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Marianna Barilli

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Marianna Barilli
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Cimetière du Père-Lachaise, Grave of Marianna Barilli (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activité
Père
Mère
Conjoint
Luigi Barilli (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Tessiture
Vue de la sépulture.

Marianna Barilli ou encore Marianna Bondini Barilli (née à Dresde, et morte à Paris le [1]) est une cantatrice soprano italienne.

Marianna Barilli est née à Dresde en Allemagne, où son père Pasquale Bondini était le directeur de l'Opéra italien. À l'âge de seize ans[précision nécessaire], elle est orpheline car son père, à la suite de l'incendie au théâtre de Prague, meurt au cours de son retour en Italie. Devant subvenir aux besoins du reste de la famille, Marianna se rend à Bologne où, grâce au professeur de chant Sartorini, elle fait ses débuts dans de petits concerts et au théâtre[2].

Elle épouse le chanteur Luigi Barilli (it), qui connaît alors le succès et s'installe à Paris où elle se produit en concert, ayant exprimé dans son contrat de mariage son souhait de ne pas se produire au théâtre en raison du trac[3]. En 1807, elle chante devant Napoléon Bonaparte et l' impératrice Joséphine dans le jardin des Tuileries, une prestation qui lui vaut un engagement à l'Opéra national de Paris[4].

Marianna Barilli est morte à Paris à l'âge de 33 ans en 1813, « après une maladie de 13 jours » à l'apogée de sa carrière[4] et est enterrée au Cimetière du Père-Lachaise[1].

Bibliographie

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  • (it) Francesco Regli, Dizionario biografico dei più celebri poeti ed artisti melodrammatici, tragici e comici, maestri, concertisti, coreografi, mimi, ballerini, scenografi, giornalisti, impresarii, ecc. ecc. che fiorirono in Italia dal 1800 al 1860, Coi tipi di E. Dalmazzo, (lire en ligne).

Notes et références

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  1. a et b François-Marie Marchant de Beaumont, « Vues pittoresques, historiques et morales du Cimetière du P. La Chaise. vol. 1 », sur Google Books, (consulté le ).
  2. Regli 1860, p. 29.
  3. Regli 1860, p. 29-30.
  4. a et b Regli 1860, p. 30.

Liens externes

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