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Rue du Général-Clergerie

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16e arrt
Rue du Général-Clergerie
Voir la photo.
Rue vue depuis l'avenue Hubert-Germain.
Voir la plaque.
Situation
Arrondissement 16e
Quartier Porte-Dauphine
Début 4, rue de l'Amiral-Courbet
Fin 9, avenue Hubert-Germain
Morphologie
Longueur 88 m
Largeur 12 m
Historique
Dénomination 1929
Ancien nom Rue Bugeaud
Géocodification
Ville de Paris 4017
DGI 4025
Géolocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Rue du Général-Clergerie
Géolocalisation sur la carte : 16e arrondissement de Paris
(Voir situation sur carte : 16e arrondissement de Paris)
Rue du Général-Clergerie
Images sur Wikimedia Commons Images sur Wikimedia Commons

La rue du Général-Clergerie est une voie du 16e arrondissement de Paris, en France.

Situation et accès

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La rue du Général-Clergerie est une voie privée située dans le 16e arrondissement de Paris. Elle débute au 4, rue de l'Amiral-Courbet et se termine au 9, avenue Hubert-Germain. Côté avenue Hubert-Germain, une grille en ferme l'entrée.

Le quartier est desservi par la ligne 2 à la station Victor Hugo.

Origine du nom

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Elle porte le nom du général Jean-Baptiste Clergerie (1854-1927), qui était chef d'état-major du gouvernement militaire de Paris en 1914.

Ouverte sous le nom de « rue Bugeaud », en raison de la proximité de l'avenue Bugeaud, devenue avenue Hubert-Germain, cette voie prend sa dénomination actuelle par un arrêté du [1].

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

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No 6.
No 8.
  • No 8 : emplacement du siège du Front national entre 1985 et 1994.
  • En 1928, la chanteuse et danseuse Joséphine Baker possède entre l'avenue Hubert-Germain et la rue du Général-Clergerie une maison qu'elle souhaite faire rénover. L'architecte Adolf Loos conçoit alors pour elle un immeuble de quatre étages, « un bunker strié de bandes noires » décrit Libération, au cœur duquel se trouve une piscine. Le projet, qui possède de fortes connotations érotiques, ne se fait finalement pas[2],[3]. En 1932, l’architecte Jean Fidler construit l’immeuble qui se trouve aujourd’hui à l’angle de l’avenue Hubert-Germain[4].

Références

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  1. « Chronique parisienne », La Croix, 2 juin 1929, sur RetroNews.
  2. « Une maison pour ton corps nu », sur Libération, (consulté le ).
  3. Stephen Atkinson et Fares El-Dahdah, « Josephine Baker House, For Loos’s Pleasure », Assemblage n°26, MIT Press, 1995, p 72-87.
  4. Alexis Markovics (sous la direction de François Loyer), « Un architecte des années 30 à Paris », Paris patrimoine, histoire de l’architecture et archéologie, no 1, 2004.

Articles connexes

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Liens externes

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