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Palais de la Jénina

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Palais de la Jénina
Palais de la Jénina et actuelle place des martyrs en 1832
Présentation
Type
Style
Islamique
Construction
début du XVIe siècle
Destruction
Usage
Localisation
Pays
Commune
Coordonnées
Localisation sur la carte d’Algérie
voir sur la carte d’Algérie
Localisation sur la carte d’Alger
voir sur la carte d’Alger

Le palais de la Jénina (arabe : قصر الجنينة) aussi appelée « Dar soltan el-kadîma » (vielle maison du Sultan) fut anciennement, la résidence officielle de l’émir d'Alger ; Salim at-Toumi, chef de la tribu des Thaâliba[1]. À la suite de la création de la régence d'Alger, ce palais devient la résidence d'Arudj Barberousse, devenu sultan d'Alger après la prise de la ville et l'assassinat de Salim at-Toumi.

Dans ce palais vont aussi résider les Beylerbey « émir des émirs » de 1519 à 1585, les pachas (1585-1659), les aghas (1659-1671) et les deys (1671-1817), les deys iront ensuite habiter dans la citadelle d'Alger jusqu'en 1830[2].

Palais de la Jenina en 1856. (tirage albuminé)

Il fut détruit par l'administration coloniale française en 1857 [3]. Le terrain devient une place d'armes pour les troupes françaises, puis une place baptisée place du Gouvernement. À l'indépendance de l'Algérie en 1962, la place du Gouvernement est renommée place des Martyrs.

Le dernier témoin de cet ensemble est Dar Aziza, une aile palatiale avec patio datant du XVIe siècle[4].

Notes et références

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  1. « Contribution : El Jenina ou Dar El Soltane El « Kedima » », sur babzman.com (consulté le ).
  2. (en) « Palais du Dey », sur cnra.dz (consulté le ).
  3. « Le Palais de la Jenina, siège du pouvoir en Algérie - Algerie360 », sur algerie360.com, (consulté le ).
  4. « Qantara - Dâr ‘Aziza », sur www.qantara-med.org (consulté le )

Articles connexes

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