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Miguel Enriquez

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Miguel Enríquez
Miguel Humberto Enríquez Espinosa.
Fonction
Secrétaire général
Mouvement de la gauche révolutionnaire
-
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 30 ans)
SantiagoVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Cimetière général de Santiago (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Miguel Humberto Enríquez EspinosaVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Domicile
Formation
Université de Concepción
Lycée Enrique Molina Garmendia (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Enfant
Autres informations
Parti politique

Miguel Humberto Enríquez Espinosa (né le à Talcahuano, Chili et mort le à Santiago du Chili)[1] est un médecin et homme politique chilien qui fut secrétaire général du Mouvement de la gauche révolutionnaire chilienne (en espagnol : Movimiento de la Izquierda Revolucionaria (MIR)) de 1967 jusqu'à sa mort.

Il est né le à Talcahuano.

Coup d'état et décès

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Après le coup d'état mené par Augusto Pinochet le , Miguel Enríquez et d'autres membres du MIR déclinent l'asile politique offert par plusieurs ambassades étrangères et se positionnent également contre l'exil politique. Par la suite, ils entreprennent des activités clandestines contre la dictature d'Augusto Pinochet.

Après le coup d'état, Enríquez devient l'un des hommes les plus recherchés par les autorités. Il finit par être abattu, le au cours d'un affrontement avec les agents de la Direction nationale du renseignement (DINA) (en espagnol : Dirección de Inteligencia Nacional) dans la ville de San Miguel depuis laquelle il dirigeait les actions du MIR et dans laquelle vivait sa compagne Carmen Castillo. Au cours de l'affrontement, celle-ci, enceinte de 6 mois, est blessée. Elle survit mais perd son enfant.

Miguel Enríquez est enterré au cimetière général de Santiago. Après sa mort, l'institut supérieur de Sciences médicales (ISCM-H) de La Havane (Cuba), baptise son nouvel hôpital "Dr Miguel Enríquez Espinosa" en son honneur.

En 2016, quarante-deux ans après sa mort, cinq ex-agents de la DINA sont déférés devant un tribunal chilien pour répondre de cet assassinaté[2].

Notes et références

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  1. « Miguel Enríquez »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  2. « 42 ans après l’assassinat d’un leader chilien de gauche, ses meurtriers sont enfin jugés », sur Magazine International, (consulté le ).

Liens externes

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