Conseils utiles à la personne qui appose le bandeau
1.
Préciser le motif de la pose du bandeau.
Précisez le motif de la pose du bandeau en utilisant la syntaxe suivante :
{{admissibilité à vérifier|date=mai 2024|motif=remplacez ce texte par le motif}}
ou
Créer l'espace de discussion. (cette méthode est préférable)
Créez une section "Admissibilité" en page de discussion de l'article en y précisant le motif de la pose du bandeau. Dans ce cas, utilisez la syntaxe suivante :
{{admissibilité à vérifier|date=mai 2024|motif=pdd}}
2.
Informer les utilisateurs concernés.
Pensez à avertir le créateur de l'article, par exemple, en insérant le code ci-dessous sur sa page de discussion :
Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».
RAEC TV est l'ancienne dénomination d'une section du portail sports de la chaîne de télévision généraliste sur Internet E.K. TV développée en partenariat avec le club de football belge Renaissance Albert Elisabeth Club de Mons (RAEC). Cette section diffuse des émissions centrées autour des matchs et de la vie du club et constitue sa principale vitrine de visibilité sur Internet.
Il ne s'agit ni de sous-traitance ni d'un média de club, mais d'un partenariat entre E.K. TV, média indépendant, et le Renaissance Albert Elisabeth Club de Mons : tous les programmes sont produits par la chaîne, sur fonds propre et grâce au concours du club.
En résumé, l'accord qui unit les deux entités repose sur un échange de bons procédés : les revenus publicitaires générés par les visites reviennent en intégralité à E.K., tandis que le club bénéficie d'une visibilité vidéo professionnelle sur Internet.
L'abandon de la dénomination RAEC TV a été décidé [Quand ?] afin de mettre fin à une certaine confusion : les spectateurs avaient tendance à croire qu'E.K. TV était une partie de RAEC TV, alors qu'il s'agissait du contraire.