Musée national d'anthropologie et d'ethnologie de Florence

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Musée national d'anthropologie et d'ethnologie de Florence
Informations générales
Nom local
Museo di storia naturale sezione di antropologia ed etnologia
Type
Musée d'histoire naturelle, Tuscan museum of regional importance (d), musée d'un organisme public (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Ouverture
1869
Surface
25 salles
Visiteurs par an
14 405 ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Sites web
Collections
Provenance
Nombre d'objets
ethnologie, anthropologie
Bâtiment
Article dédié
Protection
Bien culturel italien (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Localisation
Pays
Italie
Division administrative
Commune
Adresse
via del Proconsolo
Coordonnées
Géolocalisation sur la carte : Toscane
(Voir situation sur carte : Toscane)
Géolocalisation sur la carte : Italie
(Voir situation sur carte : Italie)
Géolocalisation sur la carte : Florence
(Voir situation sur carte : Florence)

Le Musée national d'anthropologie et d'ethnologie de Florence (Museo di storia naturale sezione di antropologia ed etnologia) est l'un des 6 départements du Musée d'histoire naturelle de l'université de Florence.

Initialement situé à l'Observatoire de Florence, il est installé depuis 1924, au Palazzo Nonfinito, via del Proconsolo[1].

Le Palazzo Nonfinito[modifier | modifier le code]

Fondé en 1593 par Alessandro di Camillo Strozzi, le Palazzo Nonfinito est, comme son nom l'indique, resté inachevé. En 1869, Paolo Mantegazza y créa le Musée national d’anthropologie et d’ethnologie.

Collections[modifier | modifier le code]

Le musée a été fondé en 1869 par l'anthropologue Paolo Mantegazza, puis en 1922, il a été refondé en tant que premier musée italien consacré à l'anthropologie et à la recherche ethnographique. Géré par l'Université de Florence, il possède un énorme patrimoine de 25 000 pièces réparti sur 25 salles qui couvre la plupart des populations de la planète, issues de cultures africaines (notamment des anciennes colonies italiennes comme la Libye et la Somalie, mais aussi l'Éthiopie et l'Afrique subsaharienne), aux asiatiques (surtout indonésiens, mais aussi des steppes mongoles et les Ainous du Japon), des îles d'Océanie aux tribus indigènes de l' Amazonie.

Les découvertes ont commencé à converger depuis l'époque des Médicis, attirés par toute curiosité scientifique, jusqu'aux nombreuses expéditions des siècles suivants, parmi lesquelles se distingue la troisième expédition de Sir James Cook.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Caroline Gaultier-Kurhan (dir.), Le patrimoine culturel africain, Paris, Maisonneuve et Larose, , 408 p. (ISBN 978-2-706-81525-6, OCLC 925754986), p. 278

Liens externes[modifier | modifier le code]