Spike : Vous n'êtes pas des amis. Vous ne l'avez jamais été. Votre amour finira par vous tuer tous les deux. Combat, et ensuite sexe, et la haine à nouveau qui vous possède jusqu'au cœur, vous ne serez jamais des amis. L'amour n'est pas là dans la tête, il est dans le sang partout dans mon corps, il lutte pour imposer sa loi. Alors j'aime peut-être une putain mais je suis suffisamment homme pour l'admettre.
Cordelia : Et toi regarder des armes ça te donne envie de faire l'amour ? Alex : J'ai 17 ans. Quand je regarde le linoléum j'ai déjà envie de faire l'amour.
Spike : Si chaque vampire qui a dit avoir été présent à la crucifixion y était effectivement on aurait assisté au premier Woodstock. En fait moi j'étais à Woodstock, une fête plutôt étrange. J'ai avalé un gentil hippie et j'ai passé les six heures suivantes à regarder ma main trembloter.
Oz : Je pense donc je suis, je suis ce que je pense, si Buffy pense ce que je pense est-ce que je suis ? Elle est moi donc je n'existe plus… Aucun de nous n'existe. Nous sommes Buffy. Nous pensons donc elle est.
Angelus : La passion est la source des moments les plus rares : la joie de l'amour, la lucidité de la haine, la jouissance de la douleur. Quelquefois la douleur est si forte qu'on ne peut plus la supporter. Si l'on pouvait vivre sans passion sans doute serions-nous moins torturés, mais nous serions vides, espaces déserts, sombres et glacés. Sans passion nous serions véritablement morts.
Buffy : Il s'agit de l'opération Initiative, Alex. Les militaires et les scientifiques n'ont pas pour habitude de se faire des câlins. Alex : Oui, ben c'est pour ça que le monde ne tourne pas rond, tu devrais y penser.
M. Platt : Vous savez, il n'y a pas de honte, beaucoup de gens se perdent dans l'amour. On en fait de très belles chansons. L'ennui, c'est que vous ne pouvez pas rester perdue. Un jour ou l'autre, il faut le trouver votre chemin.
Spike : Tu sais ce qui arrive aux vampires qui ne mangent pas ? Ils deviennent de vrais squelettes, aussi faméliques qu'un enfant du Tiers-Monde... en beaucoup moins drôle.
Principal R. Snyder : Je passais un jour devant le bureau du conseiller d'orientation. Certains d'entre vous étiez là, assis, attendant d'être orientés. Je me souviens qu'il flottait dans l'air une odeur de fleur fanée. De pourriture. Là j'ai réalisé que l'avenir de notre nation reposait sur quelques kilos de compost. Alex : Je ne vous ai jamais dit comme j'avais été heureux que vous ayez été dévoré par un serpent géant.
Gloria : Quand j'observe ce monde auquel tu veux absolument appartenir, tout ce que je vois c'est six milliards de dingues qui cherchent un raccourci vers la sortie. Ils sont tous cinglés. Regarde-les, tout le monde boit, fume, se drogue. Ils se tirent les uns sur les autres ou bien ils se font tout bonnement sauter la cervelle pour ne plus voir ça. Et c'est moi la cinglée ? Chérie, je suis la seule borgne dans ce royaume d'aveugles parce que moi j'admets que ce monde me rend dingue
Giles : Tu aurais pu me prévenir. J'ai bien cru qu'il allait me tuer. Spike : Pauvre observateur. Votre vie s'est mise à défiler devant vos yeux ? Tasse de thé, tasse de thé, dépucelage raté, tasse de thé.
Illyria : De mon temps, les cauchemars marchaient parmi nous. Ils marchaient et dansaient, transperçaient leurs victimes en plein jour, étalaient leurs peurs et leurs plus inaccessibles désirs à la vue de tous. Dans le but de nous faire rire. Les cauchemars sont désormais enfermés dans la tête des humains, comme de pitoyables échos d'eux-mêmes. Je me demande qui ils ont offensé pour mériter un tel destin.
Wesley : Il existe deux types de souvenirs, les véritables et ceux qui sont fabriqués. Les distinguer n'est pas chose facile. On essaie de masquer la réalité, de l'oublier, de se concentrer sur les autres souvenirs. On les a créé pour une bonne raison.
Andrew : Spike, c'est toi, c'est vraiment toi ! Mon psy pensait que je me berçais d'illusions mais je savais que tu reviendrais. Tu es comme Gandalf le Blanc ressuscité par miracle du gouffre du Balrog, plus resplendissant que jamais.
Lorne : Il ne faut pas que la roue s'arrête. C'est comme une chanson. Quand je chante, je peux tenir une note de très longues minutes. En réalité, je peux la tenir indéfiniment. Mais au bout du compte, ce n'est plus que du bruit. C'est le changement qui est intéressant, la note qui vient après et celle qui suit. C'est ça qui en fait de la musique.