de devoir mourir d’une seconde à l’autre et c’est une sombre longue pièce qui en sortit : La charge de l’orignal épormyable ».[1] Dans cette pièce, l’auteur dénonce « l’univers concentrationnaire des anciens asiles d’aliénés»[2], particulièrement ceux de Saint-Jean-de-Dieu et Saint-Michel-Archange, où il fût lui-même interné.

La charge de l’orignal épormyable fût ensuite présentée en 1958 au concours du Théâtre du Nouveau-Monde, mais ne fût pas retenue. Elle ne fût découverte que le 12 février 1968 lors d’une lecture publique au CEAD, puis fût jouée pour la première fois au Gesù en 1970 par la troupe Zéro. Les premières présentations publiques furent un échec : le 6 mai, après trois représentations, malgré une première ayant attiré foule, il n’y avait que seize spectateurs en salle. Pour cause : une mise en scène très lugubre, toute en noir; une interprétation jugée trop guignol de certains personnages plus dramatiques, mais surtout un malaise vécu par le public qui, à l’époque, fut déstabilisé par une approche aussi radicale et d’avant-garde dans une salle populaire de 875 places.[3]

Malgré tout, les productions ultérieures de La charge de l'orignal épormyable furent en grande majorité des succès, souvent à guichet fermé. On peut penser à celle de 1989 au théâtre de Quat’sous, dans une mise en scène d’André Brassard, ou encore au Théâtre du Nouveau Monde, qui accueilli la pièce trois fois : en 1974 avec une mise en scène de Jean-Pierre Ronfard, en 1990 toujours avec André Brassard, puis finalement en 2009 avec Lorraine Pintal.

Personnages[modifier | modifier le code]

Mycroft Mixeudeim

Lontil-Déparey

Laura Pa

Becket-Bobo

Marie-Jeanne Commode

Dydrame Daduve

Letasse-Cromagnon

Actes[modifier | modifier le code]

La scène représente une pièce comportant cinq portes sans poignée, quatre comportant une lettre (A, B, C, D) et une autre, à part, incroyablement massive.

Acte 1 : « Ambiguïté »

Acte 2 : « Étiquettes »

Acte 3 : « Étiquette »

Acte 4 : « Furie-gélatine »

Une oeuvre personnelle[modifier | modifier le code]

La charge de l’orignal épormyable est une œuvre hantée par la violence, l’amour et la folie. Cette pièce difficilement classable fût d’abord victime d’une réception difficile du public, tant ses propos étaient d’avant-garde. Elle avance plusieurs critiques, dont l’écrasement de l’artiste par la société et surtout le monde aliénant des asiles, ainsi que du rapport tabou avec la santé mentale à l’époque. En effet, le quatuor malsain de Laura Pa, Marie-Jeanne Commode, Lontil-Déparey et Becket-Bobo fait directement référence à l’oppression sociale et les valeurs bourgeoises de l’époque. Leur attitude puritaine et leur actions stérilisante renvoient au conformisme de l’époque austère de la Grande Noirceur.[4]

L’action de la pièce se déroule entièrement dans une pièce fermée, agrémentée de différentes portes, pouvant rappeler un bureau de médecin ou l’hôpital psychiatrique. Certains personnages l’appellent « la maison ». Un poète tourmenté, qui se considère incompris, est scruté à la loupe par quatre individus qu’il croit être ses amis. Ces personnages essayeront sans relâche de trouver la nature et la cause de son état. Au fil de la pièce, le protagoniste sera victime de différentes « fausses expériences scientifiques » et sera étiqueté de différentes façon : naïf incompétent, maniaque sexuel, poète fou... Après plusieurs expériences traumatisantes et déplacées, ils tireront la conclusion qu’il ne s’agit que d’un imbécile. Un lien biographique ainsi qu'une critique de l'auteur peuvent être faits à travers ces liens de «fausses-amitiés». En effet, cela rappelle l'expérience que l'auteur, lui-même poète, connût à travers les diverses consultations des médecins.

L’œuvre établit aussi un rapport entre l’art et la folie, et par le fait-même défend la démarche créatrice provenant du mouvement de l’automatisme. L’art de Gauvreau étant toujours en étroite correspondance avec sa vie, la pièce rappelle bien sûr des événements et des thématiques précises qui lui sont chères. Par exemple, on peut se douter que le personnage principal, Mycroft Mixeudeim, revêt les traits de l’auteur : poète incompris aux idées modernes qu’on fait passer pour fou, il sera au fil de la pièce réduit au néant psychologique par ses agresseurs. Son état psychologique défaillira tout comme celui de Claude Gauvreau, qui sera victime de troubles dépressifs suite à la mort de Muriel Guilbault le 3 janvier 1952[5]. Cette dernière est par le fait même représentée dans La charge par le personnage de la fille d’Ebenezer Mopp, muse du protagoniste s’étant enlevé la vie.

André-G. Bourassa note : « La pièce n’est pas une pièce réaliste, c’est-à-dire qu’on part d’événements vécus en les transposant à l’extrême […] Je crois que de cette façon-là, on fait sentir la vérité d’une façon plus aiguë, plus exacte qu’en s’applicant uniquement à rendre une image photographique des apparences de la réalité. La réalité n’est pas seulement ce qu’elle semble être […]. Il faut introduire des éléments purement imaginaires pour tenir compte de tous les aspects de la réalité qui ne sont pas apparents mais qui sont tout à fait existants quand même. »[6]

Thèmes[modifier | modifier le code]

La violence[modifier | modifier le code]

La violence est un thème très important dans cette pièce. Pour Gauvreau, la violence fait partie de l’écriture mais est aussi l’origine de son processus de création, particulièrement ici, sachant que La charge de l’orignal épormyable fût écrite entre deux de ses internements psychiatriques. Gauvreau dit d’ailleurs de cette expérience qu’il en sorti avec « l’impression d’être dévitalisé, à tel point [qu’il] allait mourir incessamment ».[7]

Jean-Marcel Duciaume explique que le spectateur est frappé sur deux plans : au niveau de l’image, par ces véritables bêtes vivant sur scène; puis au niveau du langage par celui de l’exploréen, propre à Gauvreau, réitéré à plusieurs reprises durant la pièce.[8]

« Il y a la violence, dans La charge, violence de toutes parts et à tous niveaux : entre les personnages, de la part de l’auteur contre les personnages, de la part de l’auteur contre les spectateurs. […] La stratégie d’attaque en est surtout une d’envahissement. Un envahissement qui joue sur deux plans : celui de l’image et celui du langage. »[9]

La violence dans le langage et dans l’image a pour fonction de nous concentrer sur l’humain dans ce qu’il a de plus primaire, c’est-à-dire ses affects et ses sens. Dans La charge, on fait mention de toutes ces particularités propres à l’humain – passant majoritairement par Mycroft – et on fait rencontrer la nécéssité et la fragilité de ceux-ci : l’amour, l’érotisme, l’intellect, le langage, les liens sociaux, le deuil…

La violence est présente dans plusieurs niveaux de la pièce. Premièrement, elle est perceptible dans la façon que les personnages ont de vouloir déposséder graduellement Mycroft de ses facultés. En effet, toutes les stratégies de Lontil-Déparey, Becket-Bobo, Marie-Jeanne Commode et Laura Pa ont pour but de distancer le protagoniste de ses caractéristiques fondamentales d’Homme, et surtout qu’il en soit témoin. On retrouve dans La charge une insensibilité et une indifférence des personnages et même des didascalies envers ce qui se passe : on cherche à tout dévaloriser, et ceci crée aussi une violence pour les spectateurs. Gauvreau n’avait aucune pudeur quant à l’idée de la violence dans sa pièce. La souffrance est montrée abondamment et sans voile. L’auteur « souhaitai[t] rendre le climat irrespirable ».[10]

La charge de l’orignal épormyable est une pièce accusatrice, où la « charge » représente à la fois les prouesses physiques du protagoniste mais aussi – et surtout – cette attaque se voulant un cri du coeur envers les spectateurs. Le public est constamment victime des actions des personnages : il doit subir cette cruauté et la supporter. La pièce se conclut sous le thème de la mort, Mycroft ratant son suicide pour par la suite être lâchement assassiné par ses tortionnaires, sous une pluie de rires et d’humiliation. Selon Jean-Marcel Duciaume, cette attaque vers le public serait une « dernière tentative de rendre opérante la catharsis aristotélicienne ». C’est une œuvre remplie de brutalité : physique, psychologique, émotionnelle. Il dit : « Nous vivons dans le théâtre de la cruauté selon Artaud; ce théâtre qui bouscule, qui assène des chocs. »[11]

L’amour[modifier | modifier le code]

Dans La charge de l’orignal épormyable comme dans pratiquement toutes les œuvres de Gauvreau, l’amour est amenée comme une force insurpassable et pure. Il dira lui-même que les deux valeurs absolument vitales sont l’amour et la création.[12] Dans cette pièce par contre, le thème de l’amour n’est pas illustré comme une chose merveilleuse, mais est plutôt perverti.

Tout d’abord, l’amour est deuil : on rencontre Mycroft qui, suite à la mort de son amante, est dans un état très difficile. L’amour qu’il porte pour la fille d’Ebenezer Mopp demeure dans le passé et les souvenirs, puisqu’il concerne une personne morte, à jamais disparue. C’est donc un amour idéalisé.

L’amour sera aussi objet de manipulations durant l’entièreté de la pièce. Tentant de lui faire oublier sa douce, les quatre autres principaux personnages s’en prendront à lui de diverses façons. Ils lui feront croire que la fille d’Ebenezer Mopp est revenue en utilisant un corps de poupée. Ils pervertiront son désir et dévaloriseront ses sentiments en lui faisant croire qu’il est tantôt un maniaque sexuel, tantôt un pédophile, en doutant sur sa capacité à faire l’amour, etc. L’espoir de l’amour reviendra avec l’apparition du personnage de Dydrame Daduve, mais bien vite elle sera victime d’un complot du quatuor. Elle mourra assassinée, avec elle toute la force de Mycroft.

L’amour impossible créera un profond déséquilibre chez Mycroft. Il sera graduellement déshumanisé, de moins en moins capable d’aimer et de désirer. Cette privation croissante d’amour affectif et physique créera une souffrance et un manque chez lui, et avec cela une faiblesse au niveau de la créativité, de l'intuition et de l’impulsion. La privation d’amour résultera en la déshumanisation et la neutralisation du personnage. Dans La charge, toute forme de désir est perçue comme maladive et infâme. Il y a une castration de toute forme d’expression brute et libre. On crée donc, sans amour, un univers asphyxiant et lobotomisant.[13]

La folie[modifier | modifier le code]

Le thème de la folie dans La charge de l’orignal épormyable est perceptible par le déguisement de la réalité constante. En effet, les personnages procèdent à plusieurs manipulations afin de déposséder Mycroft de toute capacité intellectuelle. Le procédé dramaturgique consiste à pervertir la pensée par la répétition et la surenchère, plongeant autant les personnages que le public dans une situation aliénante. Les personnages arrivent à pervertir le protagoniste en le torturant sous d’insoutenables stimuli auditifs et visuels, en associant la sensualité et l’érotisme au suicide et la jouissance au meurtre. L’objectif final des personnages est de faire croire à Mycroft qu’il est fou.[14]

On peut ici dire que Gauvreau se rallie à la thèse des anti-psychiatristes; stipulant que la folie résulte d’une violence faite à l’individu, pouvant être perpétrée avec l’usage du langage.[15] Chez Gauvreau, et notamment dans La charge, la folie passe par la parole : on utilise la langue afin de créer une nouvelle conception du réel où plonger le protagoniste, on utilise la contradiction, la violence verbale, la manipulation, le chantage. Gauvreau utilise même son propre langage exploréen et l’associe à l’idée de folie, de défaillance intellectuelle. La technique utilisée par les tortionnaires pour blesser Mycroft est aussi une critique envers la société, qui utilise le même procédé pour « fabriquer un fou » : isoler la victime, puis la pervertir en ne lui donnant aucune possibilité d’identification (représentation de sa personne) et aucun moyen de dénonciation.[16]

LONTIL-DÉPAREY : […] Il faut le dépouiller, petit à petit, de tout ce dont il a besoin. Il faut l’isoler de ceux qui pourraient vouloir l’aider, réduire ses fréquentations à celles des aigris et des voraces. Il faut pourrir subtilement tous ses espoirs, le décourager patiemment de toute entreprise positive. Et quand il n’a plus rien, s’occuper de lui comme distraitement, lui affirmer sans en avoir l’air qu’il est responsable de sa déchéance, l’en convaincre doucement. Et puis, le livrer à lui-même. Le laisser aller dans l’espace. Il mourra. Tout seul. Il n’y aura pas de responsable de sa mort. Personne d’autre que lui-même. Et l’on pourra dire de lui n’importe quoi, il n’aura plus jamais de défenseur.[17]

L’idée du « jeu dans le jeu » est propre à La charge également. Par exemple, Marie-Jeanne imite la voix de la fille d’Ebenezer Mopp, Laura Pa se déguise en homme, Letasse-Cromagnon devient « le docteur », Dydrame Daduve est remplacée par une poupée. C’est un monde créé dans l’esprit du « faux », du théâtre, et dans ce théâtre rien de ce qui est dit n’a de sens. Les brefs instants de lucidité et de vérité sont portés par les monologues de Mycroft Mixeudeim.[18]

La charge de l’orignal épormyable et l’expressionnisme allemand[modifier | modifier le code]

Plusieurs rapprochements peuvent être faits entre la pièce de La charge de l'orignal épormyable et le courant de l’expressionnisme allemand. En effet, ce courant est apparu au début du XXe siècle, suite à la Première Guerre mondiale, et se caractérise par l’idée de dépeindre l’angoisse, d’accentuer les traits et les figures artistiques afin de susciter une réaction émotionnelle chez le spectateur. On y perçoit un monde souvent cauchemardesque, qui tente de dévoiler la violence de la psyché humaine. Tout comme l’expressionnisme, le texte de Gauvreau – et la plupart de ses œuvres théâtrales – tentent de montrer la face cachée d’un ordre (ici la psychiatrie), de démasquer une société à première vue inébranlable, mais qui bien souvent est corrompue, souillée. On dépeint des personnages distordus et caricaturaux, aux traits marqués et grossis; les lieux sont souvent eux aussi en distorsion : indiscernables, hostiles, aux apparences grotesques voire cauchemardesques. Souvent aussi, revient l’idée du bouc émissaire dans une société nécessitant un coupable : l’individualité face à un monde ennemi.[19]

Tout comme l’expressionnisme, Gauvreau demeure dans une position d’insoumission, il veut délibérément semer le désordre dans l’ordre établi. Dans La charge de l'orignal épormyable, il décrit la psychiatrie en conséquence de cette volonté : c’est un univers complètement renversé, où, aux yeux des spectateurs, les intervenant sont fous et la victime, est saine.[20]

  1. Véronique Bugeaud, « Le pari de l'authenticité : fonctions signifiante et expressive de l'exploréen dans le théâtre de Claude Gauvreau », sur archipel.uqam.ca, (consulté le )
  2. Gauvreau, Claude, 1925-1971., La charge de l'orignal épormyable : fiction dramatique en quatre actes, L'Hexagone, (ISBN 2890064654 et 9782890064652, OCLC 30363408, lire en ligne)
  3. Marie Frankland, « La charge de l’orignal épormyable : une dramaticité sauvage », L'Annuaire théâtral : revue québécoise d’études théâtrales, no 32,‎ , p. 165–176 (ISSN 0827-0198 et 1923-0893, DOI https://doi.org/10.7202/041512ar, lire en ligne, consulté le )
  4. Rodrigue Villeneuve, « « La charge de l’orignal épormyable » », Jeu : revue de théâtre, no 54,‎ , p. 179–183 (ISSN 0382-0335 et 1923-2578, lire en ligne, consulté le )
  5. Patricia Smart, « Derrière la femme‑objet : la représentation de Muriel Guilbault dans Beauté baroque », Études françaises, vol. 34, nos 2-3,‎ , p. 99–111 (ISSN 0014-2085 et 1492-1405, DOI https://doi.org/10.7202/036103ar, lire en ligne, consulté le )
  6. Gauvreau, Claude, 1925-1971., La charge de l'orignal épormyable : fiction dramatique en quatre actes, L'Hexagone, (ISBN 2890064654 et 9782890064652, OCLC 30363408, lire en ligne)
  7. Véronique Bugeaud, « Le pari de l'authenticité : fonctions signifiante et expressive de l'exploréen dans le théâtre de Claude Gauvreau », sur archipel.uqam.ca, (consulté le )
  8. Véronique Bugeaud, « Le pari de l'authenticité : fonctions signifiante et expressive de l'exploréen dans le théâtre de Claude Gauvreau », sur archipel.uqam.ca, (consulté le )
  9. Gauvreau, Claude, 1925-1971., La charge de l'orignal épormyable : fiction dramatique en quatre actes, L'Hexagone, (ISBN 2890064654 et 9782890064652, OCLC 30363408, lire en ligne)
  10. Paul Lefebvre, « « Claude Gauvreau le cygne » / « Claude Gauvreau, poète et mythocrate » », Jeu : revue de théâtre, no 13,‎ , p. 151–153 (ISSN 0382-0335 et 1923-2578, lire en ligne, consulté le )
  11. Véronique Bugeaud, « Le pari de l'authenticité : fonctions signifiante et expressive de l'exploréen dans le théâtre de Claude Gauvreau », sur archipel.uqam.ca, (consulté le )
  12. Office national du film du Canada, « Claude Gauvreau - Poète » (consulté le )
  13. Véronique Bugeaud, « Le pari de l'authenticité : fonctions signifiante et expressive de l'exploréen dans le théâtre de Claude Gauvreau », sur archipel.uqam.ca, (consulté le )
  14. Véronique Bugeaud, « Le pari de l'authenticité : fonctions signifiante et expressive de l'exploréen dans le théâtre de Claude Gauvreau », sur archipel.uqam.ca, (consulté le )
  15. Céline Taylor, « La Charge de l’orignal épormyable ou la fabrique du fou », Jeu : revue de théâtre, no 140,‎ , p. 116–121 (ISSN 0382-0335 et 1923-2578, lire en ligne, consulté le )
  16. Céline Taylor, « La Charge de l’orignal épormyable ou la fabrique du fou », Jeu : revue de théâtre, no 140,‎ , p. 116–121 (ISSN 0382-0335 et 1923-2578, lire en ligne, consulté le )
  17. Gauvreau, Claude, 1925-1971., La charge de l'orignal épormyable : fiction dramatique en quatre actes, L'Hexagone, (ISBN 2-89006-465-4 et 978-2-89006-465-2, OCLC 30363408, lire en ligne)
  18. Marie Frankland, « La charge de l’orignal épormyable : une dramaticité sauvage », L'Annuaire théâtral : revue québécoise d’études théâtrales, no 32,‎ , p. 165–176 (ISSN 0827-0198 et 1923-0893, DOI https://doi.org/10.7202/041512ar, lire en ligne, consulté le )
  19. Marie Frankland, « La charge de l’orignal épormyable : une dramaticité sauvage », L'Annuaire théâtral : revue québécoise d’études théâtrales, no 32,‎ , p. 165–176 (ISSN 0827-0198 et 1923-0893, DOI https://doi.org/10.7202/041512ar, lire en ligne, consulté le )
  20. Marie Frankland, « La charge de l’orignal épormyable : une dramaticité sauvage », L'Annuaire théâtral : revue québécoise d’études théâtrales, no 32,‎ , p. 165–176 (ISSN 0827-0198 et 1923-0893, DOI https://doi.org/10.7202/041512ar, lire en ligne, consulté le )